1
exemple, une situation qui nous pose un problème
réel
! Mais après tout, qu’est-ce qu’un problème ? Est-il sûr que tout le
2
a solution d’un problème, mais il est la présence
réelle
qu’on connaît avec assurance dès l’instant qu’on lui obéit. C’est lor
3
’homme dispose ; c’est montrer que l’esprit n’est
réel
et ne mérite que l’on s’inquiète à son sujet que lorsqu’il s’abaisse
4
usé de s’abaisser à hauteur d’homme, au niveau du
réel
, que notre culture se défait. Immortalité académique2, faux sublime o
5
roblème de la culture. J’ai dit que tout problème
réel
se pose à nous à partir du moment où son objet (Dieu, la culture, l’a
6
pressent sa solution. Et qu’ainsi toute critique
réelle
suppose une intention de construction. Ces constatations préalables v
7
ultivés », séparation de l’esprit et des pouvoirs
réels
, voilà le terme d’une évolution, ou mieux d’une décomposition dont no
8
comme telle, ne fût-ce qu’en précisant les traits
réels
de la culture qu’elle prétend remplacer. Dans la mesure où la culture
9
outer : « Par conséquent, la seule représentation
réelle
à laquelle la notion de culture socialiste puisse se rapporter, c’est
10
ésoudre magistralement. Hegel : « Tout ce qui est
réel
est rationnel » — voilà qui justifie l’acquis. Tout ce que l’antithès
11
nt accepter en fait de n’avoir plus aucune action
réelle
sur le cours des choses humaines. Ils paraissent avoir pris à cœur de
12
t une tyrannie, tandis que la doctrine, évadée du
réel
, se flattait d’une absurde liberté. Or nous voyons que cette pratique
13
fins dernières de l’homme, son œuvre de division
réelle
et d’organisation abstraite. Tout ceci pouvait être prévu dès l’époqu
14
la vérité de la culture et sa chance de grandeur
réelle
résident dans la vérité de la commune mesure régnante. Mais un exempl
15
pas de l’Église de Rome, mais bien de son empire
réel
sur la conscience européenne, cette décadence me paraît se traduire,
16
er un besoin d’expression qui n’a plus de mission
réelle
. C’est un jeu formel et précis, dont ils sont seuls à connaître les r
17
la mesure n’est plus cette loi qui vit en l’homme
réel
et personnel, cette alliance du peuple avec sa vocation, qui faisait
18
ent de malentendus entre la France et ses voisins
réels
. Il a paru en France nombre d’ouvrages excellents sur l’œuvre culture
19
uer la dictature que lorsqu’il assure une liberté
réelle
et plus féconde que la contrainte. Les surréalistes sont fondés à par
20
tions de départ différentes, prouve que la mesure
réelle
, dans l’un et l’autre cas, n’est pas la doctrine, mais la technique d
21
rouver ce « fondement final » de toute communauté
réelle
et actuelle, ce télos qui anime tout, qui exige tout, et qui impose à
22
où trouver le fondement final de toute communauté
réelle
et actuelle ? je suis donc amené à répondre premièrement : c’est par
23
nt des mesures de propagande, non pas d’éducation
réelle
. Elles poursuivent et incarnent dès maintenant des buts partiels, des
24
nt l’usage actuel néfaste, lorsqu’il était encore
réel
. Elles s’honorent de n’avoir plus ni presse d’opposition, ni partis,
25
eur total, où peut-être on touchera de nouveau le
réel
, où peut-être on retrouvera des raisons sérieuses et urgentes, enfin
26
le image du monde où l’homme s’éprouve de nouveau
réel
, actif, nécessaire et relié. Tout jugement politique ou idéologique s
27
les, ces religions ne sauraient combler l’attente
réelle
. Elles ne sont pas une réponse nécessaire. Elles ne sont qu’une tenta
28
non dans l’État totalitaire. Elle a pour formule
réelle
— même là où l’on refuse encore ce nom — la fédération, non la masse
29
dangereuse pour le penseur, et transformatrice du
réel
. « Là où je crée, là je suis vrai », écrivait Rilke. Et c’est pourquo
30
tteste et la convainc de gravité. Il n’est d’acte
réel
