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out désespoir qui ne serait pas le seul désespoir
réel
: celui qui dévaste la nature humaine jusqu’à ces profondeurs dernièr
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ots, alors qu’il eût fallu répondre à un tourment
réel
, maladroitement exprimé par ces mots. Mais, bien souvent aussi, on ré
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tout ce qui leur fiche un désespoir pour une fois
réel
; tout ce qui les désarme devant Dieu et les jette nus dans la foi. 2
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fol orgueil. « Positif » est ce qui rapproche du
Réel
. Cela prend bien souvent l’aspect d’une destruction. Il peut paraître
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ue notre temps croit devoir considérer comme plus
réel
que le spirituel. Il me paraît certain qu’une dialectique fondée sur
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us directe ; si au contraire le paradoxe est bien
réel
, s’il est bien tel que l’ont formulé un Paul, un Luther, un Calvin, c
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ialectique absolue. Il n’y a plus ici d’opération
réelle
que par la Parole de Dieu : acte de la Parole, que l’homme ne peut sa
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été notre problème ? Car un problème n’est jamais
réel
que pour celui qui peut l’incarner dans sa vie, le résoudre au concre
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en elle enfin que s’opère l’acte d’une communion
réelle
. La personne est un lieu d’héroïsme, et cela signifie qu’elle est le
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rce qu’il est pour moi, à tel instant, le symbole
réel
de Celui qui nous a dit : « En vérité, toutes les fois que vous avez
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s ou de tendresse. En vérité, point de séparation
réelle
, jamais de vide entre moi et le monde, non, rien que la tension d’un
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uement du « barthisme » d’une telle œuvre, — plus
réel
sans doute, parce qu’il est plus inconscient, que celui de nos essais
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on pas dans le pain et le vin, il y a la présence
réelle
du Seigneur mort pour nous, impies ? Peut-être le fidèle d’aujourd’hu
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voilà la vraie leçon de nos voyages en Palestine,
réels
ou figurés. Nous ne pouvons nous empêcher d’imaginer. Le sermon le pl
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s conduire sur le plan véritable et dans le temps
réel
où ces témoins sont apparus. Dans un certain sens, on peut dire que l
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sité ? L’on verrait mieux alors, que l’opposition
réelle
n’est pas, ainsi qu’on risque de le déduire de l’entreprise des Pères
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de l’autre23. L’on verrait mieux que l’opposition
réelle
est entre la conception « évangélique » et la conception papale ; ent
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s fondamentales de la Réforme. Voilà l’opposition
réelle
, du noir au blanc, que nos frères catholiques ont tant de peine à dis
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troduits pour voiler, pour atténuer les scandales
réels
, et pour relier rationnellement ce que le péché a séparé. Est-ce que
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e l’Esprit, à laquelle on n’accorde aucun pouvoir
réel
d’éclairer, de faire taire la nature, d’enseigner « objectivement » l