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D’une volonté d’affirmer l’homme et ses pouvoirs,
répondrait
-il. Et c’est d’une manière analogue que Malraux et Jaspers interprète
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» au sens authentique et littéral de « capable de
répondre
» (de ses actes et pensées devant Dieu ou devant autrui), mais au sen
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n cependant chacun de nous se voit bien forcé d’y
répondre
. La situation du chrétien aujourd’hui est vraiment folle, si l’on son
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cal : Misère de l’homme sans Dieu. » À quoi il me
répondit
: « D’accord mais avec cette seule différence : c’est qu’il n’y a pas
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celle du chrétien. Car le chrétien doit vraiment
répondre
à Dieu, répondre de ses actes devant Dieu. Mais l’athée, devant qui s
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n. Car le chrétien doit vraiment répondre à Dieu,
répondre
de ses actes devant Dieu. Mais l’athée, devant qui sera-t-il responsa
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celui qu’une vocation met en question et somme de
répondre
. Nous pourrions nous livrer à des critiques du même genre au sujet d’
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as, l’État est tout, dit le totalitaire. Que vont
répondre
les chrétiens ? L’Église Ils vont répondre que ces prétentions
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répondre les chrétiens ? L’Église Ils vont
répondre
que ces prétentions sont abusives, parce que tout de même Dieu existe
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des traces d’illuminisme dans son petit-fils, lui
répondit
: « Mon petit, je n’ai pas besoin, moi, de déranger le bon Dieu pour
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peut-être la plus grande de toute l’histoire, de
répondre
sans équivoques. Je ne prétends pas apporter cette réponse à moi tout
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t le cas de la question séculariste, on ne peut y
répondre
par des arguments, mais seulement avec son être, avec sa manière d’êt
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mme le parti du sacré et de la transcendance ? Je
répondrai
: il faut faire tous les deux à la fois, selon les cas, et en général
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la lui rendra-t-on ? » ; les catholiques modernes
répondaient
dans l’ensemble : « Avec du sucre ! ». Remarque hélas valable pour bi
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écessité commune qui les relie ? Personne ne peut
répondre
quant à l’avenir. Mais si j’essaie de situer dans l’époque les quelqu
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rthodoxes et certains anglicans n’ont pas tort de
répondre
à ceux qui leur posent des questions sur la doctrine de leur Église :
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r » à quoi que ce soit. Constater que la liturgie
répond
à l’exigence communautaire de notre temps, et pourrait nous permettre
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d’aujourd’hui, et en vue de l’avenir. Et nous ne
répondrons
pas à ces nécessités en restaurant des rituels archaïques, souvent fo
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libres que les autres d’inventer, c’est-à-dire de
répondre
d’une manière directe et neuve à la question vitale d’aujourd’hui. Et
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monde n’a jamais pu seulement imaginer, ce qui ne
répond
à nul besoin historiquement déterminé… L’histoire, au sens hégélien o
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es principales valeurs éthiques. Mais Sombart lui
répond
que le capitalisme est plus ancien, et qu’il est d’origine judaïque19
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théologique qui dénote la culture d’aujourd’hui,
réponde
chez les théologiens un « refus d’informer » symétrique, fait de méfi
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n créatrice de l’esprit humain ». Je n’aurais pas
répondu
, s’il ne s’était agi d’une journée d’étude « œcuménique », groupant a
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oto. Depuis deux siècles environ, on a coutume de
répondre
à cette question d’une manière simple en apparence. On pense que les
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é directe, ce fait prouve simplement que l’art ne
répond
pas au désir le plus puissant de l’homme moderne ; que ce dernier pou
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détermination de mon désir, ou bien est-ce que je
réponds
vraiment à un appel venu d’ailleurs ? D’où vient la voix ? Qui parle
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sa décadence ou s’en réjouir ? Il serait vain de
répondre
à cette question d’une manière unilatérale. Si, par suite d’un réflex
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axiomes de Marx et d’Engels, les communistes vous
répondront
, non sans apparence d’à-propos, que l’opération les laisse indifféren
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l’affirmait, avec ses effets historiques. On vous
répond
que vous vous trompez du tout au tout ; que vous n’entendez rien au «
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re, il fait fusiller ceux qui en parlent. On vous
répond
que c’est une nécessité de la tactique, dûment prévue d’ailleurs par
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en rien le cours des choses, je suis fondé à lui
répondre
: « Ton reproche s’adresse à mon hypocrisie, à ma lâcheté, à mon abse
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vité humaine, y compris le plan politique, ils ne
répondront
pas au défi du marxisme, qui s’en trouvera justifié pour autant. Je n
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écise : un calviniste, doit être ici en mesure de
répondre
. De toutes les Églises chrétiennes, l’Église calviniste est en effet
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dé quand viendrait le Royaume de Dieu, Jésus leur
répondit
: Le Royaume de Dieu ne vient pas de manière à frapper les regards et
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nt la recherche en généralbl, il paraît facile de
répondre
: un homme qui cherche, c’est qu’il n’est pas satisfait de ce qu’il a
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peuples qu’à partir du jour où il sera capable de
répondre
avec force et autorité aux questions politiques de notre temps. Qu’il
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monde. Elle seule apporte du nouveau. Elle seule
répond
à la fois aux aspirations confuses des peuples et aux nécessités prat
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Avant même de se demander si les Églises peuvent
répondre
, il faut qu’elles comprennent qu’elles le doivent. Mais les deux term
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s spirituelles. Ce langage au-dessus des langages
répond
exactement aux besoins les plus légitimes de notre temps. Il nous ren
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appel à une autorité nouvelle. Si les Églises n’y
répondent
pas, personne d’autre, je le crains, ne répondra. »
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répondent pas, personne d’autre, je le crains, ne
répondra
. »
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atre-vingt-quatre. Et soudain, celle de l’Est lui
répond
Quarante-huit. C’est quatre-vingt-quatre inversé. Jamais chiffres ne
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, et que le bruit vous agace, vous vous décidez à
répondre
. Vous n’êtes donc pas l’esclave du téléphone, mais de votre seule cur
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des humains comblés ? » Il serait trop facile de
répondre
que les prouesses actuelles du progrès ne seront jamais intégralement
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cela. Un Karl Barth pourrait donc se borner à me
répondre
: le christianisme étant parole de Dieu aux hommes, son avenir ne dép