1  paradoxale » et jamais suffisante, du rêve et du réel . Ignorer, méconnaître ces faits spirituels, c’est se condamner à igno

2 la porte à la création volontaire, titanique, du réel . Son mensonge devient vérité dès qu’elle le veut assez puissamment. M

3 ouffrance comme une condition de la conscience du réel , mais la repousse comme le signe d’un manque à la loi. Il y a une con

4 comme tous les calculs de l’âme : le péché n’est réel que pour celui qui veut s’en arracher. Toute délectation détruit son

5 plus concret dans ses pensées. Il demeure lié au réel , dans ce qu’il imagine ; aussi, dans ce qu’il veut. Il se sent moins

6 i déjà la frappe n’est pas même compensée par une réelle prise de conscience. Car voici bien le triomphe du sentiment : c’est

7 un amateur de troubles distingués. Peu de sens du réel . Mais nous vous montrerons notre Hongrie, ou tout au moins ce qu’il e

8 ment voyageur qui n’a pas renoncé à convaincre le réel de mystère. Montant au Rozsadomb par ce matin brûlant, je savais bien

9 rouve qu’une étrange sécurité. Présence, présence réelle … Comme j’ai peine à m’imaginer que jamais plus je ne la reverrai, cet

10 ener la pensée à la plus insistante vénération du réel . Tel serait le fondement d’une morale des idées par-delà le logique e

11 he de la pensée s’accorde à des pentes variées et réelles , aux collines thuringiennes sous un très grand ciel doux. Une atmosph

12 Novalis à l’ascendant de mon horoscope idéal, le réel étant goethéen non seulement par le signe natal de la Vierge mais par

13 audra s’appliquer à distinguer dans ce vertige la réelle puissance d’une voix volontairement assourdie. Le silence de Goethe n

14 sont pas les nôtres, qui ne sont pas les intérêts réels d’un être aux prises avec la condition humaine ? Ni pour le mensonge

15 st une question personnelle, une mise en question réelle . Je la cherche. Ce qu’il faut pour légitimer un système d’idées en el

16 e, et ensuite il m’apparaît qu’elle est une terre réelle , travaillée par des hommes réels, leur imposant des conditions de vie

17 e est une terre réelle, travaillée par des hommes réels , leur imposant des conditions de vie précises et qu’il s’agit de rega

18 te aussitôt que la solution pratique de la misère réelle , celle qui est vécue depuis longtemps ou depuis toujours par une part

19 par cette métaphore notre impuissance à former ce réel . Notre complication, notre perfectionnement nous ont si bien séparés

20 notre vie aux « influx de vigueur et de tendresse réelle  », notre réponse d’homme à toute la création, longtemps trompée dans

21 n’espère plus, comme à vingt ans, rencontrer le «  réel  » ou la « vraie vie » dans je ne sais quelle embuscade du destin, com

22 mme qui dirait au coin d’un bois. Je crois que le réel est à portée de la main, et n’est que là. Alors il s’agit seulement d

23 on peut y apporter. Qu’enfin les seules questions réelles sont celles que l’existence nous pose, et non point celles que nous p

24 telle qu’elle est vécue et voulue par les hommes réels et concrets, ou bien sur la réalité telle qu’elle paraît chiffrable,

25 ns spectateurs. Jouer la comédie devant des êtres réels est bien plus significatif. D’une certaine manière, c’est plus « sinc

26 questions ou ses réponses à d’autres hommes bien réels . Le monologue n’est qu’une suppression artificielle des conditions co

27 ujours contraires, en fin de compte, aux intérêts réels … 25 novembre 1934 Culture de la bourgeoisie ? Vous montrez à u

28 lle n’exige pas de nous des actes ou des échanges réels , ou même les refuse. Alors ils ne sont plus pour nous que des « voisi

29 amp des querelles de famille. La seule fraternité réelle , la seule créatrice et durable, c’est celle que pourrait rétablir une

30 eux de cette découverte en moi d’une superstition réelle , capable de me faire agir ; ou plus exactement, je suis heureux de l’

31 tique, sinon le général en tant qu’il s’oppose au réel , lequel est fait de nos monades superstitieuses ? Accorder libre cour

32 iter son expansion, de combattre en définitive le réel que nous incarnons. Toute politique est normative, mais seulement de

33 ant l’empiètement excessif du général dans la vie réelle . Telle est notre situation — celle du monde bourgeois capitaliste, ma

34 ciles au jugement du clerc en chambre. Le lecteur réel , l’auditeur réel, est toujours autrement intelligent qu’on ne l’imagi

35 du clerc en chambre. Le lecteur réel, l’auditeur réel , est toujours autrement intelligent qu’on ne l’imagine quand on écrit

36 travail de mise au point, d’adaptation à l’homme réel , m’a conduit à une conclusion dont j’attends avec impatience la vérif

37 nt que c’est là le centre vivant de toute réalité réelle sur la terre. Je dois croire qu’à cet événement central doivent se ra

38 ne voit pas que « son » journal est sans rapport réel avec cette situation. Mais les intellectuels, dont le métier est de c

39 mprends et je l’aime dans son effort maladroit et réel . Mais dans la mesure où je l’aime, ils me dégoûtent. 28 avril 1935

40 ce de nos maux. Non que je croie à un « Progrès » réel possible. Mais je crois à une décadence certaine dès que nous relâcho

41 entaire et laïque, le peuple ne sait plus voir le réel . Provisoirement, il a perdu ce qui fut de tous temps sa vraie force.

