1 1962, Les Chances de l’Europe. Avertissement
1 rir une « aventure ». Bien plus, il s’agissait de répondre à la question que le titre posait d’une manière implicite, et de risq
2 1962, Les Chances de l’Europe. I. L’aventure mondiale des Européens
2 hes : Où est Europe ? — « Tu ne la trouveras pas, répondit la Pythie. Suis plutôt une vache et pousse-la devant toi sans lui lai
3 -dire contre l’Occident ? Avant même d’essayer de répondre à cette question, d’une si brûlante actualité, essayons de résumer le
3 1962, Les Chances de l’Europe. II. Secret du dynamisme européen
4 is connu ? Le prêtre parle, entonne, et le peuple répond , et le chœur chante. Et ce chœur est formé de voix diverses mais unie
4 1962, Les Chances de l’Europe. III. L’Europe s’unit
5 nflit, devant qui doivent-ils plaider ? », Dubois répond  : non pas devant le monarque universel, mais bien devant un tribunal
6 dont la devise serait « Les jacobins partout ! », répond le projet tout contraire d’un Anglais, d’ailleurs décrété citoyen fra
7 n’ont cessé de se plaindre de l’indifférence qui répondait à leurs appels, et de la lenteur scandaleuse des progrès vers la fédé
5 1962, Les Chances de l’Europe. IV. Les nouvelles chances de l’Europe
8 cord : c’est la nécessité matérielle et morale de répondre aux appels que le monde nous adresse, par sa faim, par sa peur et mêm
9 s de l’ère industrielle. Il serait trop facile de répondre à ceux qui nous tiennent ce langage : pourquoi n’avez-vous pas adopté
10 ’avons jamais conçu une politique de civilisation répondant à l’ampleur des exigences du siècle et de nos responsabilités mondial
11 s et conquérantes du communisme. À cela, je vais répondre en renvoyant aux faits, une fois de plus : la prospérité économique d
12 sérieux. Nous n’avons simplement pas le droit de répondre à l’attente des jeunes nations et de la jeunesse soviétique plus qu’o
6 1962, Les Chances de l’Europe. Appendice : Sartre contre l’Europe
13 es conférences, l’hebdomadaire Arts me demanda de répondre à la violente attaque contre l’Europe qu’est la préface de J.-P. Sart