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s qu’en littérature je défends l’acte gratuit, je
réponds
que la littérature remplirait déjà suffisamment son rôle en se bornan
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, puis l’acceptation de toute tendance du moi, je
réponds
que le mensonge est sincère aussi, qui révèle mon besoin de mentir. I
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image d’un couple heureux et banal, votre sourire
répondant
au mien, comme on voit au dénouement des films populaires et sur des
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ssaie un instant de m’élever à la notion de Dieu,
répond
Aragon, je me révolte qu’elle puisse en aucun cas servir d’argument à
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s sérieux. Le reproche est grave. Je ne saurais y
répondre
. Je pourrais vous dire que si vous me trouvez un peu potache, il n’es
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que j’attends de ma vie. Je serais tenté de vous
répondre
, comme ce sympathique Philippe Soupault, que « ceci, c’est une autre
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arde chante jusqu’à ce qu’il n’en puisse plus… Je
répondais
à mon ami : — À chacun selon sa faim. Heureux ceux qui ont une grande