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seulement l’évolution des arts, des sciences, des
régimes
politiques et des jugements moraux, mais encore toute l’économie, tou
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ire ? où aller ? Tout a été réglé d’avance par le
régime
. La colombe européenne, elle, sait qu’elle a besoin pour voler d’une
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union porte un nom bien connu dans l’histoire des
régimes
politiques, c’est de toute évidence fédéralisme. Je ne vois pas d’aut
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ui s’érige en État unitaire ; en Suisse, c’est le
régime
fédératif lui-même qui se voit invoqué (non sans paradoxe d’ailleurs)
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us vastes, qui est le battement même du cœur d’un
régime
sain, j’entends immunisé contre le virus totalitaire. Mais si le fédé
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s actuels dans l’université, en tous pays et tous
régimes
politico-économiques : ils ont pour motif profond l’antinomie entre l
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, sans soulever d’objections. Chacun sait que son
régime
politique est l’un des plus stables du monde, depuis plus d’un siècle
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’on ignore généralement, c’est la manière dont ce
régime
fédéraliste parvint à se faire accepter par les vingt-cinq cantons et
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lles se résolvent un jour (soit pas l’octroi d’un
régime
plus différencié et libéral, soit par une sécession, mais qui ne sera
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elle étant la crise présente de l’État-nation, le
régime
à prescrire paraît facile à formuler : Parce qu’ils sont trop petits,
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odernes. Ce ne sont pas les provinces de l’Ancien
Régime
, encore moins les départements découpés par Napoléon, ni les « Länder
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e la polis, avec ses autorités collégiales et son
régime
de participation civique intense, s’opposa durant des siècles à la mo
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bres, plus ou moins citoyens ou sujets, selon les
régimes
, mais toujours contribuables. L’Église n’a plus le droit de brûler se
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« région carrefour » ménageant à ses citoyens un
régime
d’allégeances multiples. La Regio Basiliensis s’étend sur trois pays
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tisme individuel et sa traduction collective en «
régimes
d’ordre ». Chaos social quadrillé par la police, ou régions fédérées