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, dollar-dieu, vie simplifiée jusqu’à l’anonymat,
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de la culture de masse, rapports humains durs et purement utilitaires
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e des cieux », et qu’elle est aujourd’hui sous le
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de la Loi, donc du péché et de la mort, mais le Credo n’en affirme pa
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and Spirit). Et ceci ramènerait la pensée sous le
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de la Loi, c’est-à-dire dans la « chair », telle que la définissent s
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erait liée à la production en série. On prédit le
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des robots. On va jusqu’à l’excès — devenu courant — d’opposer la bom
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e la chair, de la matière et de la vie naturelle,
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et création du Démiurge. D’où l’ascétisme, le monachisme, l’angélisme
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viennent gênants — qui furent en vigueur sous son
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, ne se voient dénoncés que des lèvres, et à seule fin d’exonérer le g
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la gloire sombrement émanée de ces marbres. Elle
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, taciturne, au plus bel espace vide jamais délimité par l’artifice hu
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veraineté à qui lui plaît. À partir de là, ce qui
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, c’est la confusion sémantique. On appelle démocratie populaire, par
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x que par ce cercle. III. Robert Musil et le «
règne
millénaire » Ingénieur, officier, philosophe, écrivain, esprit rel
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che de l’amour mystique : c’est ce qu’il nomme le
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millénaire ou l’accession à l’« autre vie », à l’état d’amour pur, à
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régénérer la tragédie. « Une harmonie préétablie
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entre la musique et le drame parfait. » Nietzsche voit dans le mythe
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et l’aimée se confondent en un seul être, dans le
règne
sans fin de l’Amour sans réveil. Là, rien n’est plus ni vrai ni faux,