1 1946, Journal des deux mondes. Avertissement
1 , — celle dont l’Histoire ne parlera pas, la plus réelle .
2 1946, Journal des deux mondes. Journal d’attente
2 que chacun de nous dissimule. Alors on verrait le réel , alors on cesserait de haïr, ou d’être déçu par l’amour, ou de s’inqu
3 notre chance de vivre une vie plus consciente et réelle . Quoi qu’il advienne, sachons voir, en toutes choses, la double possi
3 1946, Journal des deux mondes. Puisque je suis un militaire…
4 stin, parce qu’on vient de remplir les limites du réel et d’accomplir un seul instant parfait. 10 octobre 1939 Au mess
5 es hommes ont le regard net, accoutumé à taxer le réel avec une dure exactitude : face au danger. Leur Suisse est au sommet
6 vagues à peine figées dans leur élan. Une Suisse réelle , et non pas un décor ; non pas un état d’âme vaporeux, comme les idyl
7 uirlandé au coin de ses tableaux ; ce sera l’arme réelle du guerrier suisse, signe des vieilles libertés ; et maintenant c’est
4 1946, Journal des deux mondes. Anecdotes et aphorismes
8 usera au Jugement dernier. » Voilà les dimensions réelles qu’il faut oser envisager. Elles ne sont pas démesurées. Elles doiven
5 1946, Journal des deux mondes. La route de Lisbonne
9 quotidiennement, inconsciemment, qu’il était bien réel et bien lui-même… En mer, nuit du 14 au 15 septembre 1940 Les d
6 1946, Journal des deux mondes. Solitudes et amitiés
10 (sur « l’amour tel qu’on le parle » et la passion réelle ). Tonio rentre un soir de New York portant gauchement sous le bras un
7 1946, Journal des deux mondes. Virginie
11 ucoup moins riches, détiennent une puissance plus réelle . Mais ce n’est là que l’enfance de l’art, et la question la plus élém
8 1946, Journal des deux mondes. Le choc de la paix
12 une Amérique secrète, qui sent mieux son histoire réelle que ses trop larges ouvertures sur un avenir planétaire. Juillet 1
13 sont déprimantes, parce qu’elles sont sans objet réel . Tout ce que l’on peut penser de l’Europe en général et de l’Amérique
9 1946, Journal des deux mondes. Journal d’un retour
14 000 millions d’habitants de la planète, non moins réels , guère moins accablés de problèmes. Mais je ne cherche pas à m’en tir