1 1947, Doctrine fabuleuse. Deuxième dialogue sur la carte postale. La beauté physique
1 it d’une femme pareille ? Un mari. Vous lui avez répondu  ?… Le peintre. Naturellement, je lui ai dit que mon cygne n’avait pa
2 crète ? Quel est son risque ? Le mari. Vous avez répondu vous-même à la première question : Léda est faite pour le cygne, elle
3 a, renonçant à toute exigence ? Le mari. Je vous réponds sans hésiter. Le seul homme qui n’a pas une carte postale au fond de
2 1947, Doctrine fabuleuse. Contribution à l’étude du coup de foudre
4 ntais. — Permettez, dit-il gentiment, que je vous réponde par une confession. Je ne sais d’ailleurs ce qu’on peut en conclure p
5 vosité sur les événements de l’avant-veille. Elle répond à peine. Qu’y a-t-il ? « Avec qui m’as-tu trompée », dit-elle enfin.
3 1947, Doctrine fabuleuse. Le supplice de Tantale
6 (comme je voudrais nommer les lois spirituelles), répond un châtiment dont on croit deviner qu’il n’est qu’une double réfracti
4 1947, Doctrine fabuleuse. La fin du monde
7 isation des écoles de psychanalyse. Un théologien répondit  : « L’affection de la chair, c’est la mort. Saint Paul l’a vu bien av
8 sédez. Quel est votre plus vrai désir ? Les sages répondaient  : — Nul ne possède vraiment que ce qu’il peut donner. Demandez-moi pl