1 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Le Corbusier, Urbanisme (juin 1926)
1 de repos, ni dans son plan ni dans le détail des rues . Congestion : « un cheval arrête 1000 chevaux-vapeurs ». Et pourtant
2 ées à 200 et 400 mètres par les plans fuyants des rues immenses livrées au 100 à l’heure des autos. Les maisons habitées ne
2 1926, Articles divers (1924–1930). Soir de Florence (13 novembre 1926)
3 eu avant de nous abandonner à l’oubli luxueux des rues . Le long de l’Arno, les façades sont jaunes et roses près de l’eau, p
3 1926, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Paradoxe de la sincérité (décembre 1926)
4 es (telle sensation physique de bonheur, dans une rue au coucher du soleil, des phares d’automobiles étoilent le brouillard
4 1927, Articles divers (1924–1930). Dés ou la clef des champs (1927)
5 s lumineuses dialoguaient follement au-dessus des rues parcourues de longs cris en voyage. Je me sentis perdre pied délicieu
5 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Lettre du survivant (février 1927)
6 a crainte du réveil. Puis je suis revenu dans ces rues où je vous rencontrais parfois, du temps que j’ignorais vous aimer. E
7 suis sorti. Il y avait beaucoup de monde dans les rues , sous la pluie. Les autobus passaient par groupes. Plusieurs fois, j’
8 celle-là qui venait de tourner à l’angle de cette rue et qui avait votre démarche. Mais, pendant ce temps, vous pouviez par
9 ce sur un trottoir roulant qui me remonta dans la rue . La fraîcheur de la brume m’apaisa. Sur la promesse que je fis que je
10 ’ai marché plusieurs heures avant de retrouver ma rue . Il doit être maintenant 5 heures du matin. Premiers appels d’autos d
6 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Louis Aragon, le beau prétexte (avril 1927)
11 Il pense que c’est bien jeune. Et : encore un qui rue dans les brancards, c’est très bellettrien. Un disque de gramo comme
12 anarchie sont : chanter l’Internationale dans les rues , faire la noce, écrire un livre de tendances très modernes. Et des ge
7 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Quatre incidents (avril 1927)
13 e, École errait, École suivait une femme dans les rues tant soit peu métaphysiques d’une capitale de mes songes. On exigeait
14 … et quitta le bal au matin. Il neigeait dans les rues sourdes comme un songe de son enfance. Aux fenêtres du palais s’étoil
8 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Récit du pickpocket (fragment) (mai 1927)
15 lendemain était le premier jour du printemps. Les rues riaient. Le ciel descendait dans la ville, on marchait dans le bleu.
16 cement… Je me levai sans payer, je partis par les rues , une joie violente commençait à m’envahir, contre laquelle je luttais
9 1928, Articles divers (1924–1930). Un soir à Vienne avec Gérard (24 mars 1928)
17 is pas fâché. » Il y avait peu de monde dans les rues . Des jeunes gens avec une femme à chaque bras, l’air de ne pas trop s
18 ablement… À ce moment, comme nous traversions une rue sillonnée de taxis rapides, le homard refusa obstinément de progresse
10 1928, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). André Malraux, Les Conquérants (décembre 1928)
19 spect quotidien et mystérieux d’une révolution de rues , ou la palpitation inquiétante des villes chinoises, Malraux fait pre
11 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 4. L’illusion réformiste
20 s, et réciter par cœur et à rebours, les noms des rues et places de leur ville, comme s’ils étaient tous destinés à la profe
12 1929, Journal de Genève, articles (1926–1982). Panorama de Budapest (23 mai 1929)
21 ux tiers de notre pays ?… Non, non, jamais ! » La rue est sale à cause de la fonte de la neige (une boue ocre, épaisse, on
22 peinturlurée de bleu, d’or et de violet. Puis une rue de pierre grise toute boursouflée de prétentions munichoises. Puis un
23 nt cette ville désordonnée. Derrière, ce sont des rues silencieuses, provinciales, bordées de petits palais à un étage, clos
13 1929, Articles divers (1924–1930). La tour de Hölderlin (15 juillet 1929)
24 pas tant de visiteurs, et seulement de 2 à 4… Une rue étouffée entre des maisons pointues et les contreforts de l’Église du
