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le plus grand commandement de la loi ? Jésus lui
répondit
: Tu aimeras le Seigneur, ton Dieu, de tout ton cœur, de toute ton âm
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opéenne ? Il semble à première vue plus facile de
répondre
dans le cas des mythes, car les dates de leurs émergences dans la lit
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’amour réciproque malheureux ». Lolita n’a jamais
répondu
à la passion tendre et sauvage de son aîné. De là l’échec du Mythe et
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itise grossièrement directe serait contre nature,
répondit
Ulrich. L’homme qui en serait capable engagerait la créature, désarmé
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squer Lara) offre l’exil à Jivago. Ce dernier lui
répond
, sans motiver son refus : « De mon départ, il ne saurait être questio
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manda : « Ne veux-tu donc jamais te » marier ? Je
répondis
: « Oui, dans dix ans, quand » le feu de la jeunesse sera passé : il
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it de l’Éternel l’ordre de parler aux nations, il
répond
: « Je ne suis qu’un enfant, voici, je ne sais point parler. » Nous d
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par hasard, dans la rue. Elle l’a salué, et il a
répondu
à son salut, mais ils n’ont pas pu se parler. C’était le 7 mars 1855,
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mme, qui es-tu ? » le Don Juan de Tirso de Molina
répond
: « Qui je suis ? Un homme sans nom. » Cet homme sans nom, sans passé
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s ou de son absurdité, nous mettrait en mesure de
répondre
. Si notre incarnation présente n’est que souffrance et illusion — sou
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?… » avec un sourire inquisiteur. Je me garde de
répondre
. Finalement, Gide, en riant : « On va dire que c’est un complot de pr
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s devaient être homosexuels pour la plupart. » Je
réponds
qu’en effet, plusieurs d’entre eux le furent. 60. Dans Et nunc manet
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olisait celle de l’antique et du moderne, Kassner
répondrait
aujourd’hui par l’opposition de la grandeur mesurée et de l’indiscrét
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» jusqu’à l’avènement de l’Amour ? C’est l’Ange,
répond
l’Iran des spirituels, l’Iran du mazdéisme et des mystiques soufis, p
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ns-nous, aux exigences du vrai moi, qui est notre
répondant
céleste. Et faut-il qu’il existe et qu’il soit fort, ce moi qu’on rép
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uns. Un reflet du Brahma disent les autres. Non,
répondent
les advaïtins : il n’y a que brahman. Et tu n’es rien. Et de leur côt
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ne point l’individualité après la mort ? Nagasena
répondit
: Celui qui a péché reprend une individualité, mais non un être pur.
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étendent transfigurer la vie concrète, l’Occident
répond
par des mythes symbolisant ses résistances naturelles, et qui font l’
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le Soi seul en tout. À la consommation des temps,
répond
saint Paul, « Dieu sera tout en tous. » Depuis six millénaires, les s
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d à discerner dans autrui le sujet qui pourra lui
répondre
. Son regard tend à susciter ce qui peut être aimé parce qu’aimant à s
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eçoivent « le Fils de Dieu », la part céleste, le
répondant
de l’Ange qui sera « notre effigie » au cercle de feu qu’a vu Dante.
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: quel est le plus grand commandement ? Jésus lui
répondit
: Tu aimeras le Seigneur ton Dieu, de tout ton cœur, de toute ton âme
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ères sont dehors et demandent à te parler : Jésus
répondit
: Qui est ma mère et qui sont mes frères ? Puis étendant la main sur
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e répudier sa femme pour un motif quelconque ? Il
répondit
: N’avez-vous pas lu que le Créateur, au commencement, fit l’homme et
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la femme : Personne ne t’a-t-il condamnée ? Elle
répondit
: Non, Seigneur. Et Jésus lui dit : Je ne te condamne pas non plus ;
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me ? demandent à Jésus les sadducéens. Jésus leur
répondit
: les enfants de ce siècle prennent des femmes et des maris, mais ceu
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é), il n’est pas avantageux de se marier. Il leur
répondit
: Tous ne comprennent pas cette parole, mais seulement ceux à qui cel
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ait de découvrir en lui-même. Il ne trouva rien à
répondre
. Pourtant, il connaissait son Évangile, sur ce point l’oncle Charles
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point l’oncle Charles avait raison. Que n’a-t-il
répondu
à cet oncle en lui citant d’autres versets non moins « simples et cla
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dré Gide, connaissant les Écritures, eût aussi pu
répondre
à l’Oncle Charles que le texte si « simple et clair » qu’il invoquait