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ses ne décidèrent donc pas de créer un État ou un
régime
nouveau. Ils s’adaptèrent aux circonstances, qui par un singulier con
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ient la Suisse inquiète, ébranlée, incertaine. Le
régime
de la souveraineté absolue des cantons s’était révélé incapable de fa
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amentales qu’il y aurait lieu de marquer entre le
régime
fédéraliste de la Suisse et les régimes centralistes de la plupart de
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r entre le régime fédéraliste de la Suisse et les
régimes
centralistes de la plupart des États modernes. Pour devenir Américain
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stance, et le canton n’intervient qu’en appel. Ce
régime
s’est révélé particulièrement efficace dans les époques de crise (gue
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ts sur les congés payés, le repos du dimanche, le
régime
de l’énergie hydraulique, etc. Le Landamann11, du haut de la tribune,
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revoir la condition des libertés civiques dans un
régime
fédéraliste, et c’est l’appartenance simultanée à plusieurs groupes o
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les limites ne sont pas les mêmes. La formule du
régime
totalitaire, c’est la coïncidence exacte et imposée des frontières de
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évolution intérieure des cantons, unifiant leurs
régimes
dans une large mesure, allait faciliter le passage de la fédération d
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ce révolutionnaire tenta d’imposer aux Suisses un
régime
totalement unifié, mais la résistance fut si forte, surtout dans les
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situation devenait rapidement intenable. Sous le
régime
du Pacte de 1815, écrit l’historien William Martin, « la Suisse resse
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1 pour les liquides, et 50 poids différents ». Le
régime
monétaire n’était guère moins chaotique. De plus, « incapables de s’e
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lection du premier Conseil Fédéral, inaugurant un
régime
qui ne devait plus être remis en question jusqu’à nos jours. L’essor
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n économique. Elles ont amené l’une et l’autre le
régime
des pleins pouvoirs accordés au Conseil fédéral, régime qui, bien que
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des pleins pouvoirs accordés au Conseil fédéral,
régime
qui, bien que suspendu en théorie peu après les hostilités, n’en a pa
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, ou au contraire une acceptation fondamentale du
régime
, qu’il suffit d’adapter aux circonstances nouvelles. La réponse ne fa
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s mathématiciens, qui sont également à la base du
régime
des assurances, par l’utilisation rationnelle des méthodes statistiqu
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autant d’acuité que dans les pays voisins, et le
régime
traditionnel de la petite et moyenne propriété ne subissait que peu d
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nt à l’aise dans son économie autant que dans son
régime
politique. L’un et l’autre ont été faits sur mesure, ou mieux, il les
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Confédération elle-même protège et réglemente le
régime
des assurances, exerce un contrôle légal sur les polices. Elle a rend
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ement les unes aux autres, ce qu’elles étaient en
régime
clos, — mais le niveau général s’est élevé. On ne peut s’empêcher de
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e activité collective, dépendant des communes. Le
régime
de la petite propriété rurale ne peut se maintenir que grâce aux coop
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s complexes aux coûteux triomphes unilatéraux. Le
régime
économique actuel reflète fidèlement cette attitude à peu près unanim
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roit public. L’État fédéral contrôle également le
régime
des assurances, l’organisation interne des banques et leurs bilans an
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administrateur relève des PTT, donc de l’État. Ce
régime
mixte s’est développé en Suisse sous la pression des nécessités prati
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l scolaire sont fournis sans frais aux élèves. Ce
régime
n’est rendu praticable, dans les cantons pauvres, que par l’octroi de
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rre du Sonderbund) qu’ils réussiront à établir le
régime
de paix religieuse sous lequel vit l’actuelle confédération. ⁂ Lors d
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laire, montre ce qu’il est permis d’attendre d’un
régime
de liberté contrôlée, fondé sur la franche reconnaissance des droits
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rêt, car elle soulève celle des rapports entre le
régime
fédéraliste et la religion. La Réforme, en Suisse, fut l’œuvre person