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qui forcément, je ressemble. Nous vivons sous un
régime
radical à sécrétion socialiste, qui a été établi par coup de force, q
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aximes, et toléré malgré leur mauvaise humeur. Ce
régime
de punaises jaunâtres aboutit à l’instruction publique et grâce à ell
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s premières douleurs morales. Après six ans de ce
régime
, on m’avait suffisamment rabroué pour que je ne montrasse plus aucune
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t aujourd’hui les charges de l’État, piliers d’un
régime
dont ils sont les seuls à s’accommoder parce qu’ils l’ont établi à la
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ges » n’est pas accidentelle. C’est celle même du
régime
. L’architecture de nos « palais scolaires » symbolise d’une façon fra
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s honte à ce crime quotidien, et se félicitent du
régime
des lumières et des compteurs à gaz. Mais ils se fâchent tout rouge q
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trôle de l’État. Alors ? Ou bien vous acceptez le
régime
— mais aussi ses conséquences absurdes et fatales, par exemple l’inst
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publique — mais vous êtes, de ce fait, contre le
régime
. Il y a là, dirait M. Prudhomme, un bien grave dilemme. 4. Ce ne
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ant optimisme bourgeois que je m’accommodais d’un
régime
nocif pour tout ce qu’il y a d’authentiquement noble en chaque homme.
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e. Si les fils du peuple souffrent moins d’un tel
régime
, c’est qu’ils n’ont pas d’eux-mêmes une connaissance aussi sensible.
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e fallait pas moins pour assurer la sécurité d’un
régime
établi dans des fauteuils ; car un peuple d’électeurs fantaisistes se
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sire un retour au passé. Mais la considération de
régimes
anciens peut nous amener à constater, sans plus, que notre soi-disant
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nellement organisé » à la mesure des « piliers du
régime
» et à seule fin de conditionner les jeunes esprits dans le sens requ
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s intéressés. ⁂ Que pourrions-nous imaginer d’un
régime
idéal de l’École pour demain ? J’ai indiqué la seule hypothèse prospe
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e partout, mais assez inégales.) Quel que soit le
régime
régnant, capitaliste ou socialiste d’étiquette, c’est encore l’État q