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e. Hugo von Hofmannsthal. Un aquarium de lumière
rose
où nagent des phoques à ventre blanc qui sont des ministres, des sirè
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’amour ! La traîne d’une robe tournoie, éclair de
roses
sur un seuil. C’était la voix de la comtesse Adélaïde, — je la connai
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geoyaient au sommet du Rozsadomb — la Colline des
roses
. Une ancienne mosquée, disiez-vous, le tombeau du prophète Gül Baba.
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it, un décor en pierre brune peu solide, rongé de
roses
crimson. On longe une galerie couverte, on tourne dans un escalier co
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en ont fait Gül Baba, ce qui signifie le Père des
roses
. Moyennant cette naturalisation il continue de protéger la ville (en
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que ce n’est pas l’heure de visiter : le Père des
roses
est peut-être allé se promener. Dehors, les roses crimson sentent le
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roses est peut-être allé se promener. Dehors, les
roses
crimson sentent le soufre. Trente degrés à l’ombre. Ce sanctuaire ind
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massées tout autour, frileuses dans leurs dessous
roses
, les filles qui chantent une chanson populaire et regardent tristemen
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i retire ses lueurs. Ciel blanc, où très peu d’or
rose
s’évanouit… Le train serpente dans un de ces paysages de nulle part q
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s un porche couvert aux colonnes enguirlandées de
roses
. Toute une famille de géants, debout sur un seuil solennel, me regard
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jours les hôtes d’une immense demeure en briques
roses
et jaunes, entourée de prairies aux bosquets vaporeux. Des parterres
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igognes filent sur nos têtes, tirant leurs pattes
roses
. À l’horizon toujours passent des voiles, mais on ne voit pas la mer.
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te. Un nageur passe à travers les reflets jaunes,
roses
, verts, des maisons à façades triangulaires. Couleurs d’un crépuscule
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parapluie, jusqu’à leur petite maison couverte de
roses
Crimson. Le père est un colonel en retraite qui déteste les Franzosen
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out ce qui était arrivé, un parfum de millions de
roses
se répandit dans les airs, tandis qu’au sommet du bûcher paraissait u
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petite tranchée d’asphalte et de brique jaune et
rose
dans un chaos géométrique, c’est bien New York… Si je me retourne un
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Le soir vient dans un luxe américain d’ocres, de
roses
, d’argent et d’éclats d’or sur les fenêtres des usines. Des fumées tr
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mer leurs lampes. Une blonde platinée en peignoir
rose
ouvre son frigidaire, sort de la glace, ôte enfin le peignoir, il fai
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es cumulus élèvent des tours et des créneaux d’un
rose
feu sur l’horizon follement lointain, tandis que nous survolons des p
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des murs couleur du temps, où quelques taches de
rose
clair ou de noir achèvent de composer une harmonie qui fait venir les
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e loin. Elle porte un grand chapeau flottant d’un
rose
sombre. Tout la distingue infiniment du troupeau bavardant de ses com