14 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 4. L’illusion réformiste
25 s, et réciter par cœur et à rebours, les noms des rues et places de leur ville, comme s’ils étaient tous destinés à la profe
15 1930, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Les soirées du Brambilla-club (mai 1930)
26 ur. Durant cette méditation, nous avons gagné une rue pauvrement éclairée où l’on s’arrête. Le fantôme derrière nous claque
16 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
27 berté aérienne des arrivées, premiers regards aux rues croisées qui font des signes pour demain, présentations de mes Espoir
28 ui suit Noël, — la plus sombre de l’année par les rues vides sous la pluie étrangère. Une porte basse s’ouvre sur un long co
29 que. Nous sortons ensemble de la petite ville aux rues de terre brûlante, aux maisons jaunes basses, ville sans ombre, sans
17 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
30 une nuit — rôder à la recherche de Gérard par les rues noires aux palais vides mais hantés, et dans les grands cafés du cent
18 1932, Le Paysan du Danube. Première partie. Le Paysan du Danube — Un soir à Vienne avec Gérard
31 s pas fâché. »   Il y avait peu de monde dans les rues . Des jeunes gens avec une femme à chaque bras, l’air de ne pas trop s
32 blement… À ce moment, comme nous traversions une rue sillonnée de taxis rapides, le homard refusa obstinément de progresse
19 1932, Le Paysan du Danube. Première partie. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
33 berté aérienne des arrivées, premiers regards aux rues croisées qui font des signes pour demain, présentations de mes Espoir
34 ui suit Noël, — la plus sombre de l’année par les rues vides sous la pluie étrangère. Une porte basse s’ouvre sur un long co
35 que. Nous sortons ensemble de la petite ville aux rues de terre brûlante, aux maisons jaunes basses, ville sans ombre, sans
36 une nuit — rôder à la recherche de Gérard par les rues noires aux palais vides mais hantés, et dans les grands cafés du cent
20 1932, Le Paysan du Danube. Deuxième partie. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
37 pas tant de visiteurs, et seulement de 2 à 4. Une rue étouffée entre des maisons pointues et les contreforts de l’Église du
21 1932, Le Paysan du Danube. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
38 ain longtemps côtoya une rivière, des forêts. Les rues sont vides jusqu’au cœur de la ville, où l’attend une ample demeure.
39 din aux allées aventureuses. Je sortirai dans les rues vides, je monterai jusqu’au signal, voir le pays sous la lune, je cho
22 1932, Le Paysan du Danube. Deuxième partie. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
40 suis scandalisé quand je vois se croiser dans la rue sans se connaître un patron d’usine et l’un de ses mécanos. Ou encore
23 1932, Le Paysan du Danube. Deuxième partie. La lenteur des choses — Appendice. Les Soirées du Brambilla-Club, (1930)
41 ur. Durant cette méditation, nous avons gagné une rue pauvrement éclairée où l’on s’arrête. Le fantôme derrière nous claque
24 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
42 berté aérienne des arrivées, premiers regards aux rues croisées qui font des signes pour demain, présentations de mes Espoir
43 ui suit Noël, — la plus sombre de l’année par les rues vides sous la pluie étrangère. Une porte basse s’ouvre sur un long co
44 que. Nous sortons ensemble de la petite ville aux rues de terre brûlante, aux maisons jaunes basses, ville sans ombre, sans
45 une nuit — rôder à la recherche de Gérard par les rues noires aux palais vides mais hantés, et dans les grands cafés du cent
25 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
46 suis scandalisé quand je vois se croiser dans la rue sans se connaître un patron d’usine et l’un de ses mécanos. Ou encore
26 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
47 pas tant de visiteurs, et seulement de 2 à 4. Une rue étouffée entre des maisons pointues et les contreforts de l’Église du
27 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
48 ain longtemps côtoya une rivière, des forêts. Les rues sont vides jusqu’au cœur de la ville, où l’attend une ample demeure.
