1
l’appel existe, et c’est le premier qui saura lui
répondre
qui vaincra. Soyons donc les premiers chez nous, répondons d’une mani
2
qui vaincra. Soyons donc les premiers chez nous,
répondons
d’une manière plus humaine que les totalitaires, plus vraie aussi, et
3
ançât la guerre des Japonais contre Shanghai ? Il
répondit
que c’était vrai. — Mais alors, n’êtes-vous pas torturé par la pensée
4
contribue à prolonger un massacre ? — Nullement,
répondit
-il. Car tout ce que j’ai à voir, ce sont deux colonnes de chiffres, d
5
u moraliste qui s’indignait, il aurait simplement
répondu
que les affaires sont les affaires. On ne peut pas additionner des ch
6
phes du dernier siècle, dans leur ensemble, n’ont
répondu
que par la fuite, et par ce qu’ils appelaient le désintéressement de
7
ligion est l’opium du peuple, disait Marx. Je lui
réponds
que sa croyance au Progrès est l’opium de la culture. S’il fallait ré
8
restaurée et vivante. Et c’est à cet appel qu’ont
répondu
les chefs des grands mouvements collectivistes. Tout leur génie, s’il
9
l’autre. À l’anarchie individualiste de la Grèce
répond
l’étatisme romain. Au collectivisme sacral du Moyen Âge répond la rév
10
isme romain. Au collectivisme sacral du Moyen Âge
répond
la révolte individualiste de la Renaissance. Et aujourd’hui, nouvelle
11
énoncer les doctrines païennes mais qu’il fallait
répondre
mieux que ces doctrines à la question posée par l’angoisse des foules
12
inelle, que dis-tu de la nuit ? » La sentinelle a
répondu
: « Le matin vient, et la nuit aussi ! » La paix que nous devons invo
13
ent l’existence même de l’héritage européen, nous
répondions
: « C’est trop affreux pour être vrai. » Nous nous prétendions « réal
14
À la première de ces questions, il n’oserait pas
répondre
en toute franchise ; et à la seconde, il pressent bien qu’on ne pourr
15
a seconde, il pressent bien qu’on ne pourrait que
répondre
non. D’où sa myopie et son imprévision systématique des maux prochain
16
je demande qu’on double un budget culturel, on me
répondra
que je veux ruiner le pays. 5. Comme le fait Paul Reynaud devant le
17
l’ont fait dans un pays voisin ? Je n’oserais pas
répondre
ce matin. Ni oui ni non. Mais je voudrais que cette question reste po
18
er notre espoir ? Encore une fois, je ne puis pas
répondre
. Dieu le sait, et l’événement seul fera la preuve de notre force ou d
19
et qui seront alors une tentation, parce qu’elles
répondront
tant bien que mal à un désir, à un besoin normal, trop longtemps déçu
20
bloc ce privilège exorbitant ? Pour commencer de
répondre
à cette question, je me contenterai ce soir d’un rapide aperçu sur l’
21
r l’abandon de notre neutralité ? je ne puis donc
répondre
oui ou non. Le problème ne peut pas être posé, encore moins résolu, d
22
vrait éventuellement renoncer à sa neutralité. Je
réponds
pour ma part que cela ne pourrait être qu’au profit de l’Europe entiè
23
récises. Il faut que notre opinion soit prête à y
répondre
. Il ne faut pas que notre gouvernement se trouve placé devant des opt
24
vention donnée pour telle, et d’autre part ce qui
répond
à des nécessités naturelles et pratiques. Mais une analyse même rapid
25
ue par l’appel, et n’existe que si je m’y engage,
répondant
à l’appel sans penser à rien d’autre. Il n’est pas jalonné, comme les
26
ersonne n’a jamais vu. N’ayant d’autres moyens de
répondre
à son appel, de le rejoindre, que ceux que me suggère, inexplicableme
27
mon péché particulier, c’est ce qui m’empêche de
répondre
à l’appel que j’ai cru entendre, c’est le refus d’y croire sans preuv
28
le monde des aides de la Révélation. — À quoi je
réponds
que le risque est très grand, je l’avoue, mais que les Églises qui cr
29
rment reçue de Dieu. — À quoi je pense qu’on doit
répondre
par une vigilance redoublée dans l’examen des marques ou des « notes
30
de verser dans un individualisme anarchisant, je
répondrai
qu’il a bien mal compris la définition de la personne : l’homme charg
31
es « soupirs inexprimables » de la prière en nous
répondent
seuls à la réalité de l’indicible ; or toute vocation est d’abord ind