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rme dramatisée, certaines structures profondes du
réel
. Je parle de structures littéralement fondamentales, car elles sont a
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ci quelque moyen facile d’illustrer des idées. Le
réel
n’est pas fait d’idées et de matière. Je le conçois gouverné par des
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la divinité par un plus court chemin que celui du
réel
; par un chemin que l’on inventerait soi-même, en dépit des interdict
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st l’imagination, puis le désir, d’un bien que le
réel
condamne et que le plan divin ne prévoit pas. Satan, lorsqu’il tente
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Il est devenu le messager qui n’a plus de message
réel
, l’agent du Néant parmi nous. Dès lors, il ne peut plus créer que le
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us jette au mal, qui est la torsion du bien et du
réel
vers le néant. Ce mal fait, Satan se dévoile comme un ennemi mortel d
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une seule chose pire que de douter du bien et du
réel
, et c’est de douter du pardon, une fois qu’on a trahi le bien et le r
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r du pardon, une fois qu’on a trahi le bien et le
réel
. Car douter du pardon nous replonge dans le mal, avec la sombre jouis
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de la Création continue, du dynamisme immanent au
réel
. Par-dessus tout, il ignore le sens du drame de la Rédemption. Il ne
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oire qu’il n’y a pas de juge, ni d’ordre divin du
réel
, et aussitôt que nous l’avons cru, de nous accuser de contravention d
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e se satisfaire malgré nous, malgré nos exigences
réelles
et bien au-delà de nos possibilités. Chose étrange, nous sommes ainsi
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aisies ridicules, bien loin du lieu de son action
réelle
. N’avez-vous pas connu de ces dames charmantes qui se récrient dès qu
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; mais surtout nous nous faisons illusion sur la
réelle
stature de Satan. N’oublions pas que Satan est Légion ! Supprimer un
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n déguisement du diable. Non pas qu’aucun progrès
réel
soit diabolique en soi ! Mais si l’on s’abandonne au rêve du Progrès,
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èce de mensonge. Exactement : une fuite devant le
réel
. Car dans le réel nous savons bien qu’il y a du mal, qu’il y a l’acti
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xactement : une fuite devant le réel. Car dans le
réel
nous savons bien qu’il y a du mal, qu’il y a l’action du diable. Mais
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en cause dans ce plan, ce n’est point la liberté
réelle
des hommes, qu’aucun tyran jamais n’a pu suspendre un seul moment, ma
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propre compte. Sourde aux protestations d’un moi
réel
, mais qui ne pourrait produire ses preuves dans le langage prévu par
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iments mais leur fausse beauté (donc leur laideur
réelle
) qui fait de la mauvaise littérature. Mais voilà bien la misère du vi
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, au prix de notre libre faculté de créer dans le
réel
— ou à côté. Tant que vous faites effort pour vous maintenir dans la
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arlé davantage de l’amour, avec si peu d’exigence
réelle
. Le diable nous a fait nommer « amour » une vague obsession contagieu
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e dans l’appréciation, de distance par rapport au
réel
, ou en un mot : de rhétorique. Elle met trop peu de raison dans l’exe
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. Et si vous me dites que la balle n’est pas plus
réelle
que ce qui s’est passé dans la maison, vous supprimez à la fois toute
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sadisme de ce siècle. Tout est faux mais tout est
réel
. Puisqu’on en meurt de plus en plus. C’est un cauchemar mais sans rév
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te autour de nous, elle est fausse, impossible et
réelle
. Elle nous dépasse et nous l’avons créée. À tel et tel moment, dans u
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et sans issue ? Que tout est faux, impossible, et
réel
. On me dit : « Il y a les bons et les méchants, nous sommes les bons,
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un visionnaire, sont capables de réinventer le «
réel
» à sa ressemblance ; mais nous ne pouvons prévenir toutes ces choses
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relation de prochain à prochain30. Sans voisinage
réel
, vous n’êtes plus responsable de rien ni de personne. Mais sans le se
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le sujet. b) Comme un processus d’expulsion quasi
réelle
: le sujet jette hors de lui ce dont il ne veut pas et le retrouve en
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e mon vrai moi désavoue tout en sachant que c’est
réel
et que c’est en moi. Que le mal est en nous, non de nous, voilà ce qu