49 din aux allées aventureuses. Je sortirai dans les rues vides, je monterai jusqu’au signal, voir le pays sous la lune, je cho
28 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
50 ge au chef de guerre qui traverse aujourd’hui ces rues les plus émouvantes du monde : il ne les connaîtra jamais. Il ne verr
51 èlent ce Tchaïkovski qu’on entend siffler dans la rue … Je me souviens de ce que j’ai sous les yeux : je le vois déjà comme
52 qui renvoient l’écho familier de nos pas. Et ces rues qui tournaient doucement vers une place plantée d’arbres et déserte,
53 s entrer ? Je ne puis pas distinguer les noms des rues sur ces maisons jaunes ou grises et si basses. Je cherche à voir, le
54 encore dans la banlieue… Déjà nous descendons une rue déserte et provinciale. C’était cela, le boulevard Saint-Michel ? Mai
55 les larmes aux yeux. Premier bruit de pas dans la rue . Semelles de bois. Une femme de ménage sort ses clés, ouvre une porte
29 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VIII
56 à nous entendre. Écoutez les jeunes gens dans la rue (« sur la rue » ou « en rue », diraient-ils). Ce n’est plus dire, ce
57 re. Écoutez les jeunes gens dans la rue (« sur la rue  » ou « en rue », diraient-ils). Ce n’est plus dire, ce n’est plus s’e
58 s jeunes gens dans la rue (« sur la rue » ou « en rue  », diraient-ils). Ce n’est plus dire, ce n’est plus s’exprimer, mais
30 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Grammaire de la personne (janvier 1934)
59 grands panneaux hauts en couleur promenés par les rues allemandes et italiennes, et jusque dans les pages illustrées de nos
31 1934, Articles divers (1932-1935). « Pour qui écrivez-vous ? » [Réponse à une enquête] (janvier-février 1934)
60 troupes fascistes ces dernières semaines dans les rues de Paris. À part cela, M. de Rougemont, malgré ses appels à Luc, n’a
32 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Destin du siècle ou vocation personnelle ? (février 1934)
61 , est soudain devenu flagrant. Il promène par les rues de nos villes européennes de grands panneaux-réclame qui parlent un l
62 et qu’un homme n’a pas le droit de sortir dans la rue coiffé d’un chapeau de paille avant la date fixée par les grands four
33 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Destin du siècle ou destin de l’homme ? (mai 1934)
63 ns l’homme qu’a lieu le choix, et non pas dans la rue , dans l’opinion, ni dans l’Histoire. Le lieu de toute décision qui cr
34 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Notice biographique [Kierkegaard] (août 1934)
64 it à écrire. Vers midi, on le voyait parcourir la rue la plus animée de la ville, parler, rire et discuter avec des bourgeo
65 plus tard, épuisé par la lutte, il tomba dans la rue . On le transporta à l’hôpital, où il mourut paisiblement, en « saluan
35 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Nécessité de Kierkegaard (août 1934)
66 faut aller plus loin. La foule n’est pas dans la rue seulement. Elle est dans la pensée des hommes de ce temps. Tout le gé
36 1934, Politique de la personne. Première partie. Primauté du spirituel ? — I. Destin du siècle ou vocation personnelle ?
67 s est soudain devenu flagrant. Il promène par les rues de nos villes européennes de grands panneaux-réclame qui parlent un l
68 et qu’un homme n’a pas le droit de sortir dans la rue coiffé d’un chapeau de paille avant la date fixée par les grands four
69 ns l’homme qu’a lieu le choix, et non pas dans la rue , dans l’opinion, dans les lois de l’évolution. Le lieu de toute décis
37 1934, Politique de la personne. Quatrième partie. Problèmes de la révolution personnaliste — XIV. Tactique personnaliste
70 est seule créatrice d’une liberté que l’homme des rues reste incapable de forger avec toute sa brutalité, ses injustices et
38 1934, Politique de la personne (1946). Première partie. Primauté du spirituel ? — I. Destin du siècle ou vocation personnelle ?
