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ltramare, notre infaillible führer suisse. On lui
répond
que ça ne prend pas, que j’ai fait exactement le contraire. On me fus
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prétexte exactement inverse. Je garde le droit de
répondre
, et même de rire. Et vous, lecteurs, vous gardez le droit de juger to
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ès Oltramare par Me Duperrier, Denis de Rougemont
répond
sur le ton de la plaisanterie dans le dernier Bulletin de la Guilde d
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embre 1949, p. 12. L’enquête à laquelle Rougemont
répond
ici est précédée du chapeau suivant : « Récemment, notre correspondan
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ausanne, n° 291, 8 décembre 1949, p. 1. Rougemont
répond
ici à une lettre ouverte de Virgil Gheorghiu parue dans le même numér
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amisme. Une simple alliance d’États souverains ne
répondrait
nullement aux exigences du siècle. Seule une fédération, selon la for
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t rouges que morts.) À quoi mon ami Sidney Hook a
répondu
: « Cette attitude nous conduirait à être à la fois rouges et morts.
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du commun peuple ? » À la dernière question, j’ai
répondu
: « J’espère bien que vous n’attendez pas ma permission pour aimer le
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comme on le faisait il y a quelques siècles) pour
répondre
à des besoins certains et à des nécessités limitées de cette même vie
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nt en sont les pères, et je ne leur vois guère de
répondant
dans les élites d’Asie, d’Arabie et d’Afrique, à part Gandhi. Enfin l
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ons… Au vrai, il est devenu presque impossible de
répondre
à une telle question, et c’est pourquoi sans doute on la pose si rare
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e — car nous voici de moins en moins armés pour y
répondre
. Le problème qu’on soulève ici, et qui est celui du principe de cohér
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e méditation. Si les Européens voulaient vraiment
répondre
aux Asiatiques, aux Africains, ou aux Arabes, qui leur posent ces que
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i mon exemple du physicien et du théologien. Pour
répondre
à l’hindou qui interroge l’Occident sur son obsession de l’Histoire,
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e l’entropie au niveau de l’enseignement, mais ne
répondra
pas au défi de la division du savoir en langages spécialisés. Pour y
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ivision du savoir en langages spécialisés. Pour y
répondre
, il faut envisager la création d’instituts ou de centres de synthèse,
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très cambré. Max Huber fait son exposé. Mussolini
répond
, Chenevière l’observe. « Il est dressé, les mains au bord de la table
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i qui peut dire, dans une situation donnée : j’en
réponds
! Mais de quoi l’écrivain comme tel peut-il répondre, sinon de son œu
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ponds ! Mais de quoi l’écrivain comme tel peut-il
répondre
, sinon de son œuvre elle-même, de sa pensée et de son style ? C’est p
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arrivait de s’en poser à lui-même, et parfois d’y
répondre
par un opuscule. « Ah ! je suis bien déçu, me disait-il un jour. Je m
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audel et Saint-John Perse ! Étourdi de bonheur je
répondis
: Je n’ai pas vingt ans et mon tiroir est vide, mais je verrai… Quelq
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près lecture du manuscrit, et je m’efforcerai d’y
répondre
. Toute la première moitié de Penser avec les mains a été composée p
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ture non unitaire et si hautement diversifiée, je
répondrai
que la solution se trouve dans les termes mêmes du problème ainsi for
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70)ai Je ne vois pas d’autre forme d’union qui
réponde
à la double exigence du respect des diversités et de l’instauration d
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-nation qui, d’autre part, se révèle incapable de
répondre
aux exigences concrètes de notre temps, puisqu’il est à la fois trop
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utopie que de vouloir dépasser l’État-nation, je
réponds
que c’est au contraire la grande tâche politique de notre temps. Préc
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zie pourquoi elle veut devenir institutrice, elle
répond
: « Pour faire chier les mômes ! » Ces mauvais sentiments animent aus
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ur quoi. Et quand beaucoup plus tard, essayant de
répondre
à l’attente des interviewers, on met au point quelques demi-mensonges
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faire l’Europe sur le modèle de la Suisse, et qui
répondait
: « Le fédéralisme est pour votre pays une bonne solution. Ce qui ne
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me en place invoque les « réalités », le critique
répond
: « Vous ne voyez pas la vraie réalité parce que vous êtes aux prises