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tié du national-socialisme. » Certes, on peut lui
répondre
que faire du nationalisme, c’est faire l’autre moitié de ce tout. Mai
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vous ? » — « Chacun de nous tirerait deux fois »,
répondit
calmement le soldat. Le Kaiser préféra passer par la Belgique. La Sui
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nvoient leurs bons vœux de Nouvel An, auxquels il
répond
toujours. Plusieurs de ces hommes vont vers lui pour lui demander un
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qui demandent : « Pourquoi ces sacrifices ? », il
répond
: « Ni la famine, ni la guerre, ni l’exil ne pourront être évités si
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it profonde, et chaque être présent questionnait,
répondait
. La force était au secret de nos vies, nouée parfois dans une rancune
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Conformément à leur doctrine, les personnalistes
répondirent
par un engagement personnel. Ils tentèrent un essai pratique, à petit
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ela va-t-il ? Des personnages se perdent… » Mais,
répond
notre auteur, comme pour se justifier, n’en va-t-il pas de même dans
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ome. Ici les extrêmes se reflètent. Le microcosme
répond
au macrocosme. Si notre siècle arrive à digérer et intégrer cette pen
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inelle, que dis-tu de la nuit ? » La sentinelle a
répondu
: « Le matin vient et la nuit aussi. » Je n’ai pas fini d’aimer ce cr
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cela ? Dangereuse question : imaginez qu’il vous
réponde
? S’il permet que nous fassions sauter la Terre, elle sautera et ce s
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: Faut-il partir ? (pensant aux jeunes Français,
répondant
non). Que Bernanos s’est écrié : Mais partez donc ! la Terre est vast
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çaise en particulier. Je pourrais me contenter de
répondre
: c’est plutôt vous qui devriez sortir, sous peine de ne pas comprend
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nous soyons libres de circuler à notre guise. Je
répondrais
sans hésiter : il ne s’agit ni de choisir une terre et ses morts cont
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’user de ses dons. Forçons les gouvernants à nous
répondre
: à quoi servent ces barrages de tampons ? Comment peut-on les justif
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ome. Ici les extrêmes se reflètent. Le microcosme
répond
au macrocosme. Si notre siècle arrive à digérer et intégrer cette pen
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e à craindre, personne à menacer ? Personne à qui
répondre
que l’honneur du pays est en jeu, qu’on ne cédera plus d’une ligne, e
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ent ? (Je vous pose ces questions simplistes pour
répondre
à vos craintes vagues.) Ce qui détruit aujourd’hui les nations, dans
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isation des écoles de psychanalyse. Un théologien
répondit
: — L’affection de la chair, c’est la mort. Saint Paul l’a vu bien av
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sédez. Quel est votre plus vrai désir ? Les sages
répondaient
: — Nul ne possède vraiment que ce qu’il peut donner. Demandez-moi pl
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ment des institutions américaines ? » Vous pouvez
répondre
que vous êtes alcoolique et anarchiste, on vous laissera entrer. Mais
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it profonde, et chaque être présent questionnait,
répondait
. La force était au secret de nos vies, nouée parfois dans une rancune
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iques de Paris, T., ex-militant de la gauche, lui
répondit
avec un demi-sourire et sans retirer son mégot, que de l’autre côté o
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ntais. — Permettez, dit-il gentiment, que je vous
réponde
par une confession. Je ne sais d’ailleurs ce qu’on peut en conclure p
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vosité sur les événements de l’avant-veille. Elle
répond
à peine. Qu’y a-t-il ? — Avec qui m’as-tu trompée ? dit-elle enfin. J