1 rait hurler nos pédagogues. Mais elle s’unit à un régime de responsabilités concrètes qui sauvegarde l’initiative personnelle

2 atiétés, quand elle ne se met pas au service d’un régime de surenchère désespérée des sensations de luxe, dont elle constitue

3 x de l’âme même. On nous donne à choisir entre un régime bourgeois odieux, raté, dont beaucoup meurent — et d’autre part une e

4 sons le fédéralisme politique et économique, seul régime capable de sauvegarder les libertés et de prévenir les guerres totale

5 nécessaire. 2. (Problème psychologique : ) Si ce régime est favorable ou non à la maturation d’une œuvre ; — s’il est moins d

6 ’une œuvre ; — s’il est moins démoralisant que le régime parisien ; — s’il endort ou s’il excite l’esprit ; — enfin s’il rend

7 scription de la faune et de la flore de l’île, du régime des marées, des courants et des vents. Merveilleux livre en vérité !

8 x d’un désordre social — selon les conventions du régime établi — que ces rencontres deviennent possibles et aussitôt, se mult

9 ver leurs pratiques ? On en vient à penser que le régime qui convient le mieux à cette vie obscure, j’entends celui qui la con

10 elques-unes déjà tombent en ruines. Et surtout ce régime d’inertie laisse trop de forces grandir contre lui : et alors, qui va

11 isser croire ; si ce n’était pas encore un de ces régimes de dictature ; si les paysans avaient plus de liberté qu’auparavant,

12 guerre. Cette alternative est inévitable dans le régime présent. Elle met en question tout un monde qui ne nous laisse plus d

13 Quand on en vient à désespérer d’un peuple, d’un régime , ou de soi-même, quand on prêche et proclame d’une voix pathétique :

14 éalité, ou tel qu’il est devenu après x années de régime capitaliste parlementaire et laïque, le peuple ne sait plus voir le r

15 — Vous avez écrit des choses très dures sur notre régime , commence-t-il. — En effet. — Vous ne le connaissez pas. — Je connai

16 Allemagne. J’ai dit comment je l’aimais, avant le régime d’Hitler. Je puis juger des différences. Et j’ai lu les écrits doctri

17 différences. Et j’ai lu les écrits doctrinaux du régime . — Si vous voulez être objectif et véridique, et surtout, si vous vou

18 de me voir nommé à titre d’adversaire déclaré du régime , je relevai le défi d’Abetz, mais non sans avoir précisé avec une ins

19 isé avec une insistance tout helvétique que si le régime m’apparaissait meilleur que je ne l’avais cru, je me ferais un devoir

20 une évocation poétique de l’Allemagne : c’est le régime seul qui retient l’attention. Et l’on n’a pas voulu donner de ce régi

21 t l’attention. Et l’on n’a pas voulu donner de ce régime un tableau objectif et complet ; mais voici quelques prises sur sa vi

22 it de n’avoir décrit que des aspects passagers du régime . Et comme son ambition n’était nullement de faire concurrence aux jou

23 rale ; et mon deuxième, l’idée que je me fais des régimes totalitaires46. Je ne sais si l’on espère me convertir en m’offrant d

24 hésitation du Dr N… qu’il est mal disposé pour le régime . Peut-être, simplement, n’a-t-il pas encore pris l’habitude du geste

25 ois quelque chose de tragique dans la présence du régime , quelque chose qui me révèle sans doute l’un de ses aspects les plus

26 faut bien reconnaître qu’ils sont tous contre le régime . C’est un bolchévisme déguisé, répètent-ils. Drôle de « rempart ». Il

27 . De fait, ces « possédants » n’ont jamais cru au régime de Weimar. Il n’y a sans doute pas en Europe de classe plus indiffére

28 pour tout dire. Par un curieux paradoxe, c’est le régime national-socialiste qui est en train de leur faire découvrir le fait

29 ifie dans tout pays totalitaire. D’autre part, le régime nouveau a pris à tâche d’éduquer tout ce monde : d’où le didactisme p

30 expliquer de ce qui s’y passe de tout nouveau. Un régime totalitaire n’exprime point tant l’âme collective d’un peuple que le

31 n peu moins grossière à la question courante : le régime est-il de gauche ou de droite ? Voici : le régime est beaucoup plus à

