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faible pour tenir en respect les deux Grands, je
répondrai
par un seul chiffre : la population de l’Europe occidentale, à l’oues
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’ajoute à la nécessité. J’essaierai maintenant de
répondre
à ceux qui demandent ce qu’on a fait déjà, et ce qu’on peut faire à t
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Europe ? » cet historique succinct permet donc de
répondre
: nous avons lancé un mouvement, nous avons conjugué les efforts entr
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lus ou moins tous nos pays ? Il n’est possible de
répondre
qu’en citant une série d’exemples. À la question : « L’enseignement (
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? » tous nos rapporteurs des pays de l’Ouest ont
répondu
non, tous ceux des pays de l’Est3 oui, avec une égale emphase. Cette
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nce du Centre7 Le Centre est né pour tâcher de
répondre
à certaines exigences d’une situation qui est celle de l’Europe d’auj
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— pourquoi faut-il un Centre en pareil domaine ?
Répondre
à ces trois questions, très normales et très légitimes, ce sera défin
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é de l’homme déraciné, isolé et désorienté qu’ont
répondu
les passions collectives et les systèmes totalitaires. Le nationalism
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ces de succès, un remède à cette anarchie devrait
répondre
à trois conditions principales. — Il devrait intéresser d’une manièr
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Seul, l’idéal de la fédération européenne semble
répondre
à ces trois conditions. Depuis quelques années, nous l’avons vu group
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ux qui y croient encore. Comment donc allons-nous
répondre
au défi des totalitaires si nous nous privons de leurs armes ? Si nou
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un tel lieu, et sous le feu des projecteurs ? Je
répondrai
à côté de la question apparente par une sorte de parabole, sans trans
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lée consultative de Strasbourg, Paul-Henri Spaak,
répond
d’une manière dramatique à cette question. « Nous autres Européens, n
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n Roumanie, nous rappellent que la nature n’a pas
répondu
à l’Année de la protection de la nature, lancée par le Conseil de l’E
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ard, à Montreux, les fédéralistes se rassemblent,
répondant
à l’appel de groupes de résistants de droite et de gauche non communi
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ûte 700 milliards par an ; et Gaillard qui aurait
répondu
: 350 seulement. J’ouvre une autre publication, dans laquelle M. Pier
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elle en vue ? Il est devenu presque impossible de
répondre
à de telles questions, et c’est pourquoi sans doute on les pose si ra
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e méditation. Si les Européens voulaient vraiment
répondre
aux Asiatiques, aux Africains, ou aux Arabes, qui leur posent ces que
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i mon exemple du physicien et du théologien. Pour
répondre
à l’Hindou qui interroge l’Occident sur son obsession de l’Histoire,
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l’entropie au niveau de l’enseignement ; elle ne
répondrait
pas au défi principal de la division du savoir en langages spécialisé
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tant sur la recherche en soi, il paraît facile de
répondre
: un homme qui cherche, c’est qu’il n’est pas satisfait de ce qu’il a
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ofondes dans la psyché européenne ? J’ai tenté de
répondre
à ces questions dans un livre intitulé L’Aventure occidentale de l’h
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s profonds de la technique ? Tout le xixe siècle
répond
en chœur : que l’homme invente pour des motifs utilitaires. Et presqu
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usqu’à nos jours que les grandes inventions ont «
répondu
à des besoins » économiques, alimentaires et matériels. Quelques-uns
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e la technique, et si les produits de l’industrie
répondaient
aux besoins matériels, pourquoi ferait-on de la publicité ? Il n’en r
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Mais ce sont, après tout, de petites inventions,
répondant
à de petites nécessités d’abaissement d’un prix de revient ou d’augme
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eux adaptée à ses fins, ni la mieux calculée pour
répondre
à des besoins pratiques, utilitaires : on le voit bien dans nos ville
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lle par le moyen de ce porte-voix. Si vous courez
répondre
, agacé par le bruit, c’est que vous vous attendez à quelque chose que
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oderne ? » c’est qu’on attend que je dise non. Je
réponds
oui pour inquiéter, mais c’est gênant, car la chose dont on me parle
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ancier ? À la question que je citais au début, je
répondrai
maintenant sans hésiter : « J’aime la musique moderne de tous les tem
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à l’autre. À chacune de s’interroger ! Ne pouvant
répondre
à leur place, je ne dirai ici, à titre d’exemple, et pour rester dans
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— nous constatons cependant que peu d’entre elles
répondent
aux conditions d’un vrai Dialogue des cultures, et ceci pour trois ra
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; elle n’a donc pas encore de politique commune,
répondant
à sa vocation, à l’égard des régions différentes de la planète. Quant
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avec la culture vivante, et sont mal équipés pour
répondre
à des demandes personnelles ou à des questions portant sur l’ensemble
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i qui peut dire, dans une situation donnée : j’en
réponds
! Mais de quoi l’écrivain comme tel peut-il répondre, sinon de son œu
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ponds ! Mais de quoi l’écrivain comme tel peut-il
répondre
, sinon de son œuvre elle-même, de sa pensée et de son style ? C’est p