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C’est à cette question judicieuse que j’ai voulu
répondre
par ce livre. Peut-être mon récit n’a-t-il pas d’autre but que de déc
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abitude d’une bande de petits garçons. Il n’a pas
répondu
à mon salut. 11 décembre 1933 À la cuisine. — Les jours où il
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ur : « Qu’est-ce que vous voulez, il n’y a rien à
répondre
, c’est juste, ce qu’il a dit ! Il connaît bien son affaire. C’est bie
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crois d’assez banales complaisances. Et le destin
répond
à ces défis, fussent-ils géniaux, par des énigmes ironiques. Au bout
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non point celles que nous posions pour éviter de
répondre
au présent. À lire les romans d’aujourd’hui, disons « le roman » bou
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tique et tout !… »11 Les éditeurs s’efforcent de
répondre
à la demande du public. Il faut des livres faciles, des livres gais,
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ncs pour son beau-frère. « Ce cochon-là » n’a pas
répondu
, et pourtant la lettre était recommandée. Alors il a été voir « une p
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r l’état politique de la France, je me promets de
répondre
par cette simple déclaration : « La France est un pays comblé, qui a
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int, et il fait beau le jour de Pâques. » Je leur
réponds
: « Que voulez-vous, les saisons ne sont plus ce qu’elles étaient »,
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eux mâle coasse des notes basses, et le chœur lui
répond
, deux octaves au-dessus. Toujours ces luttes dans la remise. La chien
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interpelle assez grossièrement la patronne qui ne
répond
pas. C’est un habitué, il est comme ça. Il faut le laisser frapper le
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ce métayer ou ce rentier, sur son état : il vous
répond
en termes de revendications abstraites, il vous parle de la réaction,
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s libertés culturelles et politiques, etc. Ils me
répondent
que tout cela n’est rien, ou n’est que provisoire et simplement « tac
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. Quand je leur pose une question gênante, ils me
répondent
que je suis fasciste. Cette lâcheté était naguère le fait des bourgeo
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s maux dégradants, de la misère et du taudis ? Je
réponds
qu’ils s’ennuieront. J’en réponds à leur place. Je le sais et c’est p
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du taudis ? Je réponds qu’ils s’ennuieront. J’en
réponds
à leur place. Je le sais et c’est plus grave qu’ils ne le croient. L’