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r ici, et à laquelle, réellement, vous cherchez à
répondre
? En un mot, est-ce une question existentielle — pour employer un ter
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isme est contre l’homme. 2. À cela, les chrétiens
répondent
: Comment l’homme s’aimerait-il lui-même mieux que Dieu, son créateur
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te entreprise d’assurance-vie. L’humaniste pourra
répondre
qu’à ses yeux, le christianisme n’est qu’une assurance-paradis. Mais
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la devise de l’école illustrée par M. Goguel. Il
répondra
que c’est au bénéfice du vrai. Mais il faudrait alors déclarer ses cr
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tte communauté où toute pensée et toute action se
répondaient
, où il était normal, salutaire et logique que les choses s’ordonnent
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s-nous ? À la question : Où en sommes-nous ? j’ai
répondu
en rappelant la situation très précaire du chrétien dans la cité tell
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devenue. À la question : D’où venons-nous ? j’ai
répondu
en rappelant que l’origine vivante de notre action, c’est l’incarnati
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ressuscité. À la question : Où allons-nous ? j’ai
répondu
: le Seigneur vient ! — et nous allons à la rencontre de son règne, v
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d’avoir posé ces trois questions, avant d’y avoir
répondu
? Oh, je sais bien que le monde d’aujourd’hui retentit chaque jour d’
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iens ? Telle est la première question. Et si l’on
répond
non à cette première question, est-il possible alors, ou désirable, q
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ofessionnelle ? Je n’aurai pas le cynisme de vous
répondre
que ce serait là peut-être un remède tout trouvé à la crise de surpro
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yances. Mais en fait, c’est le seul mouvement qui
réponde
, dès son principe, aux exigences de notre vocation. Ce n’est pas une
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la lui rendra-t-on ? », les catholiques modernes
répondaient
dans l’ensemble : « Avec du sucre ! » Remarque hélas valable pour bie