que celui que l’on pense, et ma formule implique la primauté de la pe
31
suspendue à une certaine confusion du travailleur
réel
et responsable avec le prolétaire mécanisé, la crise de la pensée, mo
32
mot dans un sens large, d’appréhension directe du
réel
par l’imagination aventureuse et formatrice.) Voilà sans doute leur p
33
n du choix n’étaient pas, d’autre part, l’origine
réelle
du concept de dictature que nos bons libéraux voudraient attribuer à
34
d’une situation qui cependant posait une question
réelle
, exigeait un acte de choix, c’est-à-dire instituait un risque. On déc
35
e dans la vie intérieure qu’elle mène à l’abri du
réel
abandonné au jeu des lois. Le confort de cette position n’est pas nia
36
sait le nier. Les idéalistes vivaient à l’abri du
réel
; le réel se révolte et les met en question ; alors ils se rejettent
37
er. Les idéalistes vivaient à l’abri du réel ; le
réel
se révolte et les met en question ; alors ils se rejettent vers le ma
38
pensée est seule passible d’une mise en question
réelle
, irritante et peut-être féconde. Où sont les responsables ? Ce ne son
39
s ceux qui refusent l’instant, la tâche minime et
réelle
, au nom des manuels d’histoire et d’une évolution fatale ; tous ceux
40
que. « Disons-le : l’enseignement a pour objectif
réel
, le diplôme. Le diplôme est l’ennemi mortel de la culture. » 68. Lan
41
ourgeois comme tel ? C’est l’homme sans problèmes
réels
. Et qu’est-ce qu’un problème réel ? C’est une situation qui n’a pas d
42
sans problèmes réels. Et qu’est-ce qu’un problème
réel
? C’est une situation qui n’a pas d’autre issue que l’acte personnel,
43
ou le jugement transcendant. Il n’y a de problème
réel
que de la création et de la fin, c’est-à-dire des extrêmes. Quant aux
44
n joug. Nietzsche. De même que toute conscience
réelle
du péché suppose une action de la grâce, la conscience d’une démissio
45
e qui pèse, et qui pose une certitude. Une pensée
réelle
, c’est une pensée qui agit, et en ce point elle se confond naturellem
46
éthique : l’actualité de la pensée. Toute pensée
réelle
agit dans l’immédiat, au lieu de rêver dans l’avenir et le passé, dom
47
is un acte de présence, d’information profonde du
réel
à l’image d’une vision commune, un acte d’incarnation dans nos limite
48
’imposera. Tout acte créateur contient une menace
réelle
pour l’homme qui l’ose. Et c’est par là qu’une œuvre touche le specta
49
a réalité se condamne à ne rien découvrir, car le
réel
ne livre ses secrets qu’aux violents qui acceptent ses violences. Ain
50
istence d’un conflit, c’est-à-dire la présence du
réel
. Il rend à ma pensée sa gravité, son poids, sa raison d’être. Il me r
51
eule autorité valable. La liberté de penser n’est
réelle
que chez un homme qui a reconnu et qui accepte le danger de penser. O
52
ne cherchaient pas d’abord, une connaissance plus
réelle
de l’homme.) L’inertie qui résulte pratiquement de confusions pareill
53
e seule phrase, en un seul geste, deux aspects du
réel
, l’être et l’expression, entre lesquels le temps, l’espace et toutes
54
it s’y engage à sa suite, persuadé qu’il pense le
réel
, alors qu’il suit tout simplement sa ligne de moindre résistance. Dis
55
les conditions humiliantes que lui imposerait le
réel
tel qu’il est, il s’échappe dans l’imagination d’actions impossibles
56
mble à la poésie, et non pas dans ce qui tient au
réel
, souvent « laid ». Et c’est ainsi que le style d’évasion rejoint les
57
été notre problème ? Car un problème n’est jamais
réel
que pour celui qui peut l’incarner dans sa vie, le résoudre au concre
58
ain. C’est en elle enfin que s’opère la communion
réelle
de l’acte. La personne est un lieu d’héroïsme, et cela signifie qu’el
59
qui l’ont inventée ne se souciaient pas d’action
réelle
. 89. Qu’est-ce qui, dans notre langage ou notre pensée, n’est pas c