1 1971, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). La poussée régionaliste en Europe occidentale (avril 1971)
1 u est manifestement trop petit pour jouer un rôle réel à l’échelle planétaire. Aucun ne peut plus assurer seul sa défense mi
2 e une vie civique digne du nom, une participation réelle . L’État-nation trop petit appelle la fédération ; trop grand, il appe
2 1971, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). Paul Valéry et l’Europe (29 octobre 1971)
3 connue de Valéry s’illustre ici : mathématiser le réel , géométriser l’événement, mettre en figures, dont les propriétés soie
3 1972, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). « Le respect du réel, c’est le revers du paradoxe » (14 décembre 1972)
4 « Le respect du réel , c’est le revers du paradoxe » (14 décembre 1972)g Denis de Rougem
5 leurs rapports qui à mes yeux sont seuls vivants, réels , dignes d’intérêt. Ou si vous voulez, le vrai sujet de ma réflexion e
6 voir qu’une liaison. Mais quand il y a engagement réel et fidélité à cet engagement, alors la personne peut s’épanouir. Il n
7 et le Divers… paradoxe. Voyez-vous, le respect du réel , c’est le respect du paradoxe. C’est vrai qu’il m’amuse, vrai qu’il c
8 alité. g. « Denis de Rougemont : le respect du réel , c’est le revers du paradoxe », Le Monde, Paris, 14 décembre 1972, p.
9 ener la pensée à la plus insistante vénération du réel .” Par cette vénération se trouve fondé un refus instinctif de choisir
10 , le poète, l’homme d’action enfin. À l’écoute du réel , Denis de Rougemont va retrouver l’unité des termes que l’habitude op
4 1974, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). La révolte des régions : l’État-nation contre l’Europe (mars 1974)
11 osité de leurs polices, donc un danger, pour eux, réel ou imaginaire. Ni imbécile au point de ne pas m’en apercevoir, ni gau