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’est posé cette question. Mais il s’est gardé d’y
répondre
, ou plutôt il n’y a répondu que par la bande, la bande rouge qui orna
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s il s’est gardé d’y répondre, ou plutôt il n’y a
répondu
que par la bande, la bande rouge qui ornait le livre : « C’est une gr
3
i la « louable Confédération » est un État, et il
répond
oui, en ce sens que ses parties sont unies par un sentiment commun ;
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’études bien valables ou d’ensemble permettant de
répondre
à cette question, curieusement négligée jusqu’ici. Quelques « prises
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par un officier supérieur doivent apprendre à lui
répondre
: « À vos ordres, mon colonel divisionnaire ! » ou : « Oui, mon colon
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s devaient penser de la noblesse suisse ; il leur
répondit
, à ce que l’on rapporte, qu’on l’avait expulsée et que le plus haut p
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au service de la France, n’était pas noble, et il
répondit
que non. Interrogé ensuite si le colonel Pfyffer l’était, il répliqua
8
e un dictateur qui s’en moquait en 1939, ils vous
répondent
que le statut de neutralité a empêché la Suisse de se mêler à ces gue
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ons de notre continent sont bien placés pour nous
répondre
puisqu’ils devaient compter, recompter et jauger les membres virtuels
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e nos jours la plus ancienne tradition suisse, et
répondent
, comme les Marktgenossenschaften des premiers cantons, à la nécessité
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publique n’est donnée qu’aux esprits pondérés, il
répondait
: « Cela aussi a ses avantages : la médiocrité a sans nul doute large
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eureux, plutôt heureux, pas très heureux ? » 42 %
répondent
très heureux, 51 % plutôt heureux, et 6 % seulement, pas très heureux
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genre. Il est peut-être encore plus difficile d’y
répondre
dans le cas de la Suisse que dans celui des États-Unis par exemple82.
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de l’Europe. À ces trois métropoles protestantes
répondent
dès le xviie siècle les centres jésuites de Lucerne, Soleure et Frib
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le plus grand poète français ? « Hugo, hélas ! »,
répondait
André Gide. Le plus grand peintre suisse, c’est Ferdinand Hodler 90.
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t à une fenêtre, appelle, une tête paraît et nous
répond
: « Pour Alberto, c’est la maison au-dessus de la poste ! » Nous l’av
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e lui dis que nous étions compatriotes. « Oui, me
répondit
-il, mais mes ancêtres ont mis les vôtres en prison ! » C’était exact.
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quelque uniformité.98 Il eût été facile de lui
répondre
: si les Suisses n’existent pas, s’il n’y a que des Vaudois, des Bern
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ion », Spitteler, alors âgé de quatre-vingts ans,
répondit
: « Je ne suis pas le poète de la nation : chez nous, c’est encore et
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ys. Là encore, on vérifiera que la fédéralisation
répond
en Suisse aux exigences de l’efficacité, non à celles d’une doctrine
21
e nous n’aurions pas pu trouver quelque chose qui
répondît
mieux à ce but que notre système scolaire actuel. » Hélas, en 1942, E
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it dans leurs classes d’essai. Mais ils pouvaient
répondre
qu’ils visaient au contraire à éveiller chez l’enfant et l’élève le s
23
it les Suisses à bout portant. Le poème de Manuel
répond
à une chanson glorifiant la victoire des Allemands. 89. Amen. Versi
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rtisans de l’abstention. Je vais les résumer et y
répondre
. Arguments politiques : La neutralité intégrale reste la base de not
25
s grandes lignes et dans son ensemble », s’entend
répondre
par le Collège exécutif : 1° « Dans un pays comme le nôtre, les débat
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estre de l’Europe, un ordinateur eût probablement
répondu
, vers 1300, par un nom : le Gothard, et par un concept politique : la
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une action politique pour réaliser mon idée. J’ai
répondu
: « Chacun son rôle, chacun son tour. Le poteau indicateur cesserait