1 1940, Mission ou démission de la Suisse. Le protestantisme créateur de personnes
1 eu à peu substituée aux cadres sclérosés du vieux régime . La capitale de l’Empire d’Occident, ses hiérarchies, sa centralisati
2 t aux deux questions suivantes : quels furent les régimes qui persécutèrent la Réforme ? Et quelle fut l’action historique des
3 euples protestants à comprendre et à soutenir les régimes fédéralistes. L’homme ne vaut rien par lui-même, dit Calvin, mais il
4 pourrons le mieux départager les deux groupes de régimes qui s’affrontent aujourd’hui. Le premier groupe est celui des nations
5 ici, ce sont deux traits évidemment communs à ces régimes  : leur opposition brutale au christianisme dès qu’ils sont assez fort
6 line et Hitler se firent césaropapistes comme les régimes qu’ils venaient d’abattre, et même beaucoup plus rigoureusement, car
7 tat naissant. D’autre part, l’instauration de ces régimes tyranniques fut largement facilitée, et même appelée, par l’absence d
8 description désintéressée et académique de divers régimes également soutenables dans l’abstrait. Je considère l’esprit totalita
9 ière question est capitale. Car la politique d’un régime est toujours étroitement dépendante de l’attitude qu’il prend vis-à-v
10 s de l’Église et du fait religieux en général. Un régime est totalitaire lorsqu’il prétend centraliser radicalement tous les p
11 rme représente à mes yeux la santé chrétienne. Un régime sain prévient le mal. Mais pour guérir une maladie, il faut des remèd
2 1940, Mission ou démission de la Suisse. La bataille de la culture
12 tats totalitaires justifient les rigueurs de leur régime au nom de lois économiques, ou historiques, ou biologiques. Or il est
3 1940, Mission ou démission de la Suisse. La Suisse que nous devons défendre
13 rien à faire hors de chez nous tant qu’un certain régime subsiste, vous savez où33. Ce n’est pas encore une mobilisation spiri
4 1940, Mission ou démission de la Suisse. Appendice, ou « in cauda venenum » Autocritique de la Suisse
14 , j’ai donc le droit de condamner ouvertement des régimes étrangers qui attaquent ouvertement le nôtre. Et qu’on ne vienne pas