1
t de beaucoup le soulagement. L’histoire a parlé.
Répondons
. (Même si elle avait mieux fait de se taire.) Bâtard ou non, l’âge at
3
er quarante millions d’Américains ?”, le savant a
répondu
: “Je crains que oui.” » Or ceci tue cela, me semble-t-il. Si imperti
4
ti de cette guerre ? Quelles nouveautés ? Aucune,
répondent
beaucoup. Rien que du négatif : l’écrasement matériel des nazis, et d
5
s nazis, et des ruines. Trois grandes nouveautés,
répondrai
-je au contraire. Le triomphe d’un régime. Une idée. Et une arme. Ce r
7
945. Vous n’avez pas donné dans le piège. Vous me
répondez
avec sérénité que l’Europe est prête à faire le bien, mais que des pr
8
nationalisation des banques. Les Suisses peuvent
répondre
que cette mesure est précisément celle qui fut prise en premier lieu
9
ome. Ici les extrêmes se reflètent. Le microcosme
répond
au macrocosme. Si notre siècle arrive à digérer et intégrer cette pen
10
e à craindre, personne à menacer ? Personne à qui
répondre
que l’honneur du pays est en jeu, qu’on ne cédera plus d’une ligne, e
11
ent ? (Je vous pose ces questions simplistes pour
répondre
à vos craintes vagues.) Ce qui détruit aujourd’hui les nations, dans
12
inelle, que dis-tu de la nuit ? » La sentinelle a
répondu
: « Le matin vient et la nuit aussi. » Je n’ai pas fini d’aimer ce cr
13
ela ? » Dangereuse question : imaginez qu’il vous
réponde
? S’il permet que nous fassions sauter la Terre, elle sautera et ce s