1 1947, Vivre en Amérique. Prologue. Sentiment de l’Amérique
1 re expliquer l’histoire du siècle, notre histoire réelle . Car celle-ci dépend de deux peuples — l’autre est le russe — dont to
2 1947, Vivre en Amérique. Vie politique
2 décrire l’envers de tant de vertus cependant bien réelles . ⁂ Le vice majeur d’une grande démocratie, c’est d’être grande. Cette
3 sociaux de l’Amérique : l’absence d’antagonismes réels , moraux et idéologiques, entre patrons et employés. Chacun sait que l
4 , le modèle stalinien. Cette absence d’opposition réelle , ce manque de tension créatrice, ce défaut de toute force subversive
3 1947, Vivre en Amérique. Vie culturelle et religieuse
5 es seront citées in extenso. Ainsi la controverse réelle est exposée, pièces à l’appui, devant le lecteur. Mais ce que vous ne
6 t. En France, il arrive trop souvent que le débat réel reste mal défini, les positions des parties en présence n’ayant pas é
7 st beau, jamais on ne voit percer la trame nue du réel . Jamais un choc, pour tant de coups de poing, de coups de feu et de c
8 Elle a le génie de ne rien dire qui la rende plus réelle qu’une image. Ne serait-ce pas là son secret ? Se prêter à la fantais
9 ’Américain cherche au contraire à « réaliser » le réel , à nous y enfoncer, et peut-être à s’y perdre. Une description, une é
10 yances du « chrétien moyen », quand tout chrétien réel est par définition une personne unique, un être exceptionnel. On ne s
4 1947, Vivre en Amérique. Conseil à un Français pour vivre en Amérique
11 se ici sur la parole donnée, seul fondement d’une réelle démocratie. Je mets à part le cas de l’Immigration Service, déjà nomm
12 Boyer, de la moustache de Menjou, et de l’intérêt réel — soit dit à votre honneur — que vous portez au sexe faible. J’ai vu
13 ule ou forme d’expression, c’est l’incohérence du réel . (Tout ce que l’on peut en dire, c’est qu’on l’éprouve.) Or justement
14 tés organiques qui peut seul ménager des libertés réelles . Le sens de l’échec, de sa nécessité métaphysique et de sa valeur d’
15 le secret de la liberté. Car il n’est de liberté réelle qu’en avant, dans tous les ordres, à chaque instant, — si l’on veut b