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s, a pour véritable sujet non plus une nation, un
régime
, mais le désordre de l’époque, vu de près. Pas plus que les deux préc
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énérale, dans un monde où s’installe peu à peu le
régime
de l’union sacrée et de la discipline de l’opinion. Dans quelle mesur
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érales. Et j’en connais qui ne parviennent à leur
régime
normal de vie (comme un moteur prend son régime à tant à l’heure) que
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r régime normal de vie (comme un moteur prend son
régime
à tant à l’heure) que dans le drame et le bouleversement des habitude
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nt de venir jusqu’au Jour éternel ! Prenons notre
régime
de vie tendue : il suffit de savoir ce qui compte, et que la joie ne
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os haines… Pourquoi la haine, par exemple, de tel
régime
qui nous menace depuis des mois ? Serait-ce à cause de la menace ? Je
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le crois pas. S’il n’y avait pas un bien, dans ce
régime
, un bien que nous avons perdu, et qu’il séquestre, s’il n’y avait que
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uer un veau, ou laisser descendre un militante du
régime
, brandissant sa carte du parti. Comme en Italie, les gens ne cessent
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rique ? Ici, l’on n’a pas eu besoin de changer de
régime
et de pendre les récalcitrants, pour construire ces routes prodigieus
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onscience, pacifisme, antimilitarisme, crainte du
régime
tyrannique que toute guerre risque d’instaurer. Mais c’est aussi parc
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nois d’Hitler, de Mussolini, de Franco et de leur
régimes
« d’avenir »… Celui qui ne veut pas croire au diable travaille fatale
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ent et son usage s’oppose symétriquement aux deux
régimes
, puisqu’elle se fonde sur la réalité et sur la liberté des vocations.
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mesure d’estimer ses besoins. Il n’y aura dans ce
régime
pas plus d’abus que vos systèmes de contrôle n’en provoquent. Je dis
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er que le peuple allemand plébiscita cinq fois le
régime
hitlérien, par d’écrasantes majorités ? Il doit donc bien y avoir des