71 s est soudain devenu flagrant. Il promène par les rues de nos villes européennes de grands panneaux-réclame qui parlent un l
72 et qu’un homme n’a pas le droit de sortir dans la rue coiffé d’un chapeau de paille avant la date fixée par les grands four
73 ns l’homme qu’a lieu le choix, et non pas dans la rue , dans l’opinion, dans les lois de l’évolution. Le lieu de toute décis
39 1934, Politique de la personne (1946). Quatrième partie. Problèmes de la révolution personnaliste — XIV. Tactique personnaliste
74 est seule créatrice d’une liberté que l’homme des rues reste incapable de forger avec toute sa brutalité, ses injustices et
40 1935, Esprit, articles (1932–1962). Albert Soulillou, Nitro (février 1935)
75 leur que d’avoir traîné son vague à l’âme par les rues d’une ville de province ; mais cela donne au moins une matière. Les p
41 1935, Articles divers (1932-1935). Nous ne mangeons pas de ce pain-là : à propos du 14 juillet (15 juillet 1935)
76 se rejoignent très bien par-delà les massacres de rue qu’ils nous préparent, — par-dessus la tête de leurs troupes. Nous no
77 les « populaires » ne fait que prolonger dans la rue l’opposition stérile et périmée de la droite et de la gauche parlemen
42 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). À propos du 14 juillet (juillet-août 1935)
78 les « populaires » ne fait que prolonger dans la rue l’opposition stérile et périmée de la droite et de la gauche parlemen
43 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
79 ’éthique bourgeoise. « Descartes descendu dans la rue  »30 vient consacrer l’utilitarisme borné en disqualifiant l’esprit pu
80 ux. 30. « Ford, c’est Descartes descendu dans la rue  », écrivaient Aron et Dandieu dans Le Cancer américain. 31. Dans un
44 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Conversation avec un SA (décembre 1935)
81 Moi. — Quelques observations, en flânant dans vos rues … Flâner, c’est une activité plutôt « réactionnaire », n’est-ce pas ?
82 outes les banderoles rouges tendues au-dessus des rues et qui portent des devises de propagande pour l’œuvre, contiennent le
83 l’activité la plus visible du Parti N.-S. dans la rue . 33. ? (Réd.) 34. Je vois le sourire de mes amis français ! t. Ro
45 1936, Esprit, articles (1932–1962). Culture et commune mesure (novembre 1936)
84 abli cet ordre : on ne se mitraille plus dans nos rues , l’État combat la misère et le chômage, nous avons supprimé les parti
46 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — XII. Leçon des dictatures
85 abli cet ordre : on ne se mitraille plus dans nos rues , l’État combat la misère et le chômage, nous avons supprimé les parti
47 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — I. La pensée prolétarisée
86 arisé Fallait-il donc qu’ils allassent dans la rue , qu’ils entrassent dans la bagarre, et fissent de la politique ? — Ce
87 eligieuse. « Les grandes questions gisent dans la rue  », écrivait Nietzsche ; dans la rue, et non pas dans leurs livres ! E
88 isent dans la rue », écrivait Nietzsche ; dans la rue , et non pas dans leurs livres ! Et voilà bien l’usage « exquis » qu’o
89 ratuits en Méditerranée, assurent l’ordre dans la rue , la défense nationale et le sommeil des rentiers. J’ajouterai à cette
48 1936, Penser avec les mains (1972). Première partie. La commune mesure — XII. Leçon des dictatures
90 abli cet ordre : on ne se mitraille plus dans nos rues , l’État combat la misère et le chômage, nous avons supprimé les parti
49 1936, Penser avec les mains (1972). Deuxième partie. Penser avec les mains — I. La pensée prolétarisée
91 arisé Fallait-il donc qu’ils allassent dans la rue , qu’ils entrassent dans la bagarre, et fissent de la politique ? — Ce
92 religieuse. « Les grandes questions sont dans la rue  », écrivait Nietzsche ; dans la rue, et non pas dans leurs livres ! E
93 sont dans la rue », écrivait Nietzsche ; dans la rue , et non pas dans leurs livres ! Et voilà bien l’usage « exquis » qu’o
94 ratuits en Méditerranée, assurent l’ordre dans la rue , la défense nationale et le sommeil des rentiers. J’ajouterai à cette
50 1937, Esprit, articles (1932–1962). Albert Thibaudet, Histoire de la littérature française de 1789 à nos jours (mars 1937)
95 cevoir que « les grandes questions gisent dans la rue  », comme disait Nietzsche. Nous disons « existence » (dure, naïve et
51 1937, Articles divers (1936-1938). À qui la liberté ? (5 mars 1937)
96 on. Je dis que la crise de la culture est dans la rue . Je dis que la culture fait le trottoir. Et que c’est la politique qu
52 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (15 avril 1937)
97 es abandonnés par leurs parents aux hasards de la rue , qui valent bien ceux de la famille, mais aussi aux hasards de l’éduc
98 e pierraille couronnant des hauteurs ventées. Les rues sont étroites et caillouteuses, pleines d’odeurs dès que le vent cess
99 — Dans la petite librairie grande ouverte sur la rue principale, je parcours, comme chaque jour, la plupart des journaux p
53 1937, Articles divers (1936-1938). Chamisso et le Mythe de l’Ombre perdue (mai-juin 1937)
100 e en mille manières. Les jeux des enfants dans la rue , les valets qui le servent, les femmes qu’il rencontre, surtout la lu
54 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Première partie. N’habitez pas les villes !
