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e puisse aller avec sécurité dans l’inconnu. » Il
répondit
: « Va dans l’obscurité et mets tes mains dans les mains de Dieu. Ce
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car c’est à elle précisément que je me propose de
répondre
ici. Comment passer du zéro de l’homme devant Dieu à la valeur infini
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ésir de retrouver confiance en soi, que je devais
répondre
en exaltant ici le protestantisme créateur de personnalités, ou défen
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ançât la guerre des Japonais contre Shanghai ? Il
répondit
que c’était vrai. — Mais alors, n’êtes-vous pas torturé par la pensée
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contribue à prolonger un massacre ? — Nullement,
répondit
-il. Car tout ce que j’ai à voir, ce sont deux colonnes de chiffres, d
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u moraliste qui s’indignait, il aurait simplement
répondu
que les affaires sont les affaires. On ne peut pas additionner des ch
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phes du dernier siècle, dans leur ensemble, n’ont
répondu
que par la fuite, et par ce qu’ils appelaient le désintéressement de
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gion est l’opium du peuple », disait Marx. Je lui
réponds
que la croyance au Progrès est devenue l’opium de la pensée. Bien ent
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appel au dictateur Et c’est à cet appel qu’ont
répondu
les chefs des grands mouvements collectivistes. Tout leur génie, s’il
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vraiment humains. C’était très bien d’essayer de
répondre
au grand appel des peuples vers une communauté. Mais on a répondu tro
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appel des peuples vers une communauté. Mais on a
répondu
trop vite, et surtout d’une manière incomplète. Or, en pareil domaine
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l’autre. À l’anarchie individualiste de la Grèce
répond
l’étatisme romain. Au collectivisme sacral du Moyen âge répond la rév
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isme romain. Au collectivisme sacral du Moyen âge
répond
la révolte individualiste de la Renaissance. Et aujourd’hui, nouvelle
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noncer les doctrines païennes, mais qu’il fallait
répondre
mieux que ces doctrines à la question posée par l’angoisse des foules
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inelle, que dis-tu de la nuit ? — La sentinelle a
répondu
: Le matin vient, et la nuit aussi ! » La paix que nous devons invoqu
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ire : a-t-elle une raison d’être ? J’essaierai de
répondre
ici du point de vue qui me paraît le plus fécond non seulement pour l
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numéro de la revue Esprit consacré à la Suisse,
répondait
à la fois à la Lettre que C. F. Ramuz m’adressait en tête de ce même
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dresse l’Europe moderne. Il s’agit maintenant d’y
répondre
. Nous ne pouvons plus nous contenter de déclarer que notre Confédérat
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1940, sont avant tout nos libertés politiques. Je
répondrai
que nos libertés politiques ne sauraient subsister et garder leur val
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ave menace pour notre État. Que reste-t-il donc à
répondre
à ceux qui nous demandent d’entrer en guerre ? Ni l’argument des réal
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, c’est plutôt une mise de piquet. Soyons prêts à
répondre
à tout appel, même balbutiant, qui se ferait entendre. Préparons-nous
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laborateurs. Si l’un d’entre eux s’étonne, on lui
répond
que les temps sont difficiles. Je vois que dans le budget moyen d’un
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pourquoi mes positions diffèrent des siennes. Je
répondrai
: 1° que Reynold est catholique, et je suis calviniste ; 2° que lorsq