1 t l’ignoble perversion de « l’infranational », du régional , donc en fait du séparatisme. C’est le péché contre l’esprit des jaco

2 ens, participation des citoyens et petites unités régionales sont en étroite dépendance. Pour ma part, j’ai toujours défini la rég

3 s héritiers de la pensée gaullienne, sur le thème régional , sont-ils donc les fédéralistes européens ? Il y aurait beaucoup à nu

4 i ne sont devenues réalités qu’en 1970. Le régime régional a permis l’accession au pouvoir du parti communiste dans plusieurs pr

5 ésente la caractéristique unique d’unir au niveau régional des ressortissants d’un pays de l’Est et de deux pays de l’Ouest.

6 rée comme une unité. » En aucun cas, le découpage régional ne devra établir de frontière au travers d’une telle communauté. 3. L

7 l’élection au suffrage universel d’une Assemblée régionale délibérante et l’existence d’un exécutif régional responsable devant

8 égionale délibérante et l’existence d’un exécutif régional responsable devant elle. 4. Le principe de l’autonomie régionale s’ap

9 nsable devant elle. 4. Le principe de l’autonomie régionale s’applique à tous les domaines essentiels à la vie et au développemen

10 Une deuxième Chambre européenne, à représentation régionale , donne aux régions le moyen d’intervenir dans la politique de constru

11 rope , 1975. Voir également : Pour une métropole régionale  : Aix-Marseille-Étang de Berre , Éditions de la Baconnière, 1963, et

12 réalités. Il y en a d’autres. a) C’est au niveau régional que les mesures d’écologie concrètes peuvent et doivent être élaborée

13 ps : l’exigence écologique entraîne des exigences régionales . Mais l’obstacle est le même dans les deux cas : l’État-nation. Exemp

14 rtent les tentatives de prises de responsabilités régionales . 4. Or, au-delà des exigences écologiques régionales niées, refusées

15 onales. 4. Or, au-delà des exigences écologiques régionales niées, refusées, minimisées par l’État-nation qui a peur qu’elles le

16 nc l’obstacle commun aux solutions écologiques et régionales , d’où l’identité d’intérêts politiques entre régionalistes et écologi

17 cologiques ne peuvent être résolus qu’à l’échelle régionale ou continentale, jamais à l’échelle nationale ; — alors il devient év

18 aux — patriotiques au sens premier — des réalités régionales et des libertés provinciales, sous le prétexte qu’elles s’appelaient

19 nsion européenne, une autre partie à la dimension régionale  ». Ils expriment l’espoir que leur génération « au sein de laquelle l

20 udes européennes, Genève, 1975 ; « Les politiques régionales en Europe » : actes du colloque de l’Association des instituts d’étud

21 alectes locaux tendent à se constituer en langues régionales . Par-delà les dialectes parlés, des convergences s’opèrent au profit

22 cré Solidarité vitale Centralisation Autonomies régionales Unité contre l’Étranger Union pour la sauvegarde des autonomies R

23 e la Conférence permanente des pouvoirs locaux et régionaux est à peu près l’inverse du précédent. Ici, l’on est parti non des my

24 ficiellement reconnus par l’adjonction du terme «  régionaux  » au titre de la Conférence permanente des pouvoirs locaux : c’était

25 . Une troisième Conférence des pouvoirs locaux et régionaux va se tenir en octobre à Borken (RFA) et permettra de faire le point

26 dans la diversité, et de l’union des autonomies, régionales plus encore que nationales, — au bénéfice final non pas de la puissan