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me trouvais cependant rendu à mon travail le plus
réel
, qui est d’écrire. Cette situation paradoxale m’a fait découvrir tout
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it découvrir tout un monde. Elle m’a confronté au
réel
, à la vie quotidienne d’un peuple qui se trouvait tout ignorer de ma
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ommune », au double sens de ce mot ; il s’agit du
réel
que tout le monde vit. Je crois que c’est là seulement que les idées
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i que les façons de vivre et de penser des hommes
réels
, peuplant la France réelle, étaient en somme peu connues : ni les rom
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et de penser des hommes réels, peuplant la France
réelle
, étaient en somme peu connues : ni les romans, ni les journaux, ni le