1 s — d’où naquirent les doctrines qui ont créé nos régimes — et par les formes de pensée philosophique qui ont permis le dévelop

2 ture et les intérêts généraux des populations. Un régime de consultations directes entre les petits exécutifs spécialisés dont

3 plus réticent. Il fut le dernier à se rallier au régime qui devait assurer son essor et sa longue primauté dans l’Union. C’es

4 istoire du monde, la décadence des empires et des régimes démissionnaires ont vu revenir à la surface ces mêmes coalitions ou a

5 qu’un gouvernement d’assemblées. Mais quel autre régime peut-il être accepté pour le moment ? Or, il faut commencer. Refuser

6 our aller plus loin, nous dit-on. Précisément, le régime qui vous est proposé paraît propre à les faire mûrir. Le refuser sera

7 teront plusieurs de nos pays : celui de passer du régime colonial à l’association dans l’égalité, et celui de compenser la per

8 soulever d’objections. Tout le monde sait que son régime politique est l’un des plus stables du monde, depuis plus d’un siècle

9 (C’est là tout le secret du succès provisoire des régimes dits totalitaires : ils offrent et imposent des certitudes massives.)

10 lus larges entre les pays, indépendamment de leur régime social et politique, sur la base du respect des droits de souverainet

11 des États-Unis » — ceux qui n’affectent pas « le régime intérieur de tels ou tels États ». On pourrait ainsi aboutir à des ac

12 nt22) mais qui prévaut au plus haut degré sous le régime actuel, pour des raisons historiques bien définies que M. Molotov vie

13 aient par là même de représenter valablement leur régime . Ce paradoxe est aussi réel qu’il est gênant. Il nous force à serrer

14 lligentsia et décrètent des réformes importantes ( régime représentatif, libération des serfs). On ne leur en sait aucun gré (A

15 araîtront « historiques ». Ils peuvent modeler le régime du xxie siècle, qui fascinera les marxistes. Ou enfin cette conclus

16 d’autonomie, étudier : 1° les effets concrets du régime d’autonomie ; 2° les rapports entre de telles autonomies régionales e

17 formiste. Poser le schéma le plus satisfaisant du régime fédéral à établir, mais sans se préoccuper suffisamment des moyens de

18 sion nécessaires pour forcer l’établissement d’un régime fédéraliste, c’est risquer d’une part de ne pas susciter des moyens a

19 la libération des pays de l’Est, la transition du régime colonial à l’autonomie ou à l’association fédérale, et l’aide aux pay

20 la multiplication des efforts qu’entraînerait ce régime de dispersion. Avantages d’un regroupement 6. La solution est é

21 ire ? où aller ? Tout a été réglé d’avance par le Régime . La colombe européenne, elle, sait qu’elle a besoin pour voler de la

22 ement civique [introduction] (1960-1961)bo Les régimes de droit divin, les théocraties et les dictatures ne demandent que l’

23 andent que l’obéissance de leurs sujets. Seul, le régime démocratique exige, pour fonctionner, d’être compris par la majorité

24 s de persuader la jeunesse de la supériorité d’un régime démocratique nouvellement institué », mais de « former l’enfant, de c

25 , la démocratie tout récemment reconquise sur des régimes autarciques incite à une ouverture réaliste sur l’Europe, et à consid

26 athie civique. Cette constatation signifie que le régime actuel de nos pays est accepté par la majorité comme allant de soi ;

27 hose qu’à la connaissance des formes légales d’un régime indiscuté ; rien, ou presque rien, qui situe et qualifie le civisme e

28 le Conseil de l’Europe, tendant à généraliser ce régime de détaxation, qui favoriserait la création ou l’enrichissement rapid

29 it de combler certaines lacunes foncières dans le régime actuel des échanges, et donnerait une efficacité toute nouvelle au di

30 istrations : elles représentent au contraire leur régime normal d’existence, selon la loi de Parkinson. Mais il y a le point d

31 ntales, ils se verraient conduits à dépasser leur régime de spécialités académiques, à surmonter leur ignorance méthodique des

32 lles se résolvent un jour (soit par l’octroi d’un régime plus différencié et libéral, soit par une sécession, mais qui souvent

33 elle étant la crise présente de l’État-nation, le régime à prescrire paraît facile à formuler : Parce qu’ils sont trop petits,

34 odernes. Ce ne sont pas les provinces de l’Ancien Régime , effacées, encore moins les départements découpés par Napoléon, ni le

35 e la polis, avec ses autorités collégiales et son régime de participation civique intense, s’opposa durant des siècles à la mo

36 us ou moins « citoyens » ou « sujets », selon les régimes , mais toujours contribuables. L’Église n’a plus le droit de brûler se

37 le qui ne peut mener qu’à la guerre totale et aux régimes totalitaires, comme vont le confirmer les événements de 1939-1945. À

38 t avec la même connotation de formule périmée, de régime « en contradiction avec les besoins vitaux » du monde actuel, qui est

39 e substituant dans un laps de temps prévisible au régime des États-nations. Citons ici les passages les plus caractéristiques

40 ent et la formation professionnelle, l’emploi, le régime hospitalier, la protection de l’environnement, enfin la production et

41 ndestine en faveur des situations sociales ou des régimes qui se prêtent le mieux aux calculs prévisionnels. L’État totalitaire

42 ogrès par la production annonçaient à la fois les régimes de dictature puritaine (dont le stalinisme allait donner le modèle) e

43 oulevait, et remettait en cause sa suprématie. Un régime fondé sur la coopération volontaire, qui aurait partagé équitablement

44 mener nulle part à plus de liberté, partout à des régimes totalitaires, fascistes ou communistes d’étiquette, mais toujours mil

45 aste avec ce que pratiquent la plupart des autres régimes asiatiques et africains hâtivement bricolés sur le modèle de l’État-n