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s et les fusées occidentales ? C’est ce qu’on m’a
répondu
récemment à Paris, lorsque je demandais aux responsables de la produc
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rrait arriver à Creys-Malville. On a refusé de me
répondre
en me disant que la probabilité était faible, et qu’il existait une m
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, êtes-vous de gauche ou de droite ? Je vais vous
répondre
par cette formule d’Ortega y Gasset que je trouve superbement adaptée
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défense de l’Occident. À tout cela, j’ai envie de
répondre
que cette campagne contre les pacifistes est elle-même manipulée… Il
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deux versets des Proverbes (Prov. 26/4-5) : « Ne
réponds
pas à l’insensé selon sa folie, de peur que tu ne lui ressembles toi-
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de peur que tu ne lui ressembles toi-même » et «
Réponds
à l’insensé selon sa folie, afin qu’il ne se regarde pas comme sage »
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il ne se regarde pas comme sage ». Alors, il faut
répondre
à la défense militaire et en même temps par la non-violence. C’est un
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llectivistes, mais personnalistes. En outre, nous
répondions
au grand défi des nationalismes, du nazisme, du fascisme mussolinien
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intendance, ils devaient suivre. Suivre quoi ? Je
réponds
: les finalités les plus hautes de la culture, de l’homme. En conclus
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mieux que les communistes et les fascistes, a su
répondre
à la question centrale du siècle, qui est religieuse au sens élémenta
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et j’écrivais alors : « Seul un prophète peut lui
répondre
». Nous l’attendons encore. Saurons-nous le reconnaître ? s. « Hit
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n progression ? Personne ne dispose des moyens de
répondre
à cette question. Si le Christ revenait sur terre et plus précisément
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as mal d’excès. q. « [Réponses] », Cent Suisses
répondent
à des questions de Marcel Proust et de Michel Moret, Lausanne, Éditio
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qu’à « l’équilibre de la terreur » correspond et
répond
en écho, à l’échelle internationale, le terrorisme déstabilisant. Que
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alifornie) en 1961. Le philosophe Sidney Hook lui
répondit
aussitôt : « Si nous vous suivions, nous finirions par être à la fois
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on. — Ils sont mal informés. Ce livre suffit pour
répondre
. (La désinformation systématique par les médias et par certains exper
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rée des prochaines conférences de Genève. Vous me
répondrez
que c’est impossible, car cela désorganiserait l’économie mondiale et
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e l’emploi du terme « Suisse » sans qualificatif,
répond
l’illusion politique : elle explique que l’on puisse nommer « Parleme
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ce que signifie pour moi le terme agora. Je vous
réponds
d’autant plus volontiers que le concept d’agora a toujours joué un rô
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as nécessairement Stentor », précise Aristote. On
répond
aujourd’hui que nous avons des haut-parleurs et que cela change tout.
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ion centralisé ou le dictateur. Mais qui peut lui
répondre
dans l’assemblée des hommes libres et se faire entendre à l’échelle n
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ce que moi, j’ai les deux pieds sur terre ! », je
réponds
: « Tant pis pour vous, car cela vous condamne à l’immobilité ! » Si
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ut ! C’est la première démarche de l’utopisme. Je
réponds
: « Commençons par ce qui est à notre portée. » II. Des implicatio
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quel sujet, en disant : « Mais attention, cela ne
répond
pas à tous les problèmes de l’humanité ! » Ensuite, il commet une err
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phie personnaliste plus les ordinateurs. » Il m’a
répondu
: « Ah, celle-là, je vous en veux de l’avoir dite avant moi ! » XI
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cteur, soit depuis 1978, comme son président ? Je
répondrai
par une énumération peut-être un peu sèche faute de temps. Je mention
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re et l’engagement qui se pose dans votre cas. Je
répondrai
d’une manière toute factuelle. Durant les années de mon « engagement
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succès, allez-vous me dire ? À cette question, je
réponds
depuis que j’agis, et au nom de l’Europe fédérale fondée sur sa cultu
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posé à nouveau en termes d’informatisation. On y
répond
généralement par des arguments que je connais depuis environ vingt-ci
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: que ferez-vous des ouvriers « libérés » ? On me
répondait
: nous allons les recycler dans le tertiaire, car le progrès techniqu
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ande si la machine peut éprouver des émotions, il
répond
qu’il travaille au MIT à réaliser « un inconscient artificiel ». Ce q
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’il remet ainsi en question la nature humaine, il
répond
qu’en effet, « comme l’a fait la religion dans le passé, l’ordinateur
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us dites : où vas-tu ? Je l’ignore et j’y vais. »
Répondons
-lui : si l’on ne sait où l’on va, mieux vaut n’y pas aller… dans cert
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n récente de La Part du diable . Les voici : Ne
réponds
pas à l’insensé selon sa folie De peur que tu ne lui ressembles toi
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olie De peur que tu ne lui ressembles toi-même.
Réponds
à l’insensé selon sa folie Afin qu’il ne se regarde pas comme sage.
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Halévy ? » Je le connais assez pour me garder de
répondre
, et comme je vais pour lui serrer la main, je vois du coin de l’œil,
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trot. Je dis : « La belle question ! Difficile de
répondre
… Attendez… Michaux est très mince… » Je lui prends le bras doucement.
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nne. Alors je dis qu’il faut aller vers l’Absolu,
répondre
à son appel, aller vers la fin qui seule va dicter les moyens de la r
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mière dans mon esprit : cette formule se trouvait
répondre
aux questions les plus lancinantes que me posaient alors l’époque, le
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voix puisse porter et où n’importe qui puisse lui
répondre
sans avoir l’organe de Stentor. Nous retrouvions l’idéal d’Aristote,
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Les personnes qui s’en rendent coupables ont à en
répondre
». Pouvait-on déduire de ces articles que les dissidents étaient en l
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ent pas. Vous voyez ici comment s’appellent et se
répondent
les trois thèmes principaux de mon livre : Écologie, régions, Europe
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« qu’est-ce qu’on va dire ? » Je me garde bien de
répondre
, je m’amuse trop. Finalement il jette en riant : « on va dire que c’e