42 e, il se retrouvera capable d’exprimer des désirs réels , disciplinés et « raisonnables ». 2. Réflexion du personnaliste. — Le

43 à leur tirer quelque chose de sensé, de vécu, de réel , — et qui renversera les conclusions cyniques de tout à l’heure. Ils

44 ournaux, les orateurs et les affiches, la volonté réelle des travailleurs, trahie par le langage politicien. La dictature est

45 riginalité qui est pour chacun ce qu’il a de plus réel , de plus inexprimablement réel. Après les cortèges du 14 juillet 1

46 ce qu’il a de plus réel, de plus inexprimablement réel . Après les cortèges du 14 juillet 1935 Scepticisme et politiqu

47 s intellectuels bourgeois complètement séparés du réel , et qui commencent à s’en douter. Gardons-nous de les décourager !

48 est disciple de Nicolaï Hartmann : la volonté, le réel , l’orgueil de l’homme… Le régime le dégoûte et le repousse. C’est la

49 tement monétaire de l’Allemagne et de sa richesse réelle .   Propagande. — Nous oublions trop souvent que la propagande hitlér

50 conflit politique qu’il faut chercher à l’origine réelle des persécutions hitlériennes contre les Églises du Christ. C’est une

51 et parvenait ainsi à la conscience de l’isolement réel où sont les hommes contraints de vivre entassés et sans liens spiritu

52 rs et douaniers, ne répond nulle part aux besoins réels . C’est dire encore que loin d’être utopique au mauvais sens, le fédér

53 u lieu de rechercher les moyens de penser dans le réel et l’actuel, et de surmonter enfin ce vice qu’est la distinction libé

54 aujourd’hui. Pour qu’une pensée s’engage dans le réel , il ne faut pas et il ne suffit pas qu’elle se soumette à des réalité

55 time, dans son élan premier, dans sa prise sur le réel et dans sa volonté de le transformer, donc finalement de le dominer.

56 gagement ne peut être qu’un esclavage. La liberté réelle n’a pas de pires ennemis que les libéraux ; sinon en intention, du mo

57 , — celle dont l’Histoire ne parlera pas, la plus réelle .

58 que chacun de nous dissimule. Alors on verrait le réel , alors on cesserait de haïr, ou d’être déçu par l’amour, ou de s’inqu

59 notre chance de vivre une vie plus consciente et réelle . Quoi qu’il advienne, sachons voir, en toutes choses, la double possi

60 stin, parce qu’on vient de remplir les limites du réel et d’accomplir un seul instant parfait. 10 octobre 1939 Au mess

61 es hommes ont le regard net, accoutumé à taxer le réel avec une dure exactitude : face au danger. Leur Suisse est au sommet

62 vagues à peine figées dans leur élan. Une Suisse réelle , et non pas un décor ; non pas un état d’âme vaporeux, comme les idyl

63 ramme, enguirlandé au coin de ses tableaux ; arme réelle du guerrier suisse, signe des vieilles libertés ; et maintenant sceau

64 usera au Jugement dernier. » Voilà les dimensions réelles qu’il faut oser envisager. Elles ne sont pas démesurées. Elles doiven

65 quotidiennement, inconsciemment, qu’il était bien réel et bien lui-même… 12 septembre 1940, 21 heures, à bord du SS. Exet

66 té, c’est que si l’on parle aux Américains du mal réel , qui est dans leur monde aussi, ils vous regardent comme un être diab

67 e », me disait cette dame américaine. « Mais bien réel  ! » ai-je répliqué. On ne peut accepter le scandale, le tragique, que

68 mon diable. Plus encore sur le sens et la portée réelle de ces Règles du Jeu. Je ne cesse donc de revenir à mon plan : quel e

69 que : jouer, c’est expérimenter les structures du réel . Ce qui revient à « expérimenter le réel », car ainsi que le dit Eddi

70 tures du réel. Ce qui revient à « expérimenter le réel  », car ainsi que le dit Eddington : « Quelle espèce de choses puis-je

71 (sur « l’amour tel qu’on le parle » et la passion réelle ). Tonio rentre un soir de New York portant gauchement sous le bras un

72 ucoup moins riches, détiennent une puissance plus réelle . Mais ce n’est là que l’enfance de l’art, et la question la plus élém

73 une Amérique secrète, qui sent mieux son histoire réelle que ses trop larges ouvertures sur un avenir planétaire. Juillet 1

74 sont déprimantes, parce qu’elles sont sans objet réel . Tout ce que l’on peut penser de l’Europe en général et de l’Amérique

75 is milliards d’habitants de la planète, non moins réels , guère moins accablés de problèmes. Mais je ne cherche pas à m’en tir