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r bonne ou mauvaise ? Juge-t-elle l’individualité
réelle
ou illusoire ? Cherche-t-elle à transcender le moi, ou bien à s’en év
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on individuelles ; l’au-delà était tenu pour plus
réel
que l’ici-bas, dont il convenait par suite de s’évader, plutôt que d’
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x directions maîtresses de sa Quête inlassable du
Réel
. Pour passer du sens géographique et historique de nos deux termes à
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et Orient qui n’est pas celui des atlas, l’Orient
réel
, qui va de la Perse au Japon, bénéficie très largement dans nos espri
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res, discipline ordonnant l’intellect aux lois du
réel
observé, et le corps à l’action efficace, afin de mieux pénétrer la C
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echerche ? et cet objet lui-même, est-il vraiment
réel
? S’identifier à l’Un, à la divinité, ne serait-ce pas, pense l’Occid
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e » pas mais qu’il est Tout, et que le Tout ou le
Réel
n’est que le Moi pleinement réalisé et accompli (That Thwam Asi) — il
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’Occident, et rien n’illustre mieux la divergence
réelle
des résultantes majeures dont je parlais plus haut. J’en donnerai deu
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on heure ». Il porte à l’origine les stigmates du
réel
, et non pas les signes du mythe. Il n’est pas vraisemblable ; il est
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la tribu ou de la caste n’avait qu’une dimension
réelle
: sa relation avec le corps sacré ; si la seconde dimension, inventée
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toire. Mais elle s’est engagée dans un monde bien
réel
, déjà fortement structuré à la fois par la pensée grecque, les tradit
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spectives » en 1955. Répétons-le : les antinomies
réelles
exigent une transformation de l’être entier, qui les assume par la fo
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la personnalité dont il tend à priver les hommes
réels
, comment va-t-il se comporter dans le monde ? L’idéal primitif de la
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sives. Certes, l’esprit national est un dieu bien
réel
, et que l’on croit vraiment, puisqu’il peut exiger le sacrifice de la
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ns du terme, au lendemain d’une révolution certes
réelle
mais importée. Il en va du nationalisme occidental « attrapé » par le
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olu du désir, et elle le sera tant qu’un obstacle
réel
ou non entre elle et moi, même embrassés, empêchera l’Absolu d’échoue
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ar le rêve immense des religions, transformant le
réel
insensé en un poème de morts et de résurrections dominées par des ryt
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ne et nous inclinent à douter de sa réalité. Le «
réel
historique », ainsi configuré, devient aussi distant de l’homme concr
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e le cours de la réalité, où ce qu’il y a de plus
réel
, c’est le cours même. Et comme ce mouvement pur « doit » être dépourv
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épit amoureux au moins autant qu’un fléchissement
réel
du sens de la personne et de la liberté. Ce n’est pas qu’on n’aime pl
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ire, et ne mentionnaient même pas la seule option
réelle
dans laquelle « existait » politiquement l’époque : l’Europe unie ou
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ranée encombrée d’îles, mais la ramène à sa forme
réelle
, et dilate les trois continents jusqu’à la moitié environ de leurs vr
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ent à partir de leur métaphysique et leur idée du
réel
, corrigées par quelques observations. La première révolution substitu
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manquer de conditionner une certaine approche du
réel
. Formées et formulées par la théologie d’où procèdent nos philosophie
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gique ait précédé la découverte des antinomies du
réel
: le conflit qui opposa les éléates et les tenants de Pythagore remon
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a science ne peut vraiment devenir la totalité du
réel
que dans un monde créé par Dieu. Là, toute chose, belle ou laide à no
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La connaissance, alors, vise précisément, dans le
réel
, ce qui ne cadre pas avec les ordonnances et les lois établies précéd
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vec l’idée de Dieu jusque dans la connaissance du
réel
, qui pourtant vient de Dieu. […] Dieu n’est pas l’objet d’une foi vér
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respect quasi religieux de la Science, la science
réelle
allait ailleurs. Elle retirait à la matière, l’une après l’autre, ses
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55. Je ne veux parler ici que d’incompatibles
réels
. Certains incompatibles aujourd’hui reconnus ne sont peut-être qu’app
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, la cause est noble et l’angoisse qu’on traduit,
réelle
et populaire. Derrière cette campagne unanime, distinguons deux espèc
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de puissance pour expliquer le pourquoi et le but
réel
de l’énorme majorité des inventions, jusqu’à notre ère. L’homme crée
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par la technique — deux grands problèmes des plus
réels
vont se poser à l’humanité de l’Occident. Un danger : la technocratie
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rêves qui, bien plus que l’action, façonnent son
réel
. Mais quel est le rêve oriental ? Nous voulions contrôler la physis,
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contrôle des sources de la pensée, l’idéalité du
réel
et la réalité des forces transcendantes. Au moment où tout cela se vo
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éalité de tels problèmes : c’est la misère encore
réelle
et scandaleuse des prolétaires, les contradictions économiques encore