1
auver leur pratique ? On en vient à penser que le
régime
qui convient le mieux à cette vie obscure — j’entends celui qui la co
2
elques-unes déjà tombent en ruines. Et surtout ce
régime
d’inertie laisse trop de forces grandir contre lui : et alors, qui va
3
isser croire ; si ce n’était pas encore un de ces
régimes
de dictature ; si les paysans avaient plus de liberté qu’auparavant,
4
ent que très imparfaitement les vrais ressorts du
régime
hitlérien. Nous ne sommes plus en présence de Bismarck, mais d’un peu
5
ne n’en parle. On n’a pas eu besoin de changer de
régime
pour le réaliser. Les autostrades américaines ne sont pas une réclame
6
profond dont souffre l’Occident. À l’inverse, les
régimes
totalitaires de l’Est ont si bien vu l’importance primordiale de la c
7
bay.) Neuf hommes sur dix sont illettrés, dans un
régime
officiellement démocratique. Les fonctionnaires sont corrompus, dit-o
8
même attitude d’intime approbation à l’égard d’un
régime
qui permet à chacun de rester soi-même où qu’il vive, à droits égaux
9
rons sans doute dans les enquêtes en cours sur le
régime
de la censure et l’état du mariage en Suisse. La censure des publicat
10
qu’il accepte sa condition comme il approuve son
régime
politique et acclame son niveau de vie neuf fois sur dix, qu’il n’est
11
On lui fait un procès à Bonn. Il n’attaque pas le
régime
en soi, mais ses complices dans l’Église. On l’expulse. Et dès lors,
12
ui s’érige en État unitaire ; en Suisse, c’est le
régime
fédératif lui-même qui se voit invoqué (non sans paradoxe d’ailleurs)
13
us vastes, qui est le battement même du cœur d’un
régime
sain, j’entends immunisé contre le virus totalitaire. Mais si le fédé
14
s actuels dans l’université, en tous pays et tous
régimes
politico-économiques. Ils ont pour motif profond l’antinomie entre la