101 otre jardin. Passé la porte, on enfile une petite rue toute blanche qui contourne la panse de l’église, et aboutit à la pla
102 e de l’inquisition des voisins. Ici c’est dans la rue seulement, et c’est en somme moins énervant, en tous cas plus normal.
103 au conférencier et nous sortons ensemble. Dans la rue noire, un homme nous rejoint : c’est celui qui a présidé la réunion.
104 avec quelque vivacité, sauf par éclairs, dans la rue par exemple. Déjà je ne puis en retrouver le souvenir autrement que p
55 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Deuxième partie. Pauvre province
105 es abandonnés par leurs parents aux hasards de la rue , qui valent bien ceux de la famille, mais aussi aux hasards de l’éduc
106 e pierraille couronnant des hauteurs ventées. Les rues sont étroites et caillouteuses, pleines d’odeurs dès que le vent cess
107 Il y a des jours où tout, oui vraiment tout, les rues , les gens, les PTT, les magasins et les journaux, nous irrite ou exci
108 — Dans la petite librairie grande ouverte sur la rue principale, je parcours comme chaque jour, la plupart des journaux pa
56 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Troisième partie. L’été parisien
109 istoire, chaque nuance de la Tradition possède sa rue , ou au moins son quartier. On circule à travers les classiques, les e
110 encore un temps, et je goûtais la douceur de ces rues , sinueuses et mal éclairées, lorsqu’un groupe de jeunes gens et de je
57 1937, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Paysans de l’Ouest (15 juin 1937)
111 u conférencier, et nous sortons ensemble. Dans la rue noire, un homme nous rejoint : c’est celui qui a présidé la réunion.
58 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). N’habitez pas les villes (Extrait d’un Journal) (juillet 1937)
112 tre jardin. Passée la porte, on enfile une petite rue toute blanche qui contourne la panse de l’église et aboutit à la plac
113 avec quelque vivacité, sauf par éclairs, dans la rue , par exemple. Déjà je ne puis en retrouver le souvenir autrement que
59 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (25 juillet 1937)
114 otre jardin. Passé la porte, on enfile une petite rue toute blanche qui contourne la panse de l’église, et aboutit à la pla
60 1937, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Pages inédites du Journal d’un intellectuel en chômage (octobre 1937)
115 fond, dans l’odeur des lauriers épais. Voici les rues du village, illuminées comme un décor blanc et vert. Des chiens surgi
116 veau cet étrange écho des pas, si proche dans les rues vides, et ces mêmes chiens qui reviennent, et pas une âme. — « Vallée
61 1938, Articles divers (1936-1938). Søren Kierkegaard (février 1938)
117 eorg Brandes raconte qu’on pouvait le voir, de la rue , arpenter longuement les pièces illuminées de ses vastes appartements
118 t à écrire. Vers midi, on le voyait parcourir les rues les plus animées de la ville, parlant, riant et discutant avec les bo
62 1938, Articles divers (1936-1938). Nouvelles pages du Journal d’un intellectuel en chômage (avril 1938)
119 fond, dans l’odeur des lauriers épais. Voici les rues du village, illuminées comme un décor blanc et vert. Des chiens surgi
120 veau cet étrange écho des pas, si proche dans les rues vides, et les mêmes chiens qui reviennent, et pas une âme. « Vallée d
63 1938, Articles divers (1938-1940). Souvenir d’Esztergom (juin 1938)
121 que. Nous sortons ensemble de la petite ville aux rues de terre brûlante, aux maisons jaunes, basses, ville sans ombre, sans
64 1938, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Vues sur le national-socialisme (1er juin 1938)
122 endre. » Certes, Hitler a rétabli l’ordre dans la rue . Il fait régner la paix sociale. Il y avait six millions de chômeurs
65 1938, Journal d’Allemagne. I. Journal (1935-1936)
123 abac, dans la tristesse des ciels pesants sur les rues grises et trop bien astiquées. Méthode : Se garder d’attribuer au nat
124 rs, nous courions aux fenêtres chaque fois que la rue retentissait de chants. C’était une troupe noire ou brune, par rangs
125 ou deux par villa seulement. Mais les maisons des rues commerçantes et des quartiers populaires sont rouges du haut en bas.
