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er parlait si noblement, avec la vue bornée des «
réalistes
», le scepticisme et la lâcheté civique. Il est, dans l’histoire des
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ail de déblaiement, d’études précises, de calculs
réalistes
. Ces hommes ne peuvent guère exister et travailler que dans les pays
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par tous les paresseux d’esprit qui se prétendent
réalistes
. Encore faut-il — et je termine là-dessus — qu’elle ne repose pas sur
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uelle est le signe ? Pour certains, qui se disent
réalistes
, si nous sommes neutres, c’est uniquement en vertu de nécessités tout
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demandent d’entrer en guerre ? Ni l’argument des
réalistes
, ni celui des juristes, ni celui des stratèges, ne suffiraient à just
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ais vous dire aujourd’hui : le seul moyen réel et
réaliste
de conserver nos privilèges, c’est de les considérer comme les charge
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ens s’imaginent que les petites raisons sont plus
réalistes
que les grandes. Beaucoup de gens s’imaginent que les réalités matéri
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git de les prendre au sérieux si l’on veut rester
réaliste
. Épargnés jusqu’ici par les bombardements, nous sommes engagés comme
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; non pas trop bas, dans cette fausse réalité des
réalistes
terre à terre, mais au niveau de notre action, à hauteur d’homme. 3.
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dition de leur indépendance, même matérielle. Nos
réalistes
— toujours en retard d’une guerre, d’une époque — ont récemment décou