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paradoxale » et jamais suffisante, du rêve et du
réel
. Ignorer, méconnaître ces faits spirituels, c’est se condamner à igno
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la porte à la création volontaire, titanique, du
réel
. Son mensonge devient vérité dès qu’elle le veut assez puissamment. M
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ouffrance comme une condition de la conscience du
réel
, mais la repousse comme le signe d’un manque à la loi. Il y a une con
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comme tous les calculs de l’âme : le péché n’est
réel
que pour celui qui veut s’en arracher. Toute délectation détruit son
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plus concret dans ses pensées. Il demeure lié au
réel
, dans ce qu’il imagine ; aussi, dans ce qu’il veut. Il se sent moins
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i déjà la frappe n’est pas même compensée par une
réelle
prise de conscience. Car voici bien le triomphe du sentiment : c’est