126 nt puissant, soudain, a retenti au tournant de la rue . C’était un défilé de chemises brunes. Ils ont passé longuement devan
127 d. Je me suis laissé dire aussi que la police des rues feint de relâcher sa surveillance au cours de la quatrième semaine du
128 en sorte que les passants enhardis traversent la rue avec témérité aux moments interdits, et ce piège rapporte à l’État be
129 encore la vie de ces foyers qui se répand par les rues marchandes, aux devantures illuminées en plein midi, dans un parfum d
130 Moi. — Quelques observations, en flânant dans vos rues … Flâner, c’est une activité plutôt « réactionnaire », n’est-ce pas ?
131 outes les banderoles rouges tendues au-dessus des rues et qui portent des devises de propagande pour l’œuvre contiennent le
132 près comme avant, sauf qu’on ne tue plus dans la rue . (Je crois que c’est cela que les bonnes gens baptisent « l’ordre ».)
133 t dans sa voiture qui longeait très lentement une rue étroite, mal éclairée. Une seule chaîne de SS le séparait de la foule
134 , quand il ne retentit pas comme un défi dans les rues martelées de bottes, ou comme un hymne sacral au Führer sous les voût
66 1938, Journal d’Allemagne. II. Conclusion 1938
135 endre. » Certes, Hitler a rétabli l’ordre dans la rue . Il fait régner la paix sociale. Il y avait six millions de chômeurs
67 1939, Articles divers (1938-1940). Quel est le rôle de l’Université dans le pays ? (1939)
136 théâtre. Dans cette ville dont les places et les rues sont si pareilles à des décors, la nuit, nous avions l’impression de
68 1939, Tapuscrits divers (1936-1947). Pour une « Suisse chrétienne » (1939)
137 ce un nouveau slogan ? Il ne court pas encore les rues , mais on le voit paraître, de plus en plus souvent, dans certains art
69 1939, Articles divers (1938-1940). Un quart d’heure avec M. Denis de Rougemont : Hitler, grand-prêtre de l’Allemagne (11 janvier 1939)
138 t dans sa voiture qui longeait très lentement une rue étroite. Une seule chaîne de SS le séparait de la foule. J’étais au p
70 1939, Articles divers (1938-1940). Qui est Hitler ? (24 février 1939)
139 t dans sa voiture qui longeait très lentement une rue étroite, mal éclairée. Une seule chaîne de miliciens le séparait de l
71 1939, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Billet d’aller et retour (décembre 1939)
140 pôts de marchandises venues des Indes. Cette même rue se prolonge par des villas d’une incroyable variété de formes ultramo
72 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). La bataille de la culture (janvier-février 1940)
141 li, tantôt le fait qu’on n’assassine plus dans la rue mais seulement dans les prisons d’État. Je n’hésite pas à le dire : l
73 1940, Articles divers (1938-1940). D’un journal d’attente (pages démodées) (avril 1940)
142 ement général — ce qui ferait taxer l’homme de la rue de cynisme ou de lâcheté. Faut-il penser qu’ils sont plus courageux ?
