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ce qui faisait notre vie ? Il faudrait essayer de
répondre
. L’homme n’est pas né pour faire n’importe quoi, sans rien comprendre
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une grande gare de cette Europe qui ne sait plus
répondre
aux menaces que par l’extinction des lumières, — de toutes les lumièr
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it les Suisses à bout portant. Le poème de Manuel
répond
à une chanson glorifiant la victoire des Allemands. 2. Amen. Versig
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par le chef de l’État ou par l’ami ? — Par l’ami,
répond
aimablement le Duce. — Alors je m’assieds. » En sortant, ajoute R., j
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n nomme une retraite stratégique. On aurait pu me
répondre
, en 1940, qu’il est aussi des retraites nécessaires pour défendre l’i
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giques de Paris, T. ex-militant de la gauche, lui
répondit
avec un demi-sourire et sans retirer son mégot, que de l’autre côté o
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mande pressante, je leur envoie le livre. L’un me
répond
au bout d’une semaine : votre livre est très bien, je voudrais le pub
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e, il faudrait tout un livre pour essayer de vous
répondre
. Si toutefois vous posez sérieusement cette question… J’allais me fâc
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e des grandes fortunes tient à ce que nul ne peut
répondre
à ces questions, même en multipliant les précisions techniques qui pe
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ppel, le peuple s’imagine que les événements vont
répondre
d’une manière presque automatique. « Un monde nouveau surgira de nos
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i nous se soucie d’inventer ? Une atonie mondiale
répond
à l’événement. Nous aurons peu pensé, pendant la guerre. Les hommes p
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it profonde, et chaque être présent questionnait,
répondait
. La force était au secret de nos vies, nouée parfois dans une rancune
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é au « service de secrétaires » du téléphone : il
répond
de ma part en mon absence, prend les messages et me les communique à
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sages pour moi ? La voix d’une secrétaire anonyme
répond
(trop vite, me dis-je, c’est sans doute celle qui ne m’aime pas) : —
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brisé, souvent contradictoire dans le détail, je
répondrai
que c’est un journal — et un journal des temps brisés. 17. Voir me
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: Faut-il partir ? (pensant aux jeunes Français,
répondant
non). Que Bernanos s’est écrié : Mais partez donc ! la Terre est vast
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çaise en particulier. Je pourrais me contenter de
répondre
: c’est plutôt vous qui devriez sortir, sous peine de ne pas comprend
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nous soyons libres de circuler à notre guise. Je
répondrais
sans hésiter : il ne s’agit ni de choisir une terre et ses morts cont
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’user de ses dons. Forçons les gouvernants à nous
répondre
: à quoi servent ces barrages de tampons ? Comment peut-on les justif
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eront pourquoi je l’aime, et je ne saurai comment
répondre
. Sait-on jamais pourquoi l’on aime un être ? Voici longtemps qu’on a