1 1951, Preuves, articles (1951–1968). Mesurons nos forces (avril 1951)
1 les mystiques adverses. Au défi de la propagande, répondons tranquille­ment par les faits. Nous pouvons perdre toutes nos liberté
2 1952, Preuves, articles (1951–1968). Le sens de nos vies, ou l’Europe (juin 1952)
2 e Europe que vous voulez unir pour la sauver ? Je réponds que ce n’est pas celle des turbines, mais celle de l’inventeur de la
3 1953, Preuves, articles (1951–1968). Deux princes danois : Kierkegaard et Hamlet (février 1953)
3 e demanda : Ne veux-tu donc jamais te marier ? Je répondis  : Oui, dans dix ans, quand le feu de la jeunesse sera passé : il me f
4 it de l’Éternel l’ordre de parler aux nations, il répond  : « Je ne suis qu’un enfant, voici, je ne sais point parler. » Nous d
4 1954, Preuves, articles (1951–1968). La table ronde de l’Europe (janvier 1954)
5 t de l’Assemblée de Strasbourg, Paul-Henri Spaak, répond d’une manière dramatique : « Nous autres Européens, nous vivons, depu
6 tion : pourquoi l’Europe unie ? il nous faut donc répondre maintenant : pour que l’Europe recouvre, entre les grands empires, la
7 ui déterminent notre existence concrète ? Comment répondre , par exemple, à la critique marxiste autant que fasciste de l’atomisa
5 1954, Preuves, articles (1951–1968). Il n’y a pas de « musique moderne » (juillet 1954)
8 oderne ? » c’est qu’on attend que je dise non. Je réponds oui pour inquiéter, mais c’est gênant, car la chose dont on me parle
9 cier ? ⁂ À la question que je citais au début, je répondrai maintenant sans hésiter : « J’aime la musique moderne de tous les tem
6 1954, Preuves, articles (1951–1968). Politique de la peur proclamée (novembre 1954)
10 « Khrouchtchev est-il un autre Staline ? » Et de répondre  : « Très évidemment non. C’est un personnage agressif, dynamique, et
7 1955, Preuves, articles (1951–1968). Le Château aventureux : passion, révolution, nation (mai 1955)
11 s instituent le culte de la Vierge. Et Notre-Dame répond à la Dame des pensées, comme à la cortezia des troubadours la mystiqu
12 oute obscurément. Si l’on me demande pourquoi, je répondrai par cette phrase qui est la parabole biologique d’une vérité fondamen
8 1955, Preuves, articles (1951–1968). L’aventure occidentale de l’homme : L’exploration de la matière (août 1955)
13 utable progrès. Quand on lui demande pourquoi, il répond que la science libère l’individu de la tyrannie jadis exercée par les
14 ion n’a pas de sens : rien « au monde » ne peut y répondre  ; mais aussi, elle dépasse le monde ; rien en lui ne peut m’empêcher,
15 e oppose sa Question. Nulle réponse, nul refus de répondre , et nulle interdiction d’interroger, n’auront jamais raison de cette
9 1955, Preuves, articles (1951–1968). L’aventure technique (octobre 1955)
16 de l’homme. Les uns décrivent l’homo faber comme répondant au défi de la Nature : il se défend à l’aide d’objets plus durs prolo
17 ins comblent nos désirs secrets, mais beaucoup ne répondent à rien : la technique qui les donne doit les faire accepter et créer
18 lle par le moyen de ce porte-voix. Si vous courez répondre , agacé par le bruit, c’est que vous vous attendez à quelque chose que
19 À son tour, la découverte de la radioactivité ne répondait à aucun besoin utilitaire, mais en a créé beaucoup, devenus « vitaux 
10 1956, Preuves, articles (1951–1968). Les joyeux butors du Kremlin (août 1956)
20 ire, mais uniquement verbale, du culte des chefs, répond à une nécessité plus impérieuse : c’est l’alibi de la dictature, deve
21 de fous, moins ça se voit », pourrait au mieux me répondre K. 47. « Avec la démocratie intérieure au Parti, la direction collég
22 ns ses Temps modernes (n° 123, p. 1521) : « On ne répond pas à Rousset. On le laisse gagner sa vie comme il peut. » Mais il se
11 1956, Preuves, articles (1951–1968). Sur le rêve des sciences (décembre 1956)
23 rces d’énergie. Le vrai problème nouveau sera de répondre au défi de nos grands rêves réalisés, — au défi de l’invasion des loi
12 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur la honte et l’espoir de l’Europe (janvier 1957)
24 au lieu de faire cette Europe qui aurait seule pu répondre . Je partage cette honte pour avoir toléré trop de mauvais prétextes à
25 es hommes de parole : des poètes. Comment, d’ici, répondre à leur appel ? Savoir ce qu’il faut dire est notre action. J’écrivais
26 C’est une insurrection morale sans précédent qui répond à l’appel de Budapest. Qu’elle soit presque unanime suffit presque à
27 ’Europe. Mercredi 14 novembre 1956 Comment répondre à des centaines de pages, en majeure partie manuscrites, déclenchées
28 faites l’Europe ! Pour qu’il y ait quelqu’un qui réponde , qui soit capable de réponse, ou responsable, lorsque d’autres appels
29 s appels viendront. Pour qu’il y ait une voix qui réponde , parlant au nom d’une force en tous temps alertée, et d’une force ind
13 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur Voltaire (février 1957)
30 tout, y compris le massacre des ouvriers : « Vous répondez que la différence est grande, que toutes les religions (lisez les par
14 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur la neutralité européenne (II) (avril 1957)
31 foule de motifs très divers concourent à me faire répondre à la première question par un oui presque sans réserve. Prenons les p
15 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur le pouvoir des intellectuels (juillet 1957)
