1
e puis dire, de la brutalité, est fournie par les
régimes
totalitaires. La dictature totalitaire est la brutalité même, en ce q
2
faut bien reconnaître qu’ils sont tous contre le
régime
. C’est un bolchévisme déguisé, répètent-ils. Drôle de « rempart ». Il
3
n’ont jamais gouverné. Et ils n’ont jamais cru au
régime
de Weimar. Il n’y a sans doute pas, en Europe, de classe plus indiffé
4
pour tout dire. Par un curieux paradoxe, c’est le
régime
national-socialiste qui est en train de leur faire découvrir le fait
5
ifie dans tout pays totalitaire. D’autre part, le
régime
nouveau a pris à tâche d’éduquer tout ce monde : d’où le didactisme p
6
expliquer de ce qui s’y passe de tout nouveau. Un
régime
totalitaire n’exprime point tant l’âme collective d’un peuple que le
7
n : la volonté, le réel, l’orgueil de l’homme… Le
régime
le dégoûte et le repousse. C’est la dictature des butors et des imbéc
8
. C’est une voie d’approche, un compromis avec le
régime
détesté. (Note de 1938 : cet étudiant vient d’entrer dans le Parti.)
9
utour de lui (et il nomme les principaux chefs du
régime
) eh bien moi ! (il se frappe la poitrine) moi je me ferai tuer pour l
10
omplices. Et seuls mes amis juifs me donnaient du
régime
une interprétation étonnamment conforme aux préjugés français-moyen,
11
itiques qui s’y trouvent formulées à l’endroit du
régime
hitlérien. Il explique tout d’abord que ce régime est né de la pauvre
12
régime hitlérien. Il explique tout d’abord que ce
régime
est né de la pauvreté et du malheur de son pays, — ce qui est très ju
13
uisse détacher telle ou telle mesure prise par le
régime
pour l’admirer isolément, ou pour essayer de l’imiter. C’est une bell
14
nifiait pas, justement, que tout se tient dans ce
régime
, et que rien ne peut en être détaché sous peine de perdre toute espèc
15
réalisme ont fait faillite. Le seul adversaire du
régime
demeure, en fait, l’Église confessionnelle ; c’est-à-dire qu’à la rel
16
se disent bien informés prophétisent la chute du
régime
pour le mois suivant, — depuis cinq ans. Or, chaque mois apporte, rég
17
ne voit pas beaucoup de raisons de douter que son
régime
ne conduise à la guerre. Non pas que les chefs et les troupes veuille
18
té des hommes n’a jamais pesé si peu que dans les
régimes
totalitaires. Ce n’est pas le chef qui commande, et ce ne sont pas le
19
e la dictature totalitaire, c’est la structure du
régime
. Or, la structure de l’État totalitaire — quelle que soit sa doctrine
20
z forts pour l’empêcher, et de condamner ainsi le
régime
adverse à une autodestruction de ses énergies belliqueuses. Or, se mo
21
accepte de tels écarts. Grande différence avec le
régime
russe. f. « Vues sur le National-socialisme », Les Nouveaux Cahiers,
22
roduisez la discussion, vous rendez impossible le
régime
totalitaire. Je revendique pour ma part le droit de discuter, et j’en
23
u’un communiste n’admette point que je décrive le
régime
nazi tel qu’il est. Car s’il l’admettait, il serait contraint de voir