1 1934, Politique de la personne. Introduction — L’engagement politique
1 reux ? On se demande alors de quoi je me mêle. Je réponds que je voudrais bien n’avoir jamais été forcé de m’en mêler. Mais tel
2 illeurs le besoin de penser, il se voit obligé de répondre activement aux empiètements dans son domaine de ce qu’on a nommé le d
2 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
3 ous venons dire : voici ce qu’il faut faire, nous répondent  : attention ! le problème est plus complexe ! Non, les problèmes ne s
4 hypothèse est séduisante, vraisemblable même. Que répondra Hitler ? Il répondra que tout ce que dit Trotski s’explique simplemen
5 nte, vraisemblable même. Que répondra Hitler ? Il répondra que tout ce que dit Trotski s’explique simplement par le fait que Tro
6 s hitlériens s’indignent de ce reproche. Ils nous répondent , avec raison, que leur action n’a pas les apparences d’une évasion, d
7 olutionnaires que je vous ai cités. Je voudrais y répondre ici en mon nom personnel. Quel est donc, nous dit-on, le fondement ré
8 ague, cela me paraît assez sentimental… Jésus lui répondit par une parabole, celle du Bon Samaritain. Et le docteur de la loi dé
3 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Personne ou individu ? (D’après une discussion)
9 pas quelle est ma vocation, je serai tenté de lui répondre qu’une ignorance de cet ordre est bien plutôt une espèce de refus… À
10 u’on ne veut pas nommer. » La première définition répond à l’étymologie ; la quatrième à la notion que les personnalistes se f
4 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Précédence ou primauté de l’économique dans le marxisme ? (Introduction à un débat dans un cercle privé)
11 notone. À toutes ces critiques, les marxistes ont répondu pendant longtemps à peu près ceci : « Vous avez peut-être raison dans
5 1934, Politique de la personne. Idoles — Comment rompre ?
12 à vos paroles, chrétiens, menteurs ! — et je lui répondrai  : Ta révolte est la mienne, mon humaine révolte. Mais j’en ai une aut
13 prouvent l’inexistence ou la disparition. On leur répond qu’il y a prescription : l’Esprit n’est plus avec ceux qui ont intérê
6 1934, Politique de la personne. Idoles — Humanisme et christianisme
14 r ici, et à laquelle, réellement, vous cherchez à répondre  ? En un mot, est-ce une question existentielle — pour employer un ter
15 isme est contre l’homme. 2. À cela, les chrétiens répondent  : Comment l’homme s’aimerait-il lui-même mieux que Dieu, son créateur
16 te entreprise d’assurance-vie. L’humaniste pourra répondre qu’à ses yeux, le christianisme n’est qu’une assurance-paradis. Mais
7 1934, Politique de la personne. Idoles — Fascisme
17 es. Que représente l’État pour les fascistes ? Il répond en tout premier lieu à la nostalgie d’unité qui s’empare des peuples
18 présent ? L’expérience hitlérienne nous permet de répondre à coup sûr. Que nous montre, en effet, l’Allemagne ? Dans l’ordre ecc
8 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — D’un Cahier de revendications
19 n vain quelle idéologie les empêcherait encore de répondre aux invites de ces parents naguère inavouables, mais qui soudain font
20 yez-vous ? », les hommes de ce temps n’aiment pas répondre , car c’est une question personnelle, une mise en question réelle. Je
21 randeur des luttes élémentaires, n’aurions-nous à répondre qu’un dogmatique « Tu te trompes » ? Les hommes n’entendront de nous
9 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Communauté révolutionnaire
22 a place unique dans la communauté. Qu’il ait à en répondre . Il n’y a d’ordre qu’à ce prix. Une paix véritable ne saurait résulte
10 1934, Politique de la personne. Appendice — Liberté ou chômage ?
23 présente est un appel à l’homme. Seuls sauront y répondre en pleine efficacité ceux pour lesquels il n’est pas de salut hors de
11 1934, Politique de la personne. Appendice —  La Révolution nécessaire
24 du nécessaire. (Il y a même quelques députés.) On répondit à Berdiaev : mais nous avons Dandieu… Il nous reste, du moins, sa der