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ie politique sans rapports organiques avec la vie
réelle
du pays. Elle affirme la plus totale incompétence en ces matières. Et
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voit bien qu’elles sont sans rapport à la misère
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des hommes, mais on voit bien aussi qu’elles servent à distraire l’ho
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aît, dans ses calculs « pratiques », ni la misère
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ni la grandeur de l’homme. Il porte rarement le poids des injustices
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, et dont nous connaissons aussi la signification
réelle
. C’est l’argument des gens en place qui, chaque fois que nous venons
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qu’aujourd’hui, mais aussi jamais moins d’accord
réel
, jamais plus de haine déclarée. L’amour des hommes, transposé dans la
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mple : que la société doit être composée d’hommes
réels
. Nous avons tout calculé, sauf ce qui est en effet incalculable : l’a
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une telle attitude et quelles révolutions, enfin
réelles
, elle prépare. Mais ce serait là une autre conférence. ⁂ Il reste une
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rsonnel. Quel est donc, nous dit-on, le fondement
réel
de la personne ? Est-ce une vue philosophique ? Est-ce une attitude n
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dans les bureaux d’État, il reste dans l’activité
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de chaque personne, au sein de groupes d’autant plus forts qu’ils son
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e qui serait en peine de montrer un seul individu
réel
, l’individu des droits de l’homme n’étant rien qu’un concept juridiqu
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bien n’être que la fixation brutale d’un désordre
réel
. Cet ordre reste à la merci de la révolte suffisamment violente de qu
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ersonne, voilà la définition de la seule autorité
réelle
, rayonnante, et qui ne se fonde pas sur la contrainte matérielle, mai
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« braves gens », Marx montrait que leur activité
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était l’exploitation économique du prolétaire, que leur libéralisme c
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r. En bref, Marx démontra d’abord le matérialisme
réel
de la bourgeoisie qui se croyait idéaliste. Puis il systématisa sa cr
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écrit sans pudeur la part honteuse de leur nature
réelle
. Prenons donc d’abord la thèse matérialiste en elle-même, dans son ex
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isé, de moins en moins favorable à une révolution
réelle
, surtout brusque. Une anthropologie pseudo-scientifique et déterminis
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vous aussi, dans le temps, ce qui n’a d’existence
réelle
que dans l’unité, dans l’instant. Faisons ici une distinction importa
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pourra et devra affirmer que la seule communauté
réelle
et humainement bienfaisante est celle qui se fonde dans ce rapport or
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out désespoir qui ne serait pas le seul désespoir
réel
: celui qui dévaste la nature humaine jusqu’à ces profondeurs dernièr
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des échecs humains ; mais c’est un bien qui n’est
réel
que pour celui qui veut l’atteindre. Qu’est-ce qu’un homme converti ?
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monde ». Le chrétien ne connaît pas d’autre force
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que celle de la foi. Or cette unique force ne lui appartient pas ; to
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iques que si nous posons le problème sur son plan
réel
. Or, le lieu de sa décision n’est pas le lieu des décisions et des ca
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tilement au christianisme, comme une « question »
réelle
et féconde. Mais en face de ce triomphe humaniste, le chrétien ne pou
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: jamais les hommes n’arriveront à donner un sens
réel
aux paroles de l’Évangile. Dieu seul le peut. La conclusion de tout c
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esque impossible d’envisager froidement la nature
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du danger. Cet élan d’opinion populaire, guidé par quelques professeu
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aire les esprits, détourner l’attention des faits
réels
, et couvrir ainsi la naissance et les premiers développements d’une i
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ers du fascisme La cohérence du fascisme n’est
réelle
et organique qu’à partir de l’État. Mais depuis l’origine du monde, l
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ocation. Qui n’est pas fasciste ? Le danger
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du fascisme n’apparaît pas à la majorité des bons bourgeois. Les fusi
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nsable de son risque ; surtout, elle se sait plus
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que toute réalité collective. Elle ne croit pas à la valeur d’une uni
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sont pas les nôtres, qui ne sont pas les intérêts
réels
d’un être aux prises avec la condition humaine ? Ni pour le mensonge
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st une question personnelle, une mise en question
réelle
. Je la cherche. Ce qu’il faut pour légitimer un système d’idées en el
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ine de toute vie organique et de toute solidarité
réelle
, comme il était, en régime capitaliste, la guerre du droit et de la j
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actuel. Elles nous permettent aussi de donner sa
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et pratique importance, dans l’ordre des sanctions immédiates, à une
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homme cessa de croire à ses besoins, à ses désirs
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, et s’hypnotisa sur l’idée du standing de vie, défini par comparaison
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qui voudrait témoigner par des actes de son amour
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, de sa pitié pour le peuple trompé, passerait infailliblement pour le
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e scandaliser le bourgeois. Il n’y a qu’une façon
réelle
de mettre les pieds dans le plat : c’est de croire. Il n’y a qu’une f
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le plat : c’est de croire. Il n’y a qu’une façon
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de croire : c’est d’agir. Mais duquel de nos coryphées du marxisme ap
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elui qui croit en Dieu. Voilà la seule opposition
réelle
, la seule qu’il y ait lieu de prendre au sérieux. Autocritique
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ue de l’ordre ; de part et d’autre, aucun pouvoir
réel
, aucune doctrine cohérente et lucide. Les uns ignorent ce qu’ils veul
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e des hommes, un à un. L’aide apportée aux hommes
réels
, un à un, dans leur situation particulière. L’établissement de relati
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ale qu’elle attribue au travail ; mais son effort
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consiste d’autre part à créer des possibilités toujours plus grandes
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atteinte, le machinisme développerait son pouvoir
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de « libération ». La liberté fait plus peur qu’envie au commun des m
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s victimes ne mettent jamais en question les buts
réels
: le capitalisme a ses tabous. Nul ne pouvait prévoir ce que réservai
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71 qui en masquent les effets statistiques, sinon
réels
. Ce n’est donc guère que depuis trois ou quatre ans que le saut de 19
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nd peur et porte lui-même les premières atteintes
réelles
à sa religion du progrès. Il freine partout la rationalisation et rac
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ncore faut-il que les philosophes pensent dans le
réel
, c’est-à-dire dans l’actualité, au sens littéral du terme ; et c’est
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croire transitive, conciliant les contradictions
réelles
sur le plan tout abstrait de l’étatisme, au lieu de les laisser se dé