32 ’est pas signé. Mœurs courantes, me dit-on, on ne répond pas à cela. Je pense à cet ami qui soupirait : « Ah je n’ai plus le t
33 n’ai plus le temps d’écrire, même aux amis, je ne réponds plus qu’aux lettres anonymes ! » ad. « Sur le pouvoir des intellec
16 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur l’Europe à faire (novembre 1957)
34 our premier effet la dévaluation du franc. On lui répond très sobrement que cette opération n’est pas un crime, mais une néces
35 ut fait pour empêcher les masses d’y participer ! répond Spaak. Tandis qu’André Philip ajoute qu’on qualifie d’antidémocratiqu
36 a question : « Faut-il unir l’Europe ? », on peut répondre  : 1. — Non, car seules nos nations existent. Mais depuis quand ? La m
37 cela va de soi. Les animateurs de chaque branche répondront qu’on ne peut faire tout à la fois. Je voudrais qu’ils se demandent u
17 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur la pluralité des satellites (II) (décembre 1957)
38 it auparavant pour sa passion de l’utilitarisme ! Répondons sobrement. Si l’anticommunisme prétendait que la science russe est en
18 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur la fabrication des nouvelles et des faits (février 1958)
39 ard, à Montreux, les fédéralistes se rassemblent, répondant à l’appel de groupes de résistants de droite et de gauche non communi
40 ûte 700 milliards par an ; et Gaillard qui aurait répondu  : 350 seulement. J’ouvre une autre publication, dans laquelle M. Pier
19 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur un patriotisme de la terre (mars 1958)
41 s, de toutes altitudes et de toutes nationalités, répondant à des besoins différents. Il y aura une série de grandes stations de
42 ’émotion et toute utilité ? Il est trop facile de répondre que les modifications introduites par la technique dans le cadre de n
20 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur le régime fédéraliste (I) (août 1958)
43 n système fédéral. On me demandera pourquoi et je répondrai d’abord que cela se sent avant de s’expliquer, mais qu’il est bien ty
21 1959, Preuves, articles (1951–1968). Nouvelles métamorphoses de Tristan (février 1959)
44 ’amour réciproque malheureux ». Lolita n’a jamais répondu à la passion tendre et sauvage de son aîné. De là l’échec du Mythe et
45 itise grossièrement directe serait contre nature, répondit Ulrich. L’homme qui en serait capable engagerait la créature désarmée
46 squer Lara) offre l’exil à Jivago. Ce dernier lui répond , sans motiver son refus : « De mon départ, il ne saurait être questio
22 1959, Preuves, articles (1951–1968). Rudolf Kassner et la grandeur (juin 1959)
47 olisait celle de l’antique et du moderne, Kassner répondrait aujourd’hui par l’opposition de la grandeur mesurée et de l’indiscrét
23 1959, Preuves, articles (1951–1968). Sur un chassé-croisé d’idéaux et de faits (novembre 1959)
48 prophétisant le triomphe rapide du communisme, K. répond  : « Les gens qui argumentent de cette manière créent de la confusion,
49 vers la réalisation de ce but. La seule façon de répondre à M. K., c’est de cesser de nous demander avec inquiétude s’il va nou
24 1960, Preuves, articles (1951–1968). Les incidences du progrès sur les libertés (août 1960)
50 l’auditoire ici présent n’a pu écouter, je pense répondre à l’attente de tous en essayant de reconsidérer la nature, la fonctio
51 mmentaire que je viens de vous donner de nos buts répond suffisamment à cette question. Mais on insiste, la presse insiste, et
25 1961, Preuves, articles (1951–1968). Dialectique des mythes : Le carrefour fabuleux (I) (avril 1961)
52 par hasard, dans la rue. Elle l’a salué, et il a répondu à son salut, mais ils n’ont pas pu se parler. C’était le 17 mars 1855
26 1961, Preuves, articles (1951–1968). Dialectique des mythes : Le carrefour fabuleux (II) (mai 1961)
53 mme, qui es-tu ? » le Don Juan de Tirso de Molina répond  : « Qui je suis ? Un homme sans nom. » Cet homme sans nom, sans passé
54 s ou de son absurdité, nous mettrait en mesure de répondre . Si notre incarnation présente n’est que souffrance et illusion — sou
27 1964, Preuves, articles (1951–1968). Un district fédéral pour l’Europe (août 1964)
55 rtisans de l’abstention. Je vais les résumer et y répondre . Arguments politiques. — La neutralité intégrale reste la base de no
56 es grandes lignes et dans son ensemble », se voit répondre par le Collège exécutif : 1°) « Dans un pays comme le nôtre, les déba
28 1968, Preuves, articles (1951–1968). Marcel Duchamp mine de rien (février 1968)
57  ! Allez en faire autant avec vos fées ! » Je lui réponds que jamais un moteur n’a pu produire la moindre fée. Quant à Duchamp,
29 1968, Preuves, articles (1951–1968). Vingt ans après, ou la campagne des congrès (1947-1949) (octobre 1968)
58 sujet de Montreux. À mes objections réitérées, il répond « Je vous demande simplement de nous lire les pages sur L’Attitude fé
59 t jamais entendu parler de ces deux autres. On me répondit que mon projet était trop long, qu’il parlait de fédéralisme et qu’on
30 1970, Preuves, articles (1951–1968). Dépasser l’État-nation (1970)
60 -nation qui, par ailleurs, se révèle incapable de répondre aux exigences concrètes de notre temps, puisqu’il est à la fois trop
61 utopie que de vouloir dépasser l’État-nation, je réponds que c’est au contraire la grande tâche politique de notre temps. Préc