1 1953, La Confédération helvétique. Le peuple et son histoire
1 gionalisme ni seulement, à l’inverse, l’union des régions autour d’un centre, mais l’équilibre vivant entre les droits particul
2 1953, La Confédération helvétique. Les institutions politiques
2 ntérêts plus ou moins divergents des classes, des régions , de la paysannerie, des ouvriers et des bourgeois. « Ce qu’il y a d’i
3 gions ; celles des cantons ne sont pas celles des régions économiques ; et celles des cultures ne sont pas même celles de la Co
4 t que dans un seul canton, ou même dans une seule région de ce canton. Les partis qui ont acquis quelque importance sur le pla
3 1953, La Confédération helvétique. Institutions et aspirations économiques
5 ncêtres des puissantes entreprises modernes de la région zurichoise. L’accroissement de la production textile provoqua d’autre
6 strictions d’établissement ou de circulation. Les régions pauvres et les régions riches sont demeurées relativement les unes au
7 ent ou de circulation. Les régions pauvres et les régions riches sont demeurées relativement les unes aux autres, ce qu’elles é
4 1953, La Confédération helvétique. La famille et l’éducation
8 nt fidèlement le genius loci dans les différentes régions linguistiques et religieuses. Celles de Genève, Lausanne et Neuchâtel
5 1953, La Confédération helvétique. Le peuple suisse et le monde
9 le des autres, et majoritaire dans un canton, une région , un domaine essentiel de la vie commune. Il arrive même que les major
10 liberté, et je marchais allègrement à travers les régions catholiques et protestantes… Et cependant que je me représentais tout
11 n filigrane dans les œuvres des trois principales régions linguistiques, les autres niant qu’une telle culture ait jamais exist