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changes obligent à un degré croissant d’autarcie,
régime
onéreux. L’État ne parvient pas à remplacer le mécène privé. Bien qu’
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urelle. L’édition européenne souffre gravement du
régime
des contingents, fixés par les États pour des raisons monétaires. Les
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on envers le Parti étatisé ou l’État partisan. Le
régime
des universités, en Europe occidentale, est très loin d’être uniforme
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dépendant d’une municipalité. Cette bigarrure, ce
régime
mixte, s’opposent assez effectivement à une « mise au pas » générale
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uté, héritage du nationalisme du xixe siècle. Le
régime
de la radio et celui de l’information donneraient lieu à des remarque
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tatutairement contre les mécanismes étatiques. Le
régime
de l’information fournit un test très simple pour distinguer les pays
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egré à un haut degré d’organisation, pour que nos
régimes
libéraux deviennent totalitaires, sans qu’il y ait lieu de changer le
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aire ; il encourt donc, à priori, la suspicion du
régime
qui s’en remet à lui pour lui assurer une avance technique sur ses ri
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gagés” — et engagés dans la ligne que souhaite le
régime
— pourraient être assurés de la confiance de ce dernier. » Situation
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nous avons énumérées plus haut. À l’inverse, les
régimes
totalitaires de l’Est ont si bien vu l’importance primordiale de la c
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condamner — dans son sein tout d’abord — que les
régimes
qui obligent l’opposition à se transformer en résistance clandestine
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à se transformer en résistance clandestine ; les
régimes
où les votes sont publics et se font à bulletins ouverts, tandis que
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ient le droit de dénoncer en bonne conscience les
régimes
de cité fermée, dont le symbole et le terme logique s’appelle le camp