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nt de venir jusqu’au Jour éternel ! Prenons notre
régime
de vie tendue ; il suffit de savoir ce qui compte, et que la Joie ne
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er que le peuple allemand plébiscita cinq fois le
régime
hitlérien, par d’écrasantes majorités ? Il doit donc bien y avoir des
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utés, répondrai-je au contraire. Le triomphe d’un
régime
. Une idée. Et une arme. (Je n’ai guère parlé que de ces trois sujets
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trois sujets dans mes chroniques précédentes.) Ce
régime
, c’est la démocratie, que plus personne qui compte n’ose attaquer, et
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enait peu d’illusions, jusqu’en 1939, au sujet du
régime
hitlérien. Zurich et Bâle étaient sans doute les villes d’Europe qui
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tère suffit à distinguer d’un seul coup d’œil les
régimes
démocratiques des régimes totalitaires. Ces derniers, en effet, quell
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’un seul coup d’œil les régimes démocratiques des
régimes
totalitaires. Ces derniers, en effet, quelle que soit leur idéologie,
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s’établir à l’ONU. Appelons donc démocratique un
régime
où l’opposition est libre de jouer son rôle. Appelons ensuite totalit
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e jouer son rôle. Appelons ensuite totalitaire un
régime
où l’opposition équivaut à la trahison, et se paye tôt ou tard de la
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is aux petites fenêtres myopes des privilégiés du
régime
, le palais de marbre rose de l’ambassade de l’URSS, seul battant neuf
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le droit de grève, sous l’impudent prétexte qu’en
régime
socialiste les ouvriers n’auraient plus l’occasion de s’en servir… On
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ble, et nous voyons bien pis. Il était réservé au
régime
communiste de faire ce métier-là au nom des ouvriers — d’ajouter l’im
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ajouter l’imposture au crime. Il était réservé au
régime
communiste d’aggraver d’un contrôle policier la condition de l’ouvrie