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s un porche couvert aux colonnes enguirlandées de
roses
. Toute une famille de géants, debout sur un seuil solennel, me regard
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jours, les hôtes d’une immense demeure en briques
roses
et jaunes, entourée de prairies aux bosquets vaporeux. Des parterres
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igognes filent sur nos têtes, tirant leurs pattes
roses
. À l’horizon toujours passent des voiles, mais on ne voit pas la mer.
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symbolique. Hofmannsthal. Un aquarium de lumière
rose
où nagent des phoques à ventre blanc qui sont des ministres, des sirè
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’amour ! La traîne d’une robe tournoie, éclair de
roses
sur un seuil. C’était la voix de la comtesse Adélaïde, — je la connai
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geoyaient au sommet du Rozsadomb — la Colline des
roses
. Une ancienne mosquée, disiez-vous, le tombeau du prophète Gül Baba.
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écor en pierre brune peu solide, rongé de petites
roses
cramoisies. On longe une galerie couverte, on tourne dans un escalier
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en ont fait Gül Baba, ce qui signifie le Père des
Roses
. Moyennant cette naturalisation il continue de protéger la ville (en
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que ce n’est pas l’heure de visiter : le Père des
Roses
est peut-être allé se promener. Dehors, les roses crimson sentent le
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Roses est peut-être allé se promener. Dehors, les
roses
crimson sentent le soufre. Trente degrés à l’ombre. Ce sanctuaire ind
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massées tout autour, frileuses dans leurs dessous
roses
, les filles qui chantent une chanson populaire et regardent tristemen
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i retire ses lueurs. Ciel blanc, où très peu d’or
rose
s’évanouit… Le train serpente dans un de ces paysages de nulle part q
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te. Un nageur passe à travers les reflets jaunes,
roses
, verts, des maisons à façades triangulaires. Couleurs d’un crépuscule
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parapluie, jusqu’à leur petite maison couverte de
roses
grimpantes. Le père est un colonel en retraite qui déteste les Franzo
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out ce qui était arrivé, un parfum de millions de
roses
se répandit dans les airs, tandis qu’au sommet du bûcher paraissait u
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s claires et propres, tapissées de glycines et de
roses
trémières, et parfois recouvertes de treilles à l’italienne. Comme on
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le carré de ciel pâlir et les murs qui deviennent
roses
. 21 novembre 1933 Le bureau de poste. — Trois mètres sur trois
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t, peu vraisemblable ; et non plus moi. Premières
roses
au soleil, le long des murs du chai. Nous déjeunons sous les tilleuls
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us claire que le ciel vide, et illumine la goutte
rose
d’une fourmi ailée qui danse au-dessus de mon verre de vin blanc.
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dites « bouquets », grosses comme le doigt, d’un
rose
sombre, aux longues antennes grenat. Un jour nous avons pris une seic
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es et grenat, dont je ne sais pas les noms, et de
roses
, et de roses trémières qui grandissent d’un pouce au moins pendant la
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dont je ne sais pas les noms, et de roses, et de
roses
trémières qui grandissent d’un pouce au moins pendant la nuit. Nous a
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devient poussiéreuse. Il n’y a plus que quelques
roses
aux pétales fatigués. Et nous, nous n’avons plus la même patience, de
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en silhouette sur les crêtes, et des toits de ce
rose
émouvant des tuiles romaines sous un ciel doux. Au nord, derrière not
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s hier au soir. Des hauteurs, on voyait la plaine
rose
et violacée entre des monticules pointus tout frisés d’oliviers, un p
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te maison couleur de terre et festonnée de tuiles
roses
, elle est bien à la ressemblance des vieilles paysannes de par ici, r
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us trouvâmes en rentrant une prodigieuse gerbe de
roses
rouges envoyée par V. O. pour notre installation dans ce studio que G
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vaient à peine d’un étage au-dessus des champs de
roses
et de blés, aux bords du plateau de la Brie. Nous montions vers Périg
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n de la route sentait plus fort que les champs de
roses
, et des nuages noirs traînaient sur les vergers. Début de mars 194
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ierait la guerre, sur ces terrasses incendiées de
roses
, à la piscine, dans la pinède qui vibre au vent chaud de la mer… L
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er sur les quais, le long des bâtiments de brique
rose
aux fenêtres encadrées de pierre et surmontés de clochers fins au bul
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us. Que sert de comparer ? Quel sens ? Il y a des
roses
dans les ruines. Des enfants jouent à côté des prisons. L’un subit la
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rk glaciale et belle, ce bleu de poudre claire et
rose
au lointain des avenues trop larges le matin, ce bleu d’ombre de briq
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. Et j’ai songé à cette autre retraite, la maison
rose
de « La Muette », où Ramuz lui aussi laisse venir ceux qui lui apport
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petite tranchée d’asphalte et de brique jaune et
rose
dans un chaos géométrique, c’est bien New York… Si je me retourne un
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Le soir vient dans un luxe américain d’ocres, de
roses
, d’argents et d’éclats d’or sur les fenêtres des usines. Des fumées t
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mer leurs lampes. Une blonde platinée en peignoir
rose
ouvre son frigidaire, sort de la glace, ôte enfin le peignoir, il fai
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e vaste et noire une petite lampe fait une flaque
rose
. « Je ne trouve pas les prises ! explique-t-elle, je ne mets jamais l
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onnages goudronnés. Flammes gaies sur le couchant
rose
et fuligineux, en rectangle au bout de la rue, légèrement mordu sur l
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rousseur, la tête serrée dans un foulard de soie
rose
feu. « Papa, me dit mon petit garçon, c’est Miss Hepburn ! — C’est mo
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ait le rêve américain, le clinquant, l’irréel, le
rose
et le doré. Rêve d’enfance et d’innocence universelle, bercé de musiq
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do de Gretchaninoff et le motet de Prætorius, Une
rose
est née… Et je me dirai que l’Amérique n’a pas encore très bien compr
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rac empilé tout autour. L’homme porte une chemise
rose
bâillant sur sa poitrine velue, et un large chapeau de cow-boy. Il es
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de brique rouge et de brique jaune, des lessives
roses
et bleues devant le dernier étage, un trapèze de ciel brillant. Les c
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es cumulus élèvent des tours et des créneaux d’un
rose
feu sur l’horizon follement lointain, tandis que nous survolons des p
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des murs couleur du temps, où quelques taches de
rose
clair ou de noir achèvent de composer une harmonie qui fait venir les