143 d’un saint qui vivrait sa vie consacrée dans les rues , les cafés, les métros. Je le vois sortant de cette église ouverte, o
74 1940, Mission ou démission de la Suisse. La bataille de la culture
144 li, tantôt le fait qu’on n’assassine plus dans la rue mais seulement dans les prisons d’État. Je n’hésite pas à le dire : l
75 1940, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). « À cette heure où Paris… » (17 juin 1940)
145 ge au chef de guerre qui traverse aujourd’hui ces rues les plus émouvantes du monde : Il ne les connaîtra jamais. Il ne verr
76 1941, Journal de Genève, articles (1926–1982). Santé de la démocratie américaine (17 janvier 1941)
146 bâtiment, se transmettait dans la profondeur des rues environnantes et revenait submerger le square comme une marée de joie
77 1941, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). New York alpestre (14 février 1941)
147 e vingtaine de kilomètres, et deux-cent-cinquante rues de quatre kilomètres coupant les avenues à angle droit. Au milieu, un
148 t j’étais si bien au fond d’une gorge, dans cette rue de briques noircies où circulait un vent âpre et salubre. La mer et l
78 1941, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Souvenir de la paix française (15 mars 1941)
149 rait des âmes dans leur destin. Je longeais cette rue silencieuse, imaginant d’y vivre un jour, dans une fermette aux volet
150 suis aux champs Paix du village, silence des rues vides, ouvertes sur le ciel et sur les blés. J’étais là fasciné comme
79 1942, La Part du diable. Première partie. L’Incognito et la Révélation
151 urment : elle ne pouvait plus se promener dans la rue sans se voir aussitôt attaquée par les oiseaux. Depuis des mois, elle
80 1942, La Part du diable. Deuxième partie. Hitler ou l’alibi
152 t dans sa voiture qui longeait très lentement une rue étroite, mal éclairée. Une seule chaîne de SS le séparait de la foule
153 ge au chef de guerre qui traverse aujourd’hui ces rues les plus émouvantes du monde : il ne les connaîtra jamais. Il ne verr
81 1942, La Part du diable. Quatrième partie. Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
154 attitude spirituelle. La foule n’est pas dans la rue seulement. Elle est dans la pensée des hommes de ce temps, elle a ses
155 e lecteur qui parcourt le sommaire de ce livre se rue sur le chapitre 37. Voilà le point ! pense-t-il. Quel dommage ! J’ai
82 1942, La Part du diable (1944). Première partie. L’Incognito et la Révélation
156 on tourment : elle ne pouvait se promener dans la rue sans se voir aussitôt attaquée par les oiseaux. Depuis des mois elle
83 1942, La Part du diable (1944). Deuxième partie. Hitler ou l’alibi
157 t dans sa voiture qui longeait très lentement une rue étroite, mal éclairée. Une seule chaîne de SS le séparait de la foule
158 ge au chef de guerre qui traverse aujourd’hui ces rues les plus émouvantes du monde : il ne les connaîtra jamais. Il ne verr
84 1942, La Part du diable (1944). Quatrième partie. Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
159 attitude spirituelle. La foule n’est pas dans la rue seulement. Elle est dans la pensée des hommes de ce temps, elle a ses
160 e lecteur qui parcourt le sommaire de ce livre se rue sur le chapitre 53. Voilà le point ! pense-t-il. Quel dommage ! J’ai
85 1942, La Part du diable (1982). Première partie. L’Incognito et la révélation
161 on tourment : elle ne pouvait se promener dans la rue sans se voir aussitôt attaquée par les oiseaux. Depuis des mois elle
86 1942, La Part du diable (1982). Deuxième partie. Hitler ou l’alibi
162 t dans sa voiture qui longeait très lentement une rue étroite, mal éclairée. Une seule chaîne de SS le séparait de la foule
163 ge au chef de guerre qui traverse aujourd’hui ces rues les plus émouvantes du monde : il ne les connaîtra jamais. Il ne verr
87 1942, La Part du diable (1982). Quatrième partie. Le diable dans nos Dieux et dans nos maladies
164 attitude spirituelle. La foule n’est pas dans la rue seulement. Elle est dans la pensée des hommes de ce temps, elle a ses
165 e lecteur qui parcourt le sommaire de ce livre se rue sur le chapitre 53. Voilà le point ! pense-t-il. Quel dommage ! J’ai
88 1943, Articles divers (1941-1946). Mémoire de l’Europe : Fragments d’un Journal des Mauvais Temps (septembre 1943)
166 ement général — ce qui ferait taxer l’homme de la rue de cynisme ou de lâcheté. Faut-il penser qu’ils sont plus courageux ?
167 d’un saint qui vivrait sa vie consacrée dans les rues , les cafés, les métros. Je le vois sortant de cette église ouverte, o
168 lantique, avec tous ses drapeaux claquants et ses rues débouchant sur le ciel, la ville aux sept collines oublie la guerre,
169 rait des âmes dans leur destin. Je longeais cette rue silencieuse, imaginant d’y vivre un jour dans une fermette aux volets
170 la plaine. Un peu avant la sortie du village, la rue bifurque : une route prend à droite, vers la plaine, escortée de quel
171 suis Aux champs Paix du village, silence des rues vides ouvertes sur le ciel et sur les blés. J’étais là fasciné comme
172 qui renvoient l’écho familier de nos pas. Et ces rues qui tournaient doucement vers une place plantée d’arbres et déserte,
89 1943, La Vie protestante, articles (1938–1978). Les tours du diable VI : Le mal du siècle : la dépersonnalisation (19 novembre 1943)
173 attitude spirituelle. La foule n’est pas dans la rue seulement. Elle est dans la pensée des hommes de ce temps, elle a ses
90 1943, La Vie protestante, articles (1938–1978). Les tours du diable XI : Le diable dans nos dieux (24 décembre 1943)
174 n jour, un Philanthrope s’en allait le long de la rue . Il avait la tête et les poches pleines de projets philanthropiques,
91 1944, Les Personnes du drame. I. Sagesse et folie de la personne — 3. Kierkegaard
175 org Brandès rapporte qu’on pouvait le voir, de la rue , arpenter longuement les pièces illuminées de ses appartements. Dans
176 it à écrire. Vers midi, on le voyait parcourir la rue la plus animée de la ville, parler, rire et discuter avec des bourgeo
177 faut aller plus loin. La foule n’est pas dans la rue seulement. Elle est dans la pensée des hommes de ce temps. Le génie r
92 1945, Articles divers (1941-1946). Les règles du jeu dans l’art romanesque (1944-1945)
178 ire, que cela s’est passé tout à l’heure, dans la rue , il ferait aussitôt mille objections. Il vous jugerait avec toute la
93 1945, Le Semeur, articles (1933–1949). La responsabilité culturelle de l’Église (mars 1945)
179 sseront de s’identifier aux yeux de l’homme de la rue à une certaine classe sociale, à un ordre établi, ou à la réforme du
94 1945, Le Figaro, articles (1939–1953). Le mensonge allemand (16 août 1945)
180 ment civil réunit cent personnes, au hasard de la rue , et se met à les interroger. « Êtes-vous nazis ? » Tous jurent que no
95 1945, Le Figaro, articles (1939–1953). Un climat tempéré (22 août 1945)
181 Le business même s’alourdit et s’endort. Dans la rue des gens tombent. Le veston sur le bras, on erre dans un bain de vape
96 1945, Le Figaro, articles (1939–1953). La guerre est morte (5 septembre 1945)
182 plus servir, à l’occasion, que pour le combat de rues , les petites guerres civiles et autres différends d’intérêt local, vo
97 1945, Carrefour, articles (1945–1947). L’Amérique de la vie quotidienne (19 octobre 1945)
183 e. L’avouerai-je ? Aux premiers contacts, dans la rue ou à la maison, je les trouvais tous un peu crazy les gens d’ici. Ils
98 1945, Carrefour, articles (1945–1947). Le rêve américain (9 novembre 1945)
184 toutes les salles de cinéma. Ils marchent dans la rue en chantonnant leurs mélodies toujours si tristes, mais avec un souri
99 1945, Carrefour, articles (1945–1947). Hollywood n’a plus d’idées (13 décembre 1945)
185 tin ? Dans ce petit restaurant français de la 56e rue , à l’ouest, un jour de l’autre hiver, le garçon vint me dire à l’orei
100 1946, Journal de Genève, articles (1926–1982). Journal d’un retour (11-12 mai 1946)
186 s entrer ? Je ne puis pas distinguer les noms des rues sur ces maisons jaunes ou grises et si basses. Je cherche à voir, le
187 encore dans la banlieue… Déjà nous descendons une rue déserte et provinciale. C’était cela, le boulevard Saint-Michel ? Mai
188 les larmes aux yeux. Premier bruit de pas dans la rue . Semelles de bois. Une femme de ménage sort ses clés, ouvre une porte