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énétique de la culture européenne. Petites unités
régionales
, grands ensembles continentaux : dans les deux cas, la formule de l’É
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oléon), de l’effacement systématique des pouvoirs
régionaux
devant le seul pouvoir des bureaux concentrés dans une capitale tyran
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r des communautés de tous ordres : municipales et
régionales
, professionnelles et culturelles, ethniques mais surtout politiques,
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est proximiste, c’est-à-dire communale, locale et
régionale
. L’universel et le local ne sont pas en contradiction pas plus que l’
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ncret que dans les petites unités, municipales et
régionales
, qu’il s’agit désormais de recréer si l’on veut que la personne s’épa
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aussi, que dans la création de pouvoirs locaux et
régionaux
, problème numéro un de notre temps. Giuseppe Petrilli estime qu’il es
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posait la concertation continentale des autorités
régionales
(vraie voie, selon moi, vers la constitution d’un parlement ou d’un s
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ssaire lui aussi de la CEE, chargé des recherches
régionales
, avait fait une profession de foi sans équivoque en faveur des région
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endre en main leurs destins, à l’échelon local et
régional
, et de faire prévaloir l’intérêt général de l’humain, de la personne,
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serait ainsi introduit à la base par l’autonomie
régionale
. Mais les difficultés ne doivent pas être tues. La principale réside
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s de décision et comment les harmoniser au niveau
régional
? On pourrait prévoir pour chaque fonction une autorité régionale aut
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ourrait prévoir pour chaque fonction une autorité
régionale
autonome mais reliée à une agence fédérale (continentale) spécialisée
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… Cela supposerait la formation d’administrateurs
régionaux
qui ne soient pas de petits politiciens… Et cela supposerait avant to
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nnées 1960 par trois ou quatre instituts d’études
régionales
en Europe, qui font un travail de pionniers, mais sont fort peu soute