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ture et les intérêts généraux des populations. Un
régime
de consultations directes entre les petits exécutifs spécialisés dont
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is aux petites fenêtres myopes des privilégiés du
régime
, le palais de marbre rose de l’ambassade de l’URSS, seul battant neuf
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le droit de grève, sous l’impudent prétexte qu’en
régime
socialiste les ouvriers n’auraient plus l’occasion de s’en servir… On
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, mais nous voyons bien pire. Il était réservé au
régime
communiste de faire ce métier-là au nom des ouvriers — d’ajouter l’im
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ewohl est pire que M. Thiers. Il était réservé au
régime
communiste d’aggraver d’un contrôle policier la condition de l’ouvrie
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ncore plus gravement menacée que les Arts par les
régimes
de tyrannie d’État. Il est facile de s’en convaincre. En Asie, dans l
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ontent plusieurs de nos pays : celui de passer du
régime
colonial à l’association dans l’égalité, et celui de compenser la per
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forcée. Ce contraste est bien moins celui de deux
régimes
— dictature et démocratie — que celui plus profond de deux qualités d
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i est la source à la fois de l’instabilité de nos
régimes
politiques et sociaux et d’une recherche perpétuelle du vrai civisme,
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voirs établis. On ne les voit pas s’en prendre au
régime
impérial ni à l’institution de l’esclavage, par exemple11, lesquels n
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« libératrices ». Celles-ci n’ont triomphé que de
régimes
séniles, et dont la « tyrannie », si on la compare à celles des disci
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leur exode au Yucatan, et révolutionné tout leur
régime
social. Mais on ne voit pas que nos conquêtes techniques aient boulev
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ndement que l’homme est esclave, quel que soit le
régime
qui l’exige, capitaliste ou communiste. Taylor a conçu l’ouvrier comm
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lle n’en marque pas moins la naissance du nouveau
régime
collégial. 4. K. décrit les procès staliniens comme des machinations
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6. K. promet la prochaine « démocratisation » du
régime
qu’il appelle en même temps « le plus démocratique du monde ». Mais i
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soit. Parler de « direction collégiale » dans un
régime
monolithique, c’est une simple figure de langage : elle n’a jamais gê
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ns la datcha du terroriste retraité, c’est que le
régime
valait encore moins qu’on ne l’a cru. Mais ce départ sans gloire n’ét
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usant en corps au châtiment prévu par leur propre
régime
pour les fauteurs de « crimes sociaux » et leurs complices, et les fa
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otes — est de ceux qui dégradent non seulement un
régime
et les idéaux qu’il proclame, mais toutes les relations humaines dans
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es critères sélectifs qui valent à plein pour nos
régimes
démocratiques, mais sont exclus par le principe actif du communisme s
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À proprement parler, il n’y a pas d’excès dans un
régime
totalitaire, faute de critères d’évaluation indépendants de la ligne
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’évaluation indépendants de la ligne fixée par le
régime
lui-même. Et parmi les hommes que j’ai dit libéraux, neutralistes ou
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ys capitalistes et socialistes, dont pourtant les
régimes
ne se justifiaient pas au seul nom de l’émancipation prolétarienne ;
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n’étant pas un système cohérent, encore moins un
régime
totalitaire. Ou l’antiaméricanisme systématique de l’intelligentsia e
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il serve l’URSS. D’ailleurs, qui oserait juger le
régime
de Nasser ? « Le caractère démocratique ou non du gouvernement égypti
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vient de se passer, et de l’infernale logique du
régime
qu’ils approuvent. Ce n’est certes pas plus « rationnel » qu’un trait
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seulement leur présence militaire qui assure les
régimes
« populaires » : il n’y a plus de troupes russes en Tchécoslovaquie.
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qu’elles sont de pouvoir y rentrer sitôt que les
régimes
communistes s’y trouveraient gravement menacés. Selon le plan Bevan,
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communes, et qu’on cesse de le laisser jouir d’un
régime
d’exception dont il abuse — notamment en pillant les caisses municipa
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u’un vrai parti totalitaire a tous les droits, en
régime
libéral, y compris le droit de préparer la mort des autres sans qu’on
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Boris Souvarine a montré toute la vanité. Que le
régime
soviétique soit en crise, on le savait. Toute dictature est un régime
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it en crise, on le savait. Toute dictature est un
régime
de crise, un moyen de gouverner sans résoudre la crise et même en s’a
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ne vois pas à quoi vous tendez et quelle sorte de
régime
vous paraît bon. R. — J’avoue que j’ignore son nom, on le trouvera bi
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te partie de la droite à laquelle il suffit qu’un
régime
apparaisse périmé pour s’y rallier. Mais on ne retiendra de notre sys
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l’on confond à tort — voir l’étymologie — avec ce
régime
du bon sens que serait l’Aristocratie66. Tout le pouvoir aux élites v
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ut cela vous mène irrésistiblement à concevoir un
régime
dominé par la science. Que deviendraient alors les libertés humaines
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s rois déchus s’attablent chez « Quadri », et les
régimes
de tous les temps promènent sous les galeries leurs partisans bavards
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tion des meilleurs. ag. « Sur le crépuscule d’un
régime
(Le point de vue de Ferney) », Preuves, Paris, n° 80, octobre 1957, p
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les en croire, tout se décompose : la société, le
régime
, l’homme lui-même. Les uns dénoncent le monde moderne, d’autres accus
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satellite bavard déclencherait en faveur du même
régime
qui, un an plus tôt exactement, comme par hasard, réduisait au silenc
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era de la même manière l’élimination terrestre du
régime
, auquel on verra se convertir aussitôt les derniers bourgeois indécis
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chisme occidental et d’admiration éperdue pour un
régime
par ailleurs condamné. Le Kremlin payerait notre presse qu’elle n’écr
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onde et s’est trompé lui-même, en répétant que le
régime
soviétique stérilisait la recherche scientifique. Les deux spoutniks
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nt fait enfin quelque chose de gratuit. Gloire au
régime
qu’on glorifiait auparavant pour sa passion de l’utilitarisme ! Répon
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it même le contraire, dans ce cas.) La nature des
régimes
est certes en cause, mais on savait depuis longtemps que l’Amérique «
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conformément à ce qu’on jugeait vital pour chaque
régime
: ici, le pain quotidien ; là, le rêve compensateur. De quoi faudrait
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is le XXe Congrès, qui a « déclaré » sa crise, le
régime
soviétique accumule les échecs et multiplie les signes avant-coureurs
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s visibles mais plus fondamentales s’opèrent : le
régime
des kolkhozes s’esquive sans bruit (254 000 en 1950, 87 000 en mars 1
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t finalement le plan quinquennal, symbole même du
régime
soviétique, est enterré sans oraison (25 décembre 1956). Notre presse
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« Pie in the sky, bye and bye », voilà ce que le
régime
promet encore : et c’est littéralement ce qu’il reprochait, au nom d’
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orte sa contribution à l’Aventure occidentale. Le
régime
communiste éliminé nous laissera sur les bras la Russie. Ce n’est pas
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ode d’emploi circonstancié, et des indications de
régime
ou de cure. Or nos produits sans nos valeurs créent du chaos, bouleve
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’instauration d’un État fédéral dont l’aire et le
régime
sont encore inconnus ? Faut‑il croire qu’on désire seulement les appa
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e leur solution. Deux sont purement internes : le
régime
des partis et la stabilité de l’exécutif. Le troisième porte sur le m
57
e parler veut dire, le fédéralisme se réduit à un
régime
fort bon pour les sauvages, par exemple les Suisses et les Américains
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antinomie fondamentale de notre siècle : celle du
régime
fédéraliste et du régime totalitaire. Ce sera pour le mois prochain.
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notre siècle : celle du régime fédéraliste et du
régime
totalitaire. Ce sera pour le mois prochain. ao. « Sur le régime fé
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e. Ce sera pour le mois prochain. ao. « Sur le
régime
fédéraliste (I) (Le point de vue de Ferney) », Preuves, Paris, n° 90,
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e (II) (septembre 1958)ap Tous uniques Le
régime
du Parti unique n’est pas vraiment le contraire du régime des partis
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u Parti unique n’est pas vraiment le contraire du
régime
des partis : il en est plutôt l’origine, et il en demeure la nostalgi
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heureux. Il en résulte que la différence entre un
régime
totalitaire et un régime de partis multiples ne tient pas au libérali
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e la différence entre un régime totalitaire et un
régime
de partis multiples ne tient pas au libéralisme de ces partis, mais s
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une sorte d’aberration. L’extrême insoutenable du
régime
fut atteint le jour où l’assemblée prise de panique fit sa plus grand
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ération Tout cela n’est pas imaginable dans un
régime
fédéraliste, qui est politique et non politicien. Le Parlement, dans
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iformité au sein de l’union est l’essence même du
régime
. Les partis dans une fédération étant bien moins des partis pris univ
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en multipliant les piqûres. Jusqu’au jour où ce «
régime
» épuisant, se reconnaissant épuisé, s’abandonne au médecin paternel
70
ère formule contre la seconde, quand il s’agit du
régime
de la France, mais renversent leur position quand il s’agit de l’aven
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générale, mais ne préjugeaient pas de l’avenir du
régime
. Car la vie politique n’a jamais dépendu des articles et paragraphes.
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le seul fait qu’elle soit posée. ap. « Sur le
régime
fédéraliste (II) (Le point de vue de Ferney) », Preuves, Paris, n° 91
73
émocratie, gouvernement du peuple, est en fait le
régime
choisi par la majorité des électeurs. En revanche, les résultats du r
74
. Si la démocratie est ce qu’en dit le Littré, un
régime
où le peuple exerce la souveraineté, elle n’a jamais été réalisée et
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donc tacitement convenu d’appeler démocraties les
régimes
où le peuple, qui ne saurait l’exercer, délègue la souveraineté à qui
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ent pléonasme (puisque demos égale populus), tout
régime
imposé à la nation entière par une infime minorité, pourvu qu’elle ai
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appelle démocratie formelle (ou réactionnaire) un
régime
où les droits politiques sont garantis par le libre jeu des partis et
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ition ; et démocratie réelle (ou progressiste) un
régime
de parti unique, si toutefois ce parti se dit de gauche et réussit à
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que, ou bien que la vraie démocratie n’est pas le
régime
élu par la majorité, mais au contraire celui que préconise une minori
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erait alors la différence formelle entre les deux
régimes
? L’un serait une dictature librement choisie par la majorité, l’autr
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Marc, qui est la Morale commune, la Société ou le
Régime
— ces trois romans trahissent une même ambiguïté quant à la vraie nat
82
ds le drame entre l’auteur, le peuple russe et le
régime
, drame préfiguré dans le roman lui-même, que j’interprète comme une a
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contre les vices des Blancs. Il est normal que le
régime
, étant ce qu’il est, condamne ce livre. Il est normal que le roman co
84
é le prix, il est prêt à renier ce qui déplaît au
régime
dans son livre, pourvu qu’on le laisse, lui, Pasternak, en communion
85
vago se cache, traqué par la nouvelle police d’un
régime
qu’il a pourtant servi. On leur offre un moyen clandestin de sortir d
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non point provoquée par la nature particulière du
régime
politique au pouvoir. Ainsi Tristan, modèle du chevalier, est contrai
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plus de grands problèmes à résoudre. La force du
régime
soviétique… c’est qu’il constitue avant tout une société orientée ver
88
communistes, avant la détente. — Ils servaient un
régime
qui n’admet pas que l’intellectuel ou l’artiste diffère. La liberté d
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contre les libertés ne viennent pas seulement des
régimes
que vous savez. Elles viennent de la misère et de la faim pour une la
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des statistiques, portant sur les résultats d’un
régime
ou d’une institution, que se mesure en fin de compte le degré de libe
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ifs, échanges avec la société — aient trouvé leur
régime
d’équilibre en mouvement, et que la résultante de ce système d’échang
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x sont à l’œuvre, la cellule fonctionne bien, son
régime
d’échanges et de synthèses est créateur : on pourrait dire qu’elle es
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e d’opposition. Ce qui le distingue de tout autre
régime
— quelles que soient ses ressemblances avec plusieurs d’entre eux — c
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estime urgent de signer un traité de paix avec le
régime
de Pankow, qui n’a jamais été en guerre avec les Russes et qui n’exis
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mme. Le problème de Berlin se ramène à ceci qu’un
régime
qui se dit populaire veut empêcher son peuple de le fuir. À travers B
96
es occidentales, M. Khrouchtchev déclare que « le
régime
socioéconomique de tout État ne regarde que son peuple et personne d’
97
nds de l’Est le droit élémentaire de choisir leur
régime
et d’aller vivre où ils le veulent, et comme ils veulent, qu’il y a u
98
s déclencher le massacre universel pour sauver un
régime
décrié. Et nous lui proposons de faire confiance à l’Histoire, confor
99
is conscience d’« une profonde solidarité avec le
régime
qu’ils avaient fui ». (Mais si c’est vrai, où est la « nécessité vita
100
u de richesse, de langue, de confession, voire de
régime
, ne sont guère plus marquées ou plus frappantes entre les États de l’
101
ard ! — Napoléon. Et son fédéralisme préfigure le
régime
qui va triompher à l’échelle suisse : « La variété, c’est l’organisat
102
it d’établissement, la législation du travail, le
régime
fiscal, pour ne citer que ces exemples, devraient être uniformisés se
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(Ce qui revient à justifier l’opportunisme et le
régime
du fait accompli, c’est-à-dire du « trop tard mais je n’y puis rien,
104
atique à toute initiative capable de sauver notre
régime
fédéraliste en le faisant accepter au plan européen. Voici l’impasse
105
mes d’organisation de plus en plus complexes. Les
régimes
totalitaires, tendant vers l’uniforme, sont dans cette mesure régress
106
névitables : — de poser clairement le problème du
régime
politique de l’Europe de demain, jamais encore abordé de front par le
107
qu’il suffirait de manger une fois par jour — son
régime
ordinaire — la plupart de nos aliments, surtout la viande, n’étant pa