32 régime est-il de gauche ou de droite ? Voici : le régime est beaucoup plus à gauche qu’on ne le croit en France, et un peu moi

33  Après les plaisanteries d’usage sur les chefs du régime , et quelques indications sur les mesures vexatoires prises à l’égard

34 ficulté d’obtenir des livres français, à cause du régime des devises. Notre culture perd du terrain dans des proportions inqui

35 me année. C’est la dernière génération d’avant le régime . Ils connaissent Gide, Claudel, Giraudoux, mieux que moi. L’un d’eux

36 et de mesurer la nature exacte des résistances au régime qui subsistent encore. On peut à peine parler d’opposition. C’est plu

37 n : la volonté, le réel, l’orgueil de l’homme… Le régime le dégoûte et le repousse. C’est la dictature des butors et des imbéc

38 . C’est une voie d’approche, un compromis avec le régime détesté 55.   Un communiste. — Dans sa petite cuisine, où nous somme

39 utour de lui (et il nomme les principaux chefs du régime ) eh bien moi ! (il se frappe la poitrine) moi je me ferai tuer pour l

40 et c’est le seul… »   Un « vieux combattant » du régime . — On les reconnaît tout de suite : un type physique qui tranche sur

41 isme.   La presse. — Il faut porter à l’actif du régime hitlérien le fait d’avoir su rendre la presse ennuyeuse. Car elle est

42 et du « Rotfront », savaient-ils ce que serait le régime pour lequel ils se sacrifiaient ? Seuls leurs descendants le sauront.

43 la Croix. Fin de décembre 1935 Noël. Et le régime , de nouveau, qui s’efface : la vieille Allemagne pieuse et forestière

44 l se montre curieux de mes réactions vis-à-vis du régime , je l’emmène parfois à la maison pour bavarder. Lui. — Quoi de neuf

45 aussi à faire. J’ai à me battre, aussi, contre un régime économique et culturel, contre une masse de préjugés politiques antéd

46 force, à l’intérieur, pour assurer la défense du régime . Moi. — J’en reviens à notre problème de la guerre en soi. Quelle so

47  grand bourgeois » : « Le peuple est favorable au régime . Les employés et les ouvriers y trouvent mille occasions de s’élever.

48 s. Mais ici et maintenant, et sous la menace d’un régime qui n’eût pas manqué de réduire l’un et l’autre au silence, me verrai

49 a menace directe, dans la question tragique de ce régime , je puis encore — et je le dois sans doute — méditer sur le cours de

50 e « fatale » des choses ? Faut-il penser que les régimes totalitaires ne sont que des folies passagères ? Ou bien sont-ils ce

51 ié de l’Europe, et qui demain la dominera ? Si le régime totalitaire est le châtiment qu’a mérité l’Europe, si plus rien ne pe

52 e culture. Comment sauver au plus secret d’un tel régime les valeurs qui nous sont vitales ? Pour un chrétien, il y va de bien

53 omplices. Et seuls mes amis juifs me donnaient du régime une interprétation étonnamment conforme aux préjugés français-moyen,

54 uissance ?)   À force de vouloir « expliquer » le régime hitlérien, je m’aperçois que je suis contraint, bien malgré moi, de l

55 aire peur à l’étranger ; mais l’arrière-pensée du régime , c’est le socialisme d’État le plus rigide qu’on ait jamais rêvé ; pa

56 il y a moins de colère chez eux qu’ici contre le régime établi ; et quand il y en aurait autant, ce serait peu au regard de l

57 ne de haine ou d’approbation enthousiaste pour le régime qui leur est imposé. La vérité est que le grand nombre admet le régim

58 mposé. La vérité est que le grand nombre admet le régime avec indifférence, j’entends : ne le met plus en question. À tel poin

59 ique. Peu à peu, on leur a fait comprendre que ce régime , qu’ils servaient loyalement, ne pouvait se contenter de leur zèle, q

60 résulte d’abus de pouvoir de la part des chefs du régime  ; alors que la lutte actuelle n’est que le premier affrontement de l’

61 umération très orthodoxe des prouesses du nouveau régime . Dans ce pays, comme en Russie, c’est l’ici-bas qui a raison, qui mon

62 accepte de tels écarts. Grande différence avec le régime russe. Mon cours fut écouté avec un intérêt courtois, vaguement étonn

63 rieusement. ⁂ Il y a du bon et du mauvais dans ce régime , dites-vous ? À prendre les choses une à une, j’y trouve même plus de

64 de prendre les choses une à une, quand on juge un régime totalitaire. Il ne s’agit jamais que du principe unique au nom duquel

65 itiques qui s’y trouvent formulées à l’endroit du régime hitlérien. Il explique tout d’abord que ce régime est né de la pauvre

66 régime hitlérien. Il explique tout d’abord que ce régime est né de la pauvreté et du malheur de son pays, — ce qui est très ju

67 uisse détacher telle ou telle mesure prise par le régime pour l’admirer isolément, ou pour essayer de l’imiter. C’est une bell

68 nifiait pas, justement, que tout se tient dans ce régime , et que rien ne peut en être détaché sous peine de perdre toute espèc

69 réalisme ont fait faillite. Le seul adversaire du régime demeure, en fait, l’Église chrétienne ; c’est-à-dire qu’à la religion

70 se disent bien informés prophétisent la chute du régime pour le mois suivant, — depuis cinq ans. Or, chaque mois apporte, rég

71 ne voit pas beaucoup de raisons de douter que son régime ne conduise à la guerre. Non pas que les chefs et les troupes veuille

72 té des hommes n’a jamais pesé si peu que dans les régimes totalitaires. Ce n’est pas le chef qui commande, et ce ne sont pas le

73 e la dictature totalitaire, c’est la structure du régime . Or, la structure de l’État totalitaire — quelle que soit sa doctrine

74 z forts pour l’empêcher, et de condamner ainsi le régime adverse à une autodestruction de ses énergies belliqueuses. Or, se mo

75 e opprima ses propres minorités, leur imposant un régime centraliste inspiré du modèle français. 2. Sur quoi se basaient les r

76 oduisez la discussion, vous rendrez impossible le régime totalitaire. Je revendique pour ma part le droit de discuter, et j’en

77 gnification quant aux possibilités d’évolution du régime . L’un cite plusieurs de mes jugements d’une façon très partiale et tr

78 tuelles héritées du libéralisme conduisaient à ce régime de faillite qu’on nomme l’État totalitaire. Nous avons constaté que r

79 —, a pour véritable sujet non plus une nation, un régime , mais le désordre de l’époque, vu de près. Pas plus que les deux préc

80 énérale, dans un monde où s’installe peu à peu le régime de l’union sacrée et de la discipline de l’opinion. Dans quelle mesur

81 érales. Et j’en connais qui ne parviennent à leur régime normal de vie (comme un moteur prend son régime à tant à l’heure) que

82 r régime normal de vie (comme un moteur prend son régime à tant à l’heure) que dans le drame et le bouleversement des habitude

83 nt de venir jusqu’au Jour éternel ! Prenons notre régime de vie tendue : il suffit de savoir ce qui compte, et que la joie ne

84 os haines… Pourquoi la haine, par exemple, de tel régime qui nous menace depuis des mois ? Serait-ce à cause de la menace ? Je

85 le crois pas. S’il n’y avait pas un bien, dans ce régime , un bien que nous avons perdu, et qu’il séquestre, s’il n’y avait que

86 uer un veau, ou laisser descendre un militante du régime , brandissant sa carte du parti. Comme en Italie, les gens ne cessent

87 rique ? Ici, l’on n’a pas eu besoin de changer de régime , et de pendre les récalcitrants, pour construire ces routes prodigieu

88 onscience, pacifisme, antimilitarisme, crainte du régime tyrannique que toute guerre risque d’instaurer. Mais c’est aussi parc

89 ois d’Hitler, de Mussolini, de Franco, et de leur régime « d’avenir »… Celui qui ne veut pas croire au diable travaille fatale

90 ent et son usage s’oppose symétriquement aux deux régimes , puisqu’elle se fonde sur la réalité et sur la liberté des vocations.

91 mesure d’estimer ses besoins. Il n’y aura dans ce régime pas plus d’abus que vos systèmes de contrôle n’en provoquent. Je dis

92 er que le peuple allemand plébiscita cinq fois le régime hitlérien, par d’écrasantes majorités ? Il doit donc bien y avoir des

93 qu’il suffirait de manger une fois par jour — son régime ordinaire — la plupart de nos aliments, surtout la viande, n’étant pa