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rme dramatisée, certaines structures profondes du
réel
. Je parle de structures littéralement fondamentales, car elles sont a
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ci quelque moyen facile d’illustrer des idées. Le
réel
n’est pas fait d’idées et de matière. Je le conçois gouverné par des
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la divinité par un plus court chemin que celui du
réel
; par un chemin que l’on inventerait soi-même, en dépit des interdict
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st l’imagination, puis le désir, d’un bien que le
réel
condamne et que le plan divin ne prévoit pas. Satan, lorsqu’il tente
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Il est devenu le messager qui n’a plus de message
réel
, l’agent du Néant parmi nous. Dès lors, il ne peut plus créer que le
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us jette au mal, qui est la torsion du bien et du
réel
vers le néant. Ce mal fait, Satan se dévoile comme un ennemi mortel d
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une seule chose pire que de douter du bien et du
réel
, et c’est de douter du pardon, une fois qu’on a trahi le bien et le r
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r du pardon, une fois qu’on a trahi le bien et le
réel
. Car douter du pardon nous replonge dans le mal, avec la sombre jouis
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de la Création continue, du dynamisme immanent au
réel
. Par-dessus tout, il ignore le sens du drame de la Rédemption. Il ne
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oire qu’il n’y a pas de juge, ni d’ordre divin du
réel
, et aussitôt que nous l’avons cru, de nous accuser de contravention d
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e se satisfaire malgré nous, malgré nos exigences
réelles
et bien au-delà de nos possibilités. Chose étrange, nous sommes ainsi
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aisies ridicules, bien loin du lieu de son action
réelle
. N’avez-vous pas connu de ces dames charmantes